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Votre avis sur Les Bronzés 3 amis pour la vie ?
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Descendu par la critique au moment de sa sortie dans les salles, il est vrai que ce troisième volet des « Bronzés » avait fortement déçu. A le revoir quelques années plus tard, il n’est pas aussi mauvais qu’on a pu le penser et le dire. Certes, on est très loin des grandes réussites du Splendid (Les Bronzés font du ski et Le Père-Noël) mais l’humour des Bronzés n’a jamais volé bien haut. Seulement, les personnages sont ici moins bien croqués et les situations sont, par moments, trop délirantes pour emporter réellement le morceau.
On trouve cependant de bons moments et quelques répliques bien senties, et certaines idées font mouche. Avoir fait de Jean-Claude Dusse un gagnant après en avoir fait un roi de la loose en dégradant, dans le même temps, le personnage de Clavier est bien vu et permet quelques renversements de situations plutôt inattendues. Bernard et Nathalie sont encore plus méchants qu’avant même s’ils ont parfois un bon fond, ce qui ne fait pas d’eux de bons amis comme on l’avait déjà noté lors des deux premiers opus. Popeye reste Popeye avec ses histoires avec la gente féminine.
Dommage qu’au milieu de tout cela, des idées saugrenues et ridicules rafraîchissent sérieusement nos retrouvailles avec nos bons vieux amis et que de nouvelles idées pertinentes n’aient pas surgi après plus de vingt ans passés loin de ces personnages. On sent bien que la petite bande avait envie de se faire plaisir en jouant ensemble (ils devaient se retrouver pour l’Astérix réalisé par Jugnot) mais, au-delà de cette envie, il n’y avait pas de projet précis et cela repose donc sur des acquis globalement trop paresseux au regard du talent de ces joyeux drilles quand ils se réunissent.
On trouve cependant de bons moments et quelques répliques bien senties, et certaines idées font mouche. Avoir fait de Jean-Claude Dusse un gagnant après en avoir fait un roi de la loose en dégradant, dans le même temps, le personnage de Clavier est bien vu et permet quelques renversements de situations plutôt inattendues. Bernard et Nathalie sont encore plus méchants qu’avant même s’ils ont parfois un bon fond, ce qui ne fait pas d’eux de bons amis comme on l’avait déjà noté lors des deux premiers opus. Popeye reste Popeye avec ses histoires avec la gente féminine.
Dommage qu’au milieu de tout cela, des idées saugrenues et ridicules rafraîchissent sérieusement nos retrouvailles avec nos bons vieux amis et que de nouvelles idées pertinentes n’aient pas surgi après plus de vingt ans passés loin de ces personnages. On sent bien que la petite bande avait envie de se faire plaisir en jouant ensemble (ils devaient se retrouver pour l’Astérix réalisé par Jugnot) mais, au-delà de cette envie, il n’y avait pas de projet précis et cela repose donc sur des acquis globalement trop paresseux au regard du talent de ces joyeux drilles quand ils se réunissent.
Patrice Leconte voulait, sans doute, rendre hommage à Max Pecas, et c tout bonnement Raté. Jugnot est Ridicule, j'ai eu honte pour lui, moi qui l'ai, pourtant, en estime; son personnage est surjoué, infâme de lourdeur crasse, imitant une voix, sortie de je ne sais où, totalement à côté de la plaque, par rapport aux deux premiers chefs-d'oeuves. Il gesticule lourdement, dans des scènes toutes plus pitoyables, autant la suivante, que la précédente, Galvaudé, son personnage est niais, nul, indigne de sa renommée d'acteur talentueux. Bref, il s'est Totalement fourvoyé. Aucune sensibilité, à laquelle il nous avait habitués, dans son jeu d'acteur, doué, ne transparaît ici, gros décalque imbuvable, boursouflé, "handicapé", dans une suite de gags carambar (à côté, ce sont des oeuvres d'arts) Il m'a quand même fait rire, tant son interprétation est Pathétique!!! Le pathétique, justement, critiques de français moyens, mises en exergues, dans le premier opus, laisse la place, ici, a du pathétique de cinéma, tout court, genre "film à ne pas réaliser, si on ne veut pas se "planter".Michel Blanc s'en sort à peine mieux, son personnage étant aussi crédible qu'une morue séchant en plein soleil d'hiver, avec une Chazel "silicone Valley"très années 90, bimbo aride, sur le retour. Personnes ne s'est amusés, sur ce film, produit commercial très très bas de gamme, dont, à par pour faire du fric, n'est même pas des signes de évaluations ,,"Ab productions" et de Dorothée, qui passe pour une "killeuse de l'humour", à côté, Bref, c une daube, totalement indigne de la filmo de Patrice Leconte. Mais, ne serait-ce pas Max Pecas, qui l'aurait filmé..??? Aucune recherche artistique, rien, le vide, le néant cinématographique le plus pur. La filmo de Pecas c de l'art, à côté..!!!
