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maxshreck
63 abonnés
296 critiques
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4,0
Publiée le 7 février 2009
Il y a une grosse difference entre le premier Gremlins et cette suite, le manque total de magie. Gremlins 2 n'est rien d'autre qu'une suite bien mole et à bout d'idée. Mais bon, difficile pour certains de revenir au fondamentaux du genre.
C'est blindé de petites blagounettes tout du long qui sont invisibles pour les enfants. "Le trio Kingston" (Groupe de musique Kingston Trio), le papier toilettes réversible et autre. Fun et bien travaillé. Quelques nouveaux Gremblins dont un complètement fou et délirant. J'ai beaucoup apprécié. Les gremlins parlent davantage et avec l'accès au laboratoire scientifique d'une grand entreprise... Ils font du dégât. Excellent !
Encore un grand concentré de frayeur à la sauce humour noir signé Joe Dante. Cette fois ci l'humour a clairement prit le pas sur l'horreur. Le long métrage se veut plus grand public que son prédécesseur mais heureusement cela n’empêche pas au film d'être très bon. Par contre je déplore encore une fois que Gizmo soit tant mis en retrait. Trop peu d'apparition et généralement très courtes...
Cette suite de "Gremlins", toujours réalisée par Joe Dante et sortie en 1990 est moins réussie que le premier mais elle reste tout de même très bonne ! Cette fois-ci, nous retrouvons une partie des protagonistes du premier qui travaillent à New-York dans la tour Clamp. Le vieil homme qui gardait Gizmo est mort, ce dernier se fait enlever pour être amené dans la tour Clamp et là, les choses se reproduisent une nouvelle fois. Honnêtement, le scénario n'est pas vraiment original et sonne très suite facile. C'est effectivement le cas car l'histoire est plus ou moins la même, on remplace simplement une petite ville par une grande tour. Simplement, on remarque une chose : les scénaristes et le réalisateur ont voulus s'amuser avec cette suite qui est complètement déjantée ! Si le premier était une comédie horrifique, celui-ci fonctionne beaucoup plus sur le plan de la comédie que sur celui de l'horreur, c'est même presque une parodie du premier ! Il y a effectivement plusieurs scènes où les personnages montrent l'incohérence des règles ou encore qui se moquent de l'histoire tragique de Kate. Nous avons également des Gremlins beaucoup plus délirants qui se transforment en tout un tas de choses après un passage au laboratoire. C'est pour cela que j'ai autant accroché au film, c'est parce-qu'il ne fonctionne pas que sur le succès du premier mais c'est parce-qu'il déborde de bonnes idées et d'imagination. Nous avons en plus d'excellents clins d’œil au cinéma et à tout un tas d'autres choses. Nous pouvons également y voir, entre autres, une certaine critique du capitalisme notamment avec le personnage de Clamp qui peut être une parodie de Trump. Les effets spéciaux sont toujours aussi bons, je regrette juste quelques modélisations 3D de Gizmo qui ont aujourd'hui pas mal vieillies comparées aux bons vieux animatroniques. En ce qui concerne les acteurs, nous retrouvons donc pratiquement la même bande qui joue toujours aussi avec en plus John Glover, Haviland Morris, Christopher Lee etc. qui sont très bons. "Gremlins 2 : La Nouvelle Génération" est donc un très bon film qu'il faut absolument voir au second degré.
La petite peluche Gizmo revient une seconde fois dans un film encore plus délirant. L'humour débridée foisonne, les clins d'oeil référencés au cinéma de genre pullulent, et les Gremlins sont deux fois plus délurés pour notre plus grand plaisir. Avec biensûr de la part de Joe Dante une critique acerbe sur notre société, cette fois-ci l'expansion est montré du doigt. Monsieur Clamp quelque soit la situation voit toujours plus grand, l'équivalent du prometteur aux dents longues, mais toujours avec un air sympathique. Car Gremlins 2 reste une comédie fantastique avec ces séquences burlesques. Les petites bêtes vont cette fois-ci nous amusés, se transformer en tout genre, araignée, chauve-souris, et même en électricité. Le summum reste le Gremlins civilisé qui sera le chef de file d'une génération voulant la grande vie à New York. Quel délice d'ailleurs le spectacle musicale style Broadway chantonnant "New York, New York" ou encore un clin d'oeil au fantôme de l'Opéra. Hormis le casting de l'opus original, quelle belle idée d'avoir engagé en savant fou Christopher Lee, l'acteur mémorable de Dracula. On aura aussi une pensée pour Robert Prosky qui nous a quittés fin 2008 en présentateur déguisé façon Dracula. Gremlins 2 la nouvelle génération est une vraie récréation cinématographique qu'on se lasse pas.
