Derniers Avis : Les Bronzés 3 amis pour la vie - Page 3

Quel désastre ce film, on compte bien que la bande est contente de se retrouver sous le soleil, elle a juste oubliée qu il s agissait pas seulement de se faire plaisir, mais de faire aussi plaisir au public... grosse déception

Petit résumé du film:
"oh mon dieu, elle m’excite, elle en à une grosse paire..."
Rarement un film aura autant touché le fond.
A voir si on aime le malaise permanent.

La bande des bronzés se retrouve en Sardaigne dans l’hôtel de Popeye (Thierry Lhermitte) et sa femme (Ornella Muti). Gigi (Marie-Anne Chazel) est en couple avec Jean-Claude (Michel Blanc), ils ont tous les deux changé physiquement. On retrouve aussi Nathalie et Bernard (Josiane Balasko et Gérard Jugnot) accros à leur petit chien, ainsi que Jérôme (Christian Clavier), radié de l’ordre des médecins après une opération de chirurgie esthétique ratée.
Le film n’est pas réussi, on sourit tout juste de temps en temps. On a l’impression que les vieilles blagues mythiques des premiers films sont récupérées mais il n’y a pas d’innovation (la boisson trop sucrée, les mimiques des uns et des autres, Jean-Claude qui se perd en pleine mer…). Seule nouveauté non mémorable : le film mise beaucoup sur les effets visuels comme les seins très imposants de Marie-Anne Chazel ou les perruques de Michel Blanc, mais ce n’est pas très novateur, c’est même assez enfantin comme humour.
Globalement on ne s’ennuie pas mais le film s’écoule et on sait très bien qu’on l’oubliera bien vite.

Nul, pathétique, merdique, un navet qui a réussi l'exploit de se transformer malgré tout en une lucrative pompe à fric, engrangeant des millions d'entrées. Les bronzés 3 les a trahi sans vergogne, comme il a trahi ses deux très réussis prédécesseurs.

Franchement l on retrouve avec beaucoup de sympathie la troupe du splendide. Certains gags peuvent paraître un peu lourds, mais sont compensés par les dialogues, le comique des acteurs.
Heureuse d avoir retrouvé ces joyeux lurons bien que mon préféré reste les Bronzes 2. Les rappels sont présents dans ce film, notamment Jean Claude Duss à qui il arrive toujours des tuiles.

Certes ce film mérite une note moins élogieuse que 1.5 étoiles, mais si à l'époque on avait anticipé les bien plus atroces Visiteurs III et les comédies avec Kev Adam's, la critique aurait certainement été bien plus tendre avec les Bronzés III; Au moins dans les Bronzés III on ri à quelques rares moments mais ça reste toujours plus que la plupart des navet/comédies française de la décennie 2010/2020.

WAW ! à toutes ma communauté, aussi grande qu'elle soit. Qu'elle claque ! un simple moment de plaisir, je vous supplierai de vous jetez sur se chef-d'oeuvre ! après les deux premières qu'était les bronzés et les bronzés deux, ce troisième opus vient conclure une trilogie de très très haut niveau. Thierry Lhermitte "Popeye" est au plus grand de sa carrière, on sent qu'il a pris le rôle à coeur, et je me retrouve en lui en voyant me film. Bref, si ce n'est pas déjà fais, regardé cette magnifique trilogie conclue par ce film qui sort de l'ordinaire. C'est un grand OUI. Ça c'est du cinéma.

C'est affligeant d'imaginer que des personnes ont trouvé un intérêt à ce film, ou alors une série de gag plus ou moins reussi fait film. pour certains. Juste affligeant...

Désastre absolu : scénario indigent, dialogues et gags pas drôles, comment Leconte et ses acteurs ont ils pu oser ça ? Ce qui devait être un hommage à des gags cultes tourne au massacre. Laideur à tous les étages.

Un troisième volet des Bronzés mal maîtrisé. Le groupe du Splendid réalise un ovni , un nanar en dépit du réalisateur Patrice Leconte.

En fait il ne faut pas s'attendre à une suite des 2 Bronzés. En effet les deux premiers avaient excellemment bien croqué les Français durant leurs vacances d'été et d'hiver, tout le monde pouvait s'y retrouver. Mais ce 3eme épisode est trop dans l'extrême des situations, personne ne s'y reconnaîtra.

Sinon la première partie du film arrive encore à nous faire sourire mais la seconde partie est assez mauvaise.

