Derniers Avis : Les Bronzés 3 amis pour la vie - Page 5

Quel plaisir de retrouver la troupe des Bronzés presque 30 après ! Bien qu'un peu vieillis, les personnages sont toujours aussi drôles. On retrouve tous les ingrédients qui ont fait le succès des précédents volets : une musique agréable, des décors de rêve et des dialogues sarcastiques. Cette suite est aussi réussie que les deux premiers contrairement à ce qui est évoqué en critiques spectateurs.

Pas mal du tout.

Surtout je ne m explique pas la moyenne des notes avec le nombre de spectateurs au cinéma :Plus de 10 millions de même que lors de la 1ere diffusion tv :11 millions

Comme le bon vin,avec le temps les commentaires seront meilleurs.
N oublions pas les sévères critiques des bronzes 1 et 2 qui sont maintenant cultes.

Une vraie colère en voyant ce film . les acteurs sont venus faire un racket .Pas de scénarios, pas drôle, tout baigne dans le fric, le toc ; Un mauvais téléfilm TF1

Les acteurs ont bien vieilli, les personnages, eux, beaucoup moins ! La comédie populaire à la française des années 70 a pris un sérieux coup de vieux en 2006 avec ce 3ème volet. Le scénario, on ne peut plus farfelu, n'est semble-t-il qu'un prétexte qu'ont trouvé ses créateurs pour se retrouver ensemble et longtemps dans un lieu paradisiaque. Malheureusement, nous, pauvres spectateurs, sommes embarqués malgré nous dans cette aventure des retrouvailles et prenons beaucoup moins de plaisir qu'eux ! Car, à part la musique italienne, très bien choisie, et les paysages, l'essentiel, lui, n'est pas assuré : les pseudo gags tombent à plat. Mon plaisir à voir ce troisième volet des Bronzés a été inversement proportionnel à celui éprouvé, à l'époque, lors du ma découverte du 2ème volet, d'où d'énormes déception et frustration. « Les Bronzés 3 » et « Camping », les deux comédies françaises ayant fait le plus d'entrées en salle en 2006, ne m'ont pas fait rire ... et c'est bien dommage pour des comédies, non ?

Comme il est dur de programmer un film comique sur commande !
Le comique, la comédie, l'humour ne se décrètent pas, ils s'improvisent, ne s'annoncent pas, nous prennent par surprise.
Le retour des Bronzés était bien trop prévisible et attendu comme un grand film drôle, et déçoit forcément. Il n'échappe pas à la règle, tel l'ami en soirée à qui on demande de faire rire. Le rire, le comique sont bien plus subtiles qu'ils doivent être surprenants pour réussir et c'est tant mieux...

Quelle déception pour ce 3ème volet qui n’est vraiment pas terrible !
L’histoire est limite sans intérêt, on se demande ce qui est passé par la tête de Patrice Leconte pour avoir eu certaines idées si malaisantes et Thierry Lhermitte, Gérard Jugnot, Josiane Balasko, Michel Blanc, Christian Clavier et Marie-Anne Chazel sont presque devenus lassants et même épuisants alors que cette bande d’amis était tellement sympathique !
Dominique Lavanant est affligeante, on a quasiment de la peine pour elle quand on voit le n’importe quoi qui a été réservé pour son personnage et tous les autres acteurs ne sont absolument pas transcendants...
Les décors sont par contre assez agréables avec parfois de jolis paysages et l’hôtel en Sardaigne est pas mal.
L’ambiance est en revanche ennuyeuse et les clins d’œil aux célèbres précédents films nous donne à peine le sourire.
Les gags et les répliques sont en plus vraiment pas du tout réussis et bilan on ne rigole pas une seconde...
Par contre la morale sur l’homosexualité est bien mais les rebondissements sont mauvais.
Un 3ème épisode donc absolument pas bon, le seul point positif est de retrouver cette troupe réunie qui de base est si appréciable malgré un résultat qui là n’est pas à la hauteur de la qualité d’humour qu’on leur connaissait accompagné de révélations totalement saugrenues...
C’est complètement dommage car cela faisait envie de revoir nos cultissimes Bronzés mais le plaisir n’est pas au rendez-vous, rien ne resteras marquant comme dans les 2 formidables opus des années 70.

C'est rare de voir un film ayant autant cartonné au box office se faire descendre par la critique, ce film n'est pas si mauvais, je pense simplement que l'attente du public était trop grande tout simplement. Les acteurs en tous cas ont pris un plaisir fou à se retrouver ça se voit. La seule petite erreur est d'avoir autant fait changer certains personnages

Moins bien que les bronzés 2, mais bien mieux que le premier. Vraiment sympa ! Un bronzés 4 ? Vite !