Mais pourquoi ? Pourquoi avoir créé cette suite navrante ? Plus de 25 ans après avoir quitté nos amis de la troupe du Splendid, ils reviennent à l’écran, en 2006, toujours sous la conduite du réalisateur Patrice Leconte. Malheureusement, le scénario est pathétique et les acteurs ont perdu l’énergie de leur jeunesse. Bref, une vraie déception.
Bizarrement à sa sortie en 2006 j'avais été déçu. Peut-être qu'après avoir attendu une suite pendant plus de vingt ans, j'en attendais trop. Revu en 2020, avec 14 ans de plus au compteur, et donc presque l'âge des acteurs au moment du film, je vois les choses différemment. Après un démarrage en trombe, les personnages révèlent leurs subtilités liées aux années qui ont passé. Les gags sont moins rythmés que dans les deux premiers opus, tout en étant bien joués. C'est au final un bon cru à laisser en cave quelques années pour l'apprécier.
Même s'il est difficile de répondre à une attente de près de 30 ans, il faut reconnaitre que le retour est raté: dialogues pas drôles, tentatives de faire un raccord avec les premiers épisodes absurdes (
spoiler:
cette histoire de "qui a couché avec qui dans le chalet à la montagne?"
), passages scénaristiques ridicules ( spoiler: Christiane et ses griffes de la nuit de Freddy Krueger
) et personnages métamorphosés (notamment Jean Claude Dusse, à jamais loser et à la recherche de conquêtes féminines dans nos mémoires. Sa transformation fait perdre un des principaux ressorts comiques du groupe).
Des retrouvailles sans scénario créatif pour un flop qu'avec leurs talents ils auraient pu éviter.
), passages scénaristiques ridicules ( spoiler: Christiane et ses griffes de la nuit de Freddy Krueger
) et personnages métamorphosés (notamment Jean Claude Dusse, à jamais loser et à la recherche de conquêtes féminines dans nos mémoires. Sa transformation fait perdre un des principaux ressorts comiques du groupe).
Des retrouvailles sans scénario créatif pour un flop qu'avec leurs talents ils auraient pu éviter.
Nicothrash
Quelle catastrophe ! Avoir attendu près de 30 ans pour ça ... Déjà que je ne suis pas un fan de la première heure des Bronzés, même si je comprends le statut culte de la chose et que je reconnais les qualités du deuxième opus, avec cette insipide suite, je suis définitivement vacciné. J'ai en outre eu le déshonneur de le voir à sa sortie au ciné et cette désagréable impression d'avoir perdu une heure et demie de ma vie. Ce troisième opus est vide de tout, c'est le néant, scénaristique notamment mais pas que, les comédiens sont tous très mauvais, mention à Jugnot par ailleurs, inadmissible à ce niveau. Les personnages sont toujours plus détestables, ce n'est ni drôle ni intéressant, tout n'est qu'accumulation de moments de gêne intensifs, on se sidère de l'absurdité des situations, en bref c'est grotesque. Le Splendid n'est clairement plus dans le coup et ce troisième et espérons le ultime épisode n'aurait jamais dû voir le jour. Un ratage complet.
Les bronzes 3: je me rappelle que le cinéma était plein de monde pour cette suite. Je l'ai revu hier (juin 2020). Je reconnais que ce film est une déception grandissante .. peu intéressante et ennuyeuse ... mme clavier dans un rôle grosteque sur du bonnet F. Jugnot qui n'accepte pas l homosexualité de son fils .. Dominique lavanant dans son rôle de follole... grosse déception
Mais quelle mouche a piqué la légendaire et (autrefois) drôlissime troupe du Splendid pour oser nous infliger ce navet incommensurable? Le besoin de payer des retards d'impôts? De retrouver pour certains un regain de notoriété?
Fini l'humour politiquement incorrect qui nous réjouissait 27 ans auparavant, et bienvenue ici à la vulgarité et aux "gags" lourdauds. Quelle déception devant ce film inutile, à la limite du ridicule et du supportable...
Fini l'humour politiquement incorrect qui nous réjouissait 27 ans auparavant, et bienvenue ici à la vulgarité et aux "gags" lourdauds. Quelle déception devant ce film inutile, à la limite du ridicule et du supportable...
