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Un visiteur
0,5
Publiée le 24 juillet 2012
Les Bronzés 3 : nullité pour la vie. C'était bien la peine d'attendre tout ce temps pour nous pondre cette daube infâme. C'est bourré de clichés et les personnages n'ont plus rien à voir avec ceux d'origine. Ils sont désormais à l'image des acteurs : des vieux cons embourgeoisés qui ont perdu le sens des réalités. Les gags sont d'une débilité affligeante, le scénario est inexistant... Bref ça n'a aucun intérêt sinon celui de nous faire perdre notre temps. Autant j'adore "Les bronzés" et "Les bronzés font du ski" qui sont des films très drôles avec des répliques qui traversent les générations, autant ici on ne retiendra rien. A jeter dans les oubliettes du cinéma français.
Quelle catastrophe ! Avoir attendu près de 30 ans pour ça ... Déjà que je ne suis pas un fan de la première heure des Bronzés, même si je comprends le statut culte de la chose et que je reconnais les qualités du deuxième opus, avec cette insipide suite, je suis définitivement vacciné. J'ai en outre eu le déshonneur de le voir à sa sortie au ciné et cette désagréable impression d'avoir perdu une heure et demie de ma vie. Ce troisième opus est vide de tout, c'est le néant, scénaristique notamment mais pas que, les comédiens sont tous très mauvais, mention à Jugnot par ailleurs, inadmissible à ce niveau. Les personnages sont toujours plus détestables, ce n'est ni drôle ni intéressant, tout n'est qu'accumulation de moments de gêne intensifs, on se sidère de l'absurdité des situations, en bref c'est grotesque. Le Splendid n'est clairement plus dans le coup et ce troisième et espérons le ultime épisode n'aurait jamais dû voir le jour. Un ratage complet.
On ne peut qu’être scandalisés devant un tel amas de vulgarité et d’amateurisme, au point d’y chercher le grand Patrice Leconte de Monsieur Hire (1989) ou du récent Maigret (2022). À croire que Simenon l’inspirât davantage que la troupe du Splendid, qu’il mit pourtant en scène dans les deux volets originaux des Bronzés en 1978 et 1979. Vingt-sept ans plus tard l’envie n’y est plus, et le film pâtit d’une carence d’âme certaine, doublée d’une approximation dans la réalisation rarement vue dans le paysage pourtant désolé de la comédie populaire française d’aujourd’hui.
Il faut voir la caméra manquer ses travellings, le montage ses transitions et la photographie ses prises de vue d’un paradis italien rendu hideux, pour comprendre l’échec technique du projet auquel répond l’absence de scénario véritable, troqué contre une suite de retournements amoureux sans intérêts et de caprices ridicules. Le changement de perruques ne saurait offrir au long métrage un art de la variation : sont balancées dans le mixeur références et idées empruntées aux films précédents, sans que du broyage ne découle une quelconque substance revigorante, ne serait-ce que récréative.
L’ennui s’installe, la colère aussi. La clausule, qui inspirera celle des Visiteurs : La Révolution (Jean-Marie Poiré, 2016), laisse en bouche une amertume qui achève de faire de ces Bronzés 3 : Amis pour la vie un ratage rare parce qu’intégral.
27 ans après leur première excursion sous un soleil de plomb en Côte d'Ivoire dans Les Bronzés (1978) et leur séjour à la neige à Val d'Isère dans Les Bronzés font du ski (1979), on retrouve avec une certaine impatience et joie, toute l'équipe du Splendide au grand complet dans un revival très nostalgique, cette fois-ci, en Italie avec Les Bronzés 3 - Amis pour la vie ! Scénarisé par l'équipe même, chacun se retrouve donc avec le poids de l'âge (ennuis, stress, amour et ... rides !), chacun ayant son lot de problèmes qui refont surface pendant leur séjour, on assiste durant près d'une heure trente à d'innombrables retournements de situation, toujours aussi loufoques et drôles (malgré quelques pertes de vitesse en court de route ou quelques passages à vide), il faut avouer que, même si celui-ci n'atteint pas le niveau de ses prédécesseurs, Patrice Leconte parvient tout de même à nous faire passer de bons moments. Pour une comédie populaire et familiale, on en attendait pas plus, mais pour le revival d'une saga aussi culte, on espérait tout de même un résultat final plus ébouriffant que cela. Mais le principal, c'est que cette comédie ait pu nous faire passer un bon moment, notamment en la compagnie de Thierry Lhermitte, Gérard Jugnot & Josiane Balasko (en couple de beauf), Christian Clavier en looser (il faut le voir pour y croire), Michel Blanc & Marie-Anne Chazel (Chazel et son 95F, énorme !), Bruno Moynot, Dominique Lavanant et enfin Martin Lamotte !
Incroyablement nul. On ne retrouve plus rien des 2 premiers épisodes si ce n'est des acteurs venus toucher un bon cacheton... On sourit une ou deux fois , et le reste du temps on pleure en pensant à une époque ou cette joyeuse bande était si drôle. Désolant.
Tel a couché avec tel, ah non c'était pas vrai. Mais l'autre aurait aimé se taper sa femme alors il a trompé l'autre etc... Voilà à quoi ressemble ce film. Autant les 2 premiers étaient sympathique, celui-ci est mauvais et les perso ont perdu de leur charisme
L'appât du gain est un moteur puissant, comme en temoigne la présente daube. Patrice Leconte filme comme un manche des comédiens blasés ramasser de la fraiche. Le scénario est à l'unisson de la photo particulièrement laide, quant à la lumière pétaradante, qui écrase les visages, elle mériterait d'être montré en école de cinéma en contre exemple. Christian Clavier tente de tirer la couverture à lui dans toutes les scènes, tandis que Blanc et Jugnot semblent s'ennuyer ferme. Le spectateur est pris en otage.
OU LA LA le massacre.... On en est à des années lumières de l'esprit des deux premiers opus de la troupe du Splendid. Les personnages reviennent et sont consternants, c'est plat, souvent vulgaire, dénué de tout humour.... La bande est revenu pour se refaire du fric plein les poches. Résultat, un naufrage complet.
Énorme succès au box-office à sa sortie, cette suite, 27 ans après "Les Bronzés font du ski" n'est pas une franche réussite mais ce n'est pas non plus un énorme désastre. Le scénario a bien su faire évoluer les personnages et les acteurs s'amusent visiblement mais là où les deux premiers films étaient bourrés de situations et de gags cultes, il n'en sera rien ici. Il y a quelques répliques bien trouvées mais certaines situations frôlent le ridicule. Qu'importe puisqu'au final, le film fleure bon la nostalgie et que c'est un vrai plaisir de regarder ces "bronzés", soi-disant amis pour la vie mais qui au final passent leur temps à se regarder le nombril, plus intéressés par leurs problèmes. Derrière la franche rigolade, il se cache donc toujours un peu de cynisme. Entre Thierry Lhermitte en mari lâche et infidèle, Gérard Jugnot et Josiane Balasko en couple profiteurs et égoïstes, Christian Clavier en homme sur la paille prêt à tout pour reconquérir une Marie-Anne Chazel qui s'est fait poser des implants mammaires et qui sort désormais avec un Jean-Claude Dusse méconnaissable, on a tout de même le droit à notre tranche de rire même si ce n'est plus tout à fait comme avant.