Un film raté où les acteurs accusent le poids des années sauf Michel Blanc. Lavanant, Jugnot et Moynot sont pathétiques, Martin Lamotte n'apporte rien et les autres acteurs cabotinent. Il n'y a que l'interprétation de Michel Blanc et à la rigueur celle de Clavier que l'on peut retenir. C'est bien peu.

Une immense déception que ce retour des amis du Splendid…il aurait mieux valu s’arrêter aux deux premiers opus qui avaient tout de culte et ainsi finir sur une bonne note plutôt que de se lancer dans cette mascarade sans nom. Contrairement au premier film (le meilleur, sans conteste), on ne ressent pas cette fraicheur, cet esprit de « déconnade » entre potes qui ne se prennent pas la tête et s’amusent. Ici, les gags semblent écrits pour faire rire, ils sont classiques mais dénués de personnalité ou d’originalité, totalement prémédités mais rarement drôles…voire pas du tout d’ailleurs puisque je ne me souviens pas avoir ri une seule fois ! Le scénario est inexistant, il sert simplement d’excuse pour reformer le groupe mais nuit gravement au film qui tourne en rond et dont on se lasse au bout d’une demi-heure. J’ai du mal à savoir ce qui est le plus mauvais : le couple Michel Blanc – MA Chazel (pas drôle), l’utilisation de Lavanant et Lamotte (ridicule) ou cette histoire de bête sauvage (je ne dirai pas l’explication pour ne pas gâcher cette immense scène de suspense…). Bref, les personnages sont mal employés, aucun d’eux ne semblent croire à ce qu’il dit, ni même prendre plaisir à rejouer ces rôles qui les ont rendu cultes. C’est triste de se rendre compte qu’une époque est terminée, de voir que les vannes d’antan entre potes se sont transformées en gags lourdingues sans charme ni intérêt. En résumé, un film qu’il ne fallait pas faire pour que cette saga reste inoubliable et culte dans les mémoires. Même si c’est agréable de retrouver tous ces personnages et de se remémorer des passages des deux premiers…Nostalgiques s'abstenir...
Auteur du livre "Guide de Survie du Cinéphile Amateur" (sortie janvier 2019)

Vachement sous coté pour moi
Moin bien et tres differents que les premiers mais il m'avait fait rire!
Les acteurs jouent bien et ca fais plaisir de les retrouver !

Moi qui pensais que ce serait sympa de retrouver cette bande de potes qui a marqué les esprits grâce au deux premiers films, (surtout avec le deuxième), au final, "Les Bronzés 3" s'avère être juste un film créé pour la thune. La troupe du Splendid a beau être agréable à retrouver, le scénario est vraiment nul, les acteurs sont mauvais, l'humour est majoritairement lourd, gras et énervant et la mise en scène est mal gérée. Après, même si ça reste très inférieur au deux premiers films, "Les Bronzés 3" n'est pas un gros navet pour autant. On a fait largement pire que ça dans le cinéma Français, mais je reconnais quand même que c'est pas un bon film. A la limite, les points positifs du film sont Michel Blanc, que j'ai trouvé toujours aussi drôle et sympa à retrouver, et la chanson "Baïla Morena" interprétée par Zucchero. Sinon, le reste du temps, c'est vraiment pas au top. Au niveau des acteurs, à part Michel Blanc qui apporte une présence agréable, les autres membres du Splendid sont vraiment pas très bons. Thierry Lhermitte s'est complètement lâché et est pas vraiment impliqué. Christian Clavier est pas au top non plus, Marie-Anne Chazel fait vraiment peine à voir et en plus est vulgaire. Gérard Jugnot surjoue complètement et est juste soûlant, et Josianne Balasko a beau ne pas être la pire, c'est pas la joie non plus. On retrouve aussi Dominique Lavanant qui est juste moyenne, elle a ses moments drôles mais la plupart du temps, elle en fait trop. Martin Lamotte qui était absent du deuxième film et qui revient dans le 3 sert un peu à rien, et Bruno Moynot est pas très utile non plus. Au niveau des nouveaux acteurs, Ornella Muti peut être bonne au début, mais pas trop vers la fin, Arthur Jugnot est sympa, mais est mis en retrait, et Caterina Murino est juste là pour être la bombe sexuelle de service. En conclusion, "Les Bronzés 3" est pas vraiment un film que je recommande, même si c'est pas une énorme bouse, ça vaut pas le coup. Contentez-vous des deux premiers films, mais celui-là, on va peut-être éviter ! "Les Bronzés 3" est en quelques sortes la première suite de vieille licence de cinéma Français qui fallait pas faire !!