6 ans après l’invasion de Kingston Falls, les gremlins prennent d’assaut un building newyorkais. Moins sombre mais plus délirante que l’original, cette suite s’avère très satisfaisante pour peu qu’on ait gardé son âme d’enfant. Les thèmes du premier film sont toujours présent (culte de la technologie et de la rentabilité menant à la négation de l’humanité) ainsi que les principaux acteurs (quel dommage que le couple vedette n’ait pas percé). Les très nombreuses références cinématographiques (Batman, Rambo, Roger Rabbit, Le Fantôme De L’Opéra, New York New York…) sont autant d’occasions de rire aux éclats. Un film culte de mon enfance.
Je n'irais pas jusqu'à dire que ce deuxième opus dépasse le premier mais certainement je le préfère. Faire une suite qui parodie et joue sur les codes du premier est une manière intelligente de rendre cette suite originale tout en étant dans la veine de son prédécesseur. Les effets spéciaux sont encore une fois géniaux (largement supérieur à ce qui pourrait être fait en CGI). Les Gremlins sont encore plus fous et les gags s'enchaînent avec un superbe rythme et on ne s'ennuie pas une seconde. A voir absolument!
L'esprit du premier volet est toujours présent malgré quelques ratés à la réalisation. Bourré de référence plutôt bien amené on prend plaisir a retrouvé ces petites bêtes dans le cœur de New-York...
Voilà un deuxième volet fort original et inventif, un scénario farfelu et plus sympa que le premier, des effets spéciaux toujours aussi réussi, un petit Gizmorambo trop craquant et une excellente BO, après y'a forcement des défauts dont celui ci, les acteurs surjoue en permanence, mais bon on peut excuser cela en se disant que ça fait parti de la folie du film.
Je suis en général très sceptique à l’égard des suites, notamment de ce genre de spectacles qui, bien qu’il soit à la base assez borderline, a su séduire le plus grand nombre. Pourtant non, c’est toujours Joe Dante qui est aux commandes de cette suite et, loin de se répéter, il parvient à donner une nouvelle dimension à son univers en entrant, chose surprenante, dans le monde de l’entreprise. Mais bon, c’est justement la force de cette saga, de nous surprendre. Pour moi ça fonctionne, c’est con à dire mais moi ça m’a fait rire. Au final j’adore.
Encore plus fous, encore plus dangereux et encore plus moches, les gremlins sont de retour à nouveau sous la houlette de Joe Dante. Dans ce deuxième épisode, c'est tout un immeuble de Manhattan qui va être saccagé par les petits monstres les plus connus du cinéma fantastique. Dante choisi clairement la carte de l'humour en multipliant les références cinématographiques les plus diverses mais aussi en critiquant, par le biais d'une entreprise où tout le monde semble cinglé, la société consistant à faire de la performance au détriment de toute raison (le signal d'alarme anti-incendie, totalement délirant!). Les acteurs du premier film sont de retour,Gizmo aussi, toujours aussi mignon et de nouveaux personnages, loufoques et décalés font leur apparition. Sur ce point, on retiendra l'apparition de Christopher Lee dans le rôle d'un savant fou rendant hommage aux classiques de la Hammer (son face-à-face avec le Gremlins-Dracula ravira les fans de la première heure). Les Gremlins sont partout et s'évertuent à mettre un chambard pas possible dans une société où tout est réglé à la seconde près et ceci, pour notre plus grand bonheur.
Sorte de remake déglingué de "La tour infernale", cette suite a certes moins de charme que l'original mais va encore plus loin dans la satire et surtout dans le délire (et ce dès le début via le cartoon d'avant-programme), ces saloperies de Gremlins (sublimes animatronics cette fois confiées à Rick Baker) allant carrément jusqu'à foutre la merde dans l'économie américaine (voir internationale qui sait ?) et s'emparer joyeusement de votre téléviseur (d'ailleurs plusieurs versions existent de ce détournement, une pour le ciné et une pour la VHS). Un pur concentré de délire !
Au moins aussi bon que le premier, peut-être même meilleur. Le succès aidant, Dante a carte blanche pour cette suite plus ambitieuse, plus méchante et bourrée d'hommages et de réfèrences au cinéma et à la culture populaire en général. Si Dante reprend le principe du premier volet à l'identique, il déplace l'action dans un immeuble High-tech de Manhattan, un univers où les gremlins se déchainent comme des éléphants dans un magasin de porcelaine. On a toujours le même plaisir en voyant les monstres verts semer le chaos partout où ils passent. Leur passage dans un laboratoire où ont lieu des expériences d'un scientifique diabolique permet à Christopher Lee de faire une apparition pleine d'auto-dérision. Critique et caricature méchante et bien sentie de l'amérique d'alors qui sort des deux mandats de Reagan.