Plus de Vingt ans après les Bronzés font du ski, on retrouve la troupe du splendide pour un ultime épisode. Résultat, une déception magistrale. Le scénario ne décolle pas, il n'y a aucun sens. Contrairement au premier où on se moquait des club meds, le second du sport d'hiver. Ici les personnages ont vieilli certes, mais ils ont pris un côté bourgeois. Le couple Morin par exemple qui sont gérant d'un entreprise, Clavier est lourd dans ce film. Michel Blanc avec ses nombreuses perruques est franchement ridicule. On se demande même pourquoi ils ont fait le troisième. Gigi qui s'est faite refaire la poitrine, quel est l'intérêt? Il n' y a aucun gag culte dans ce film. Puis le s'histoire de la patte d'ours perd le spectateur dans ce film qet devient pathétique. Même les acteurs ne croient plus en leurs rôle. Dommage car les retrouvailles méritaient mieux que ça. Le film se base sur le succés des précédents sans aucune originalité (souvenir du val d'isère au final où on apprend que Poppeye a eu une aventure avec l'italienne). Seul la musique du film est bien, le reste on s'ennuie et on cherche encore à comprendre l'histoire.
Les trois frères le retour, tanguy 2 le retour, les bronzés 3... non vraiment pas une bonne idée de tourner une suite plusieurs années aprés un film. Comme on dit on ne fait pas du neuf avec du vieux et l’adage se vérifie parfaitement ici. J’avais de la peine pour les acteurs qui ont dus tourner ce navet et on voir leur désarroi augmenter au fir et à mesure qu’ils se rendent compte de la platitude du scénario et des blagues qu’ils sont forcés de sortir. Désarroi qui a du largement être atténué par le gros cachet qu’ils ont du toucher et par les royalties générés par ce film. Car oui les gens se sont déplacés en masse pour voir ca et c’est finalement ca le plus inquiétant
Mais comment peut-on aimer cette grosse daube ? Comment l'équipe du Splendid qui est si brillante et drôle, et dont tous les membres ont brillamment réussi leur carrière individuelle, ont pu faire ce navet ?
Voilà ce qu'est exactement la définition d'un film commercial : jouer sur la nostalgie des gens pour leur proposer un film avec un titre mythique, et n'importe qui va aller mordre à l'hameçon.
Gérard Jugnot a vraiment le rôle le plus râté, la scène du coming out est très gênante tellement tout est surjoué. On dirait vraiment que tout a été écrit et joué par des amateurs.
La seule comédienne qui m'a arraché un sourire (alors qu'elle a elle-même du mal dans son rôle), c'est Dominique Lavanant, c'est d'ailleurs à elle que j'attribue la demi-étoile, vu qu'on ne peut pas en mettre aucune. Pour le reste, heureusement pour l'équipe que le ridicule ne tue pas.
Mais le pire et l'ironie du sort dans tout ça, c'est que ce film a dépassé les 10 millions d'entrée et fait partie des meilleurs succès français.
À oublier.
Voilà ce qu'est exactement la définition d'un film commercial : jouer sur la nostalgie des gens pour leur proposer un film avec un titre mythique, et n'importe qui va aller mordre à l'hameçon.
Gérard Jugnot a vraiment le rôle le plus râté, la scène du coming out est très gênante tellement tout est surjoué. On dirait vraiment que tout a été écrit et joué par des amateurs.
La seule comédienne qui m'a arraché un sourire (alors qu'elle a elle-même du mal dans son rôle), c'est Dominique Lavanant, c'est d'ailleurs à elle que j'attribue la demi-étoile, vu qu'on ne peut pas en mettre aucune. Pour le reste, heureusement pour l'équipe que le ridicule ne tue pas.
Mais le pire et l'ironie du sort dans tout ça, c'est que ce film a dépassé les 10 millions d'entrée et fait partie des meilleurs succès français.
À oublier.
Nul et non avenu : tout ce qui faisait la valeur des 2 premiers s'est envolé : la jeunesse et la joie de vivre, l'impertinence et la spontanéité ont fait place aux platitudes de retrouvailles de vieux acteurs ringards dans un hôtel qui ressemble plutôt à un asile de vieillards !
Les Bronzés de trop. Les 2 premiers étaient marrants. Celui ci est accablant. Et Ornella Muti joue tellement faux que c’en est gênant.
comme quoi la comédie rime souvent avec sauve qui peut .vraiment sans intérêt avec des acteurs malheureusement qui n'ont plus le gout de la comédie mais juste de l’argent.A ne pas voir absolument.
J'ai revue ce film en famille il ya pas longtemps et toujours aussi bien. Rien a dire les acteurs y sont excellents et super drôles les dialogues ne manques pas de piquant et d'humour.Je ne comprend pas une note aussi basse de la part de la presse. Bref ce film m'inspire les vacances et l'été j'adore.
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