Ok, y a 30 ans qui séparent le 2 et le 3, donc les acteurs prennent un coup et perdent peut-être de leur superbe. Pour ma part, j'ai trouvé Marie Anne Chazel en dessous des autres, mais sinon rien à signaler. Ils ont gardé leurs rôles mais avec ce que l'âge et l'expérience implique. Rappelons-nous que dans le 1 et le 2 ils avaient leurs imperfections.

Passons, le cadre est sympathique, le scénario un peu anecdotique mais encore une fois, le 1 et le 2 avaient rien d'emblématique non plus. C'était de la rigolade, des quiproquos des histoires de cul, des larmes et du rire. -1 pour le dénouement que j'ai trouvé minable. C'est pas la comédie du siècle mais elle termine mieux la trilogie qu'un "les 3 frères 2 "

Certains gags peuvent faire sourire même si on est bien loin des deux premiers films, et certaines péripéties auraient été à bannir, qui peut s’apparenter à du remplissage !

Qui aurait cru que cette suite, vingt-sept ans après "Les Bronzés font du ski", ferait couler autant d’encre au moment de sa sortie en salles ? Des projections presses filtrées au coût mirobolant et franchement honteux de la production (35 millions d’euros qui sont allés pour l’essentiel dans la poche des acteurs-scénaristes), le dernier film de Patrice Leconte a tous les atouts pour s’attirer les faveurs d’un grand public nostalgique des deux premiers volets des aventures d’une bande de Français moyens rediffusées jusqu’à plus soif chaque année sur les chaînes hertziennes. Mais tous les ingrédients aussi pour s’attirer les foudres d’une critique avec laquelle Patrice Leconte n’a jamais eu d’excellents rapports et qui s’est, à raison, offusquée de ses atteintes à la liberté de la presse. Mais à voir le film, on sait pourquoi la troupe du Splendid et le réalisateur avaient tout intérêt à ce qu’il ne soit pas visible avant le fameux verdict du premier jour d’exploitation. Pour atteindre le but fixé pour satisfaire les actionnaires (10 millions d’entrées), "Les Bronzés 3" doit avant tout compter sur la précipitation du spectateur qui n’a rien lu ni rien entendu du contenu de ce nouvel épisode car si le bouche-à-oreille fait son travail, la fréquentation devrait s’essouffler en un temps record. À la fin des années 1970, début des années 1980, lorsque sortent coup sur coup "Les Bronzés", "Les Bronzés font du ski" et "Le Père Noël est une ordure", la troupe du Splendid sait quel public elle vise dans sa peinture au vitriol du trentenaire, Français moyen issu de la classe moyenne. Même si la réalisation de Patrice Leconte et de Jean-Marie Poiré n’avait déjà pas marqué les esprits, les différents films valaient surtout pour leur fraîcheur, leur entrain, leur nombre incroyable de répliques cultes débitées par des acteurs qui n’étaient pas encore encombrés d’une filmographie parfois consternante. Mais aujourd’hui, difficile de ne pas voir dans ces Bronzés-là l’empire que chacun s’est bâti à coups de succès populaires pas toujours glorieux. Le scénario, abracadabrant de bout en bout, n’est qu’un mauvais prétexte à une succession de scènes où chacun va y aller de son insupportable numéro tout en se gargarisant de blagues consternantes sur les Noirs et les homos. Peu aidés par l’absence totale de mise en scène (on ne compte même plus les faux raccords) et de direction d’acteurs, les comédiens s’enfoncent peu à peu dans le grotesque et la caricature. Les fans de la première heure risquent de ne plus voir leurs films cultes de la même manière. Ces retrouvailles forcées, fabuleux prétexte à faire beaucoup de fric avec un minimum d’efforts, sentent à ce point le rance que le spectateur lambda devrait pour une fois ne pas s’y tromper. Ce néant d’une heure trente-cinq est l’exemple parfait de ce qui participe à l’abrutissement des masses. Insulte au septième art, mépris pour le grand public, le bien mal nommé "Les Bronzés 3 : Amis pour la vie" devrait rejoindre les suites malheureuses au panthéon des films honteux du cinéma français