Descendu par la critique au moment de sa sortie dans les salles, il est vrai que ce troisième volet des « Bronzés » avait fortement déçu. A le revoir quelques années plus tard, il n’est pas aussi mauvais qu’on a pu le penser et le dire. Certes, on est très loin des grandes réussites du Splendid (Les Bronzés font du ski et Le Père-Noël) mais l’humour des Bronzés n’a jamais volé bien haut. Seulement, les personnages sont ici moins bien croqués et les situations sont, par moments, trop délirantes pour emporter réellement le morceau.
On trouve cependant de bons moments et quelques répliques bien senties, et certaines idées font mouche. Avoir fait de Jean-Claude Dusse un gagnant après en avoir fait un roi de la loose en dégradant, dans le même temps, le personnage de Clavier est bien vu et permet quelques renversements de situations plutôt inattendues. Bernard et Nathalie sont encore plus méchants qu’avant même s’ils ont parfois un bon fond, ce qui ne fait pas d’eux de bons amis comme on l’avait déjà noté lors des deux premiers opus. Popeye reste Popeye avec ses histoires avec la gente féminine.
Dommage qu’au milieu de tout cela, des idées saugrenues et ridicules rafraîchissent sérieusement nos retrouvailles avec nos bons vieux amis et que de nouvelles idées pertinentes n’aient pas surgi après plus de vingt ans passés loin de ces personnages. On sent bien que la petite bande avait envie de se faire plaisir en jouant ensemble (ils devaient se retrouver pour l’Astérix réalisé par Jugnot) mais, au-delà de cette envie, il n’y avait pas de projet précis et cela repose donc sur des acquis globalement trop paresseux au regard du talent de ces joyeux drilles quand ils se réunissent.

Patrice Leconte voulait, sans doute, rendre hommage à Max Pecas, et c tout bonnement Raté. Jugnot est Ridicule, j'ai eu honte pour lui, moi qui l'ai, pourtant, en estime; son personnage est surjoué, infâme de lourdeur crasse, imitant une voix, sortie de je ne sais où, totalement à côté de la plaque, par rapport aux deux premiers chefs-d'oeuves. Il gesticule lourdement, dans des scènes toutes plus pitoyables, autant la suivante, que la précédente, Galvaudé, son personnage est niais, nul, indigne de sa renommée d'acteur talentueux. Bref, il s'est Totalement fourvoyé. Aucune sensibilité, à laquelle il nous avait habitués, dans son jeu d'acteur, doué, ne transparaît ici, gros décalque imbuvable, boursouflé, "handicapé", dans une suite de gags carambar (à côté, ce sont des oeuvres d'arts) Il m'a quand même fait rire, tant son interprétation est Pathétique!!! Le pathétique, justement, critiques de français moyens, mises en exergues, dans le premier opus, laisse la place, ici, a du pathétique de cinéma, tout court, genre "film à ne pas réaliser, si on ne veut pas se "planter".Michel Blanc s'en sort à peine mieux, son personnage étant aussi crédible qu'une morue séchant en plein soleil d'hiver, avec une Chazel "silicone Valley"très années 90, bimbo aride, sur le retour. Personnes ne s'est amusés, sur ce film, produit commercial très très bas de gamme, dont, à par pour faire du fric, n'est même pas des signes de évaluations ,,"Ab productions" et de Dorothée, qui passe pour une "killeuse de l'humour", à côté, Bref, c une daube, totalement indigne de la filmo de Patrice Leconte. Mais, ne serait-ce pas Max Pecas, qui l'aurait filmé..??? Aucune recherche artistique, rien, le vide, le néant cinématographique le plus pur. La filmo de Pecas c de l'art, à côté..!!!

Mais pourquoi ? Pourquoi avoir créé cette suite navrante ? Plus de 25 ans après avoir quitté nos amis de la troupe du Splendid, ils reviennent à l’écran, en 2006, toujours sous la conduite du réalisateur Patrice Leconte. Malheureusement, le scénario est pathétique et les acteurs ont perdu l’énergie de leur jeunesse. Bref, une vraie déception.

Bizarrement à sa sortie en 2006  j'avais été déçu. Peut-être qu'après avoir attendu une suite pendant plus de vingt ans, j'en attendais trop. Revu en 2020, avec 14 ans de plus au compteur, et donc presque l'âge des acteurs au moment du film, je vois les choses différemment. Après un démarrage en trombe, les personnages révèlent leurs subtilités liées aux années qui ont passé. Les gags sont moins rythmés que dans les deux premiers opus, tout en étant bien joués. C'est au final un bon cru à laisser en cave quelques années pour l'apprécier.