Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
MCinéma.com
par Philippe Scrine
L'ENVOUTEMENT DE SHANGHAI se regarde à la fois comme un film d'aventures, un mélodrame et un conte teinté de nostalgie sur l'adolescence. Ce n'est pas un chef d'oeuvre, certes, mais ça reste un de ces " petits films " qui demeurent encore en mémoire en sortant de la salle de cinéma.
Le Monde
par Florence Colombani
Avec l'élégance qu'on lui connaît, Trueba explore l'imaginaire d'un adolescent de cette époque. Le résultat est un film d'un académisme distingué qui se laisse regarder sans déplaisir mais avec une distance croissante : ce fameux sens de l'aventure qu'exalte l'intrigue se perd dans les détails d'une reconstitution empesée.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Alexis Trosset
Mélange de fiction et de réalité, de passé et de présent, de noir et blanc et de couleur (...), le film souffre d'un scénario malhabile qui le laisse vaciller d'un ehistoire à l'autre sans traiter un véritable sujet.
Télérama
par Pierre Murat
Le film oscille sans cesse entre une réalité cernée par l'échec (l'Espagne de 1948) et l'illusion trompeuse. (...) Démesure préparée par la duplicité qui parcourt ce film faussement sage. Voir la comédienne Ariadna Gil dans un double rôle (Anita la blonde et Chen la brune). Ou les yeux vairons de Forcat le conteur. Dans cet Envoûtement de Shanghai, tout est ambigu.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Jean Philippe Tessé
adaptation littérale, moribonde, ringarde, d'un académisme affligeant.[...] Trueba fonce tête baissée dans le pastiche [...] genre dont il est depuis longtemps le piètres spécialiste - to see or not to see, sa Nina de tus ojos, épouvantable lubitscherie discount.
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Parce que le film de Fernando Trueba est triste et sans intérêt, il faut plutôt parler d'un film fantôme qui n'a pas vu le jour et aurait dû porter le même titre, ou presque. (...) Trueba, (...) avec ses gros sabots livre une reconstitution à la fois kitsch et académique, molle, mal jouée, bêtement littérale, éclairée comme un sapin de Noël.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par La rédaction
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
par Vincent Ostria
Une pauvre parodie de von Sternberg, appliquée mais sans atmosphère, sans mystère, sans personnages, sans stars. Même pas drôle.
Studio Magazine
par Benoît Deschodt
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
par Bijan Anquetil
Scénario stéréotypé, mise en scène faussement baroque: l'envoûtement a du mal à prendre.
Zurban
par Eric Quéméré
le "romanesque" de Trueba, hérité entre autres de Sternberg et Carné, semble trop convenu pour séduire encore aujourd'hui.
MCinéma.com
L'ENVOUTEMENT DE SHANGHAI se regarde à la fois comme un film d'aventures, un mélodrame et un conte teinté de nostalgie sur l'adolescence. Ce n'est pas un chef d'oeuvre, certes, mais ça reste un de ces " petits films " qui demeurent encore en mémoire en sortant de la salle de cinéma.
Le Monde
Avec l'élégance qu'on lui connaît, Trueba explore l'imaginaire d'un adolescent de cette époque. Le résultat est un film d'un académisme distingué qui se laisse regarder sans déplaisir mais avec une distance croissante : ce fameux sens de l'aventure qu'exalte l'intrigue se perd dans les détails d'une reconstitution empesée.
Première
Mélange de fiction et de réalité, de passé et de présent, de noir et blanc et de couleur (...), le film souffre d'un scénario malhabile qui le laisse vaciller d'un ehistoire à l'autre sans traiter un véritable sujet.
Télérama
Le film oscille sans cesse entre une réalité cernée par l'échec (l'Espagne de 1948) et l'illusion trompeuse. (...) Démesure préparée par la duplicité qui parcourt ce film faussement sage. Voir la comédienne Ariadna Gil dans un double rôle (Anita la blonde et Chen la brune). Ou les yeux vairons de Forcat le conteur. Dans cet Envoûtement de Shanghai, tout est ambigu.
Cahiers du Cinéma
adaptation littérale, moribonde, ringarde, d'un académisme affligeant.[...] Trueba fonce tête baissée dans le pastiche [...] genre dont il est depuis longtemps le piètres spécialiste - to see or not to see, sa Nina de tus ojos, épouvantable lubitscherie discount.
Chronic'art.com
Parce que le film de Fernando Trueba est triste et sans intérêt, il faut plutôt parler d'un film fantôme qui n'a pas vu le jour et aurait dû porter le même titre, ou presque. (...) Trueba, (...) avec ses gros sabots livre une reconstitution à la fois kitsch et académique, molle, mal jouée, bêtement littérale, éclairée comme un sapin de Noël.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
Une pauvre parodie de von Sternberg, appliquée mais sans atmosphère, sans mystère, sans personnages, sans stars. Même pas drôle.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Scénario stéréotypé, mise en scène faussement baroque: l'envoûtement a du mal à prendre.
Zurban
le "romanesque" de Trueba, hérité entre autres de Sternberg et Carné, semble trop convenu pour séduire encore aujourd'hui.