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Film souverain, assuré, dont la maîtrise se fait toujours au risque d'un certain étouffement (...) Mystification n'en augure pas moins d'un talent de cinéaste dont on espère très vite recueillir les fruits.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
(...) un film porté par une véritable idée de cinéma, une idée non pas figée, mais qui produit différents reflets (...) Très bavard, le film s'élève véritablement dans une dernière scène chuchotée puis muette, où l'image, finalement, triomphe du discours.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
Film sur la trahison sociale [...] l'amitié vendue [...] et le reniement sentimental [...], Mystification ou l'Histoire des portraits suggère que la seule vérité de la fiction consiste précisément à ne jamais tomber le masque.
Tourné sous égide hollywoodienne classique (au sens où la réalisatrice ose la frontalité du cadre et la confession sur le mode indirect), le film replace une parole aujourd'hui précieuse, bizarre (la langue de Diderot), pour un résultat qui ne ressemble à aucun autre, même s'il se réfère à une foule d'atmosphères, ici revisitées, relues, mêlées, embrassées.
(...) le film [trouve] son meilleur lorsque l'excès de phrases embraye brusquement sur une fièvre physique (...) subsiste cependant ceci, seule réserve et vraie question : l'amour du verbe paraît ici s'allier naturellement avec certaine affectation de passéisme (...)
Sous forme de moyen-métrage, Sandrine Rinaldi adapte au 21e siècle un court récit de Diderot, en restant la plus fidèle possible au texte. Paradoxalement, c'est le prologue qu'elle a écrit elle-même qui est le plus empesé. Esuite le charme opère.
On s'énerve, on se crispe sur son fauteuil à en déchiqueter les accoudoirs, mais bien vite on se rend compte que de tels films ne méritent pas tant d'énergie.
Les Inrockuptibles
Comédie raffinée du langage, Mystification est aussi un film à suspense extrêmement tendu. [...] un vrai bonheur de cinéma.
Chronic'art.com
Film souverain, assuré, dont la maîtrise se fait toujours au risque d'un certain étouffement (...) Mystification n'en augure pas moins d'un talent de cinéaste dont on espère très vite recueillir les fruits.
Fluctuat.net
(...) un film porté par une véritable idée de cinéma, une idée non pas figée, mais qui produit différents reflets (...) Très bavard, le film s'élève véritablement dans une dernière scène chuchotée puis muette, où l'image, finalement, triomphe du discours.
Le Monde
Film sur la trahison sociale [...] l'amitié vendue [...] et le reniement sentimental [...], Mystification ou l'Histoire des portraits suggère que la seule vérité de la fiction consiste précisément à ne jamais tomber le masque.
Libération
Tourné sous égide hollywoodienne classique (au sens où la réalisatrice ose la frontalité du cadre et la confession sur le mode indirect), le film replace une parole aujourd'hui précieuse, bizarre (la langue de Diderot), pour un résultat qui ne ressemble à aucun autre, même s'il se réfère à une foule d'atmosphères, ici revisitées, relues, mêlées, embrassées.
Cahiers du Cinéma
(...) le film [trouve] son meilleur lorsque l'excès de phrases embraye brusquement sur une fièvre physique (...) subsiste cependant ceci, seule réserve et vraie question : l'amour du verbe paraît ici s'allier naturellement avec certaine affectation de passéisme (...)
TéléCinéObs
Sous forme de moyen-métrage, Sandrine Rinaldi adapte au 21e siècle un court récit de Diderot, en restant la plus fidèle possible au texte. Paradoxalement, c'est le prologue qu'elle a écrit elle-même qui est le plus empesé. Esuite le charme opère.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
aVoir-aLire.com
On s'énerve, on se crispe sur son fauteuil à en déchiqueter les accoudoirs, mais bien vite on se rend compte que de tels films ne méritent pas tant d'énergie.