Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
2,5
Publiée le 6 novembre 2012
Il est vrai que j'ai quand même largement préféré le premier opus. Bien que "Gremlins 2 : la nouvelle génération" reprenne avec brio tout les éléments de "Gremlins", ils fonctionnent beaucoup moins bien, car c'est cette fois ci à mon avis, ils sont beaucoup trop exagérés. Ici, plus de limites ! Les Gremlins encore plus fou : un qui devient intelligent et se met à parler comme un politique, un qui se travesti, la mèche qui à des pattes d'araignées, un qui se prend pour un vampire, un surexcité, un avec des dents lapins, et je ne parle même pas Guizmo qui se prend pour Rambo ! Enfin, bien que cela soit très bien orchestré par Joe Dante qui repousse ici les limites de la folie, le scénario est quand même moins bien structuré. Le casting est quand même très bon : toujours Zach Galligan et Phoebe Cates, mais en plus Christopher Lee, Robert Prosky, John Glover... Une bande son toujours bien composé par le grand Jerry Goldsmith, et étrangement, des gremlins moins crédibles que dans le premier épisode. Mais le truc qui m'a quand même fait le plus bizarre, c'est quand on sort de l'histoire avec les looney toons ou encore quand les gremlins dévore la pellicule, ce qui permet de faire un clin d'oeil au catcher Hulk Hogan ! Joe Dante avait déjà une idée en tête...
Bref, encore plus barré, "Gremlins 2" pousse encore plus loin les limites de la raison... Et mon enthousiasme avec. Enfin, c'est tout de même un très bon divertissement ! A voir absolument pour les fans...
Le second volet des Aventures de Gizmo à toujours été un calvaire à suivre. Il n'y avais pas 10 ans qui me séparais du dernier passage, je m'en souviens comme si c'étais hier ... Une nouvelle fois, l'histoire se répète.
Gremlins 2 ne se cache pas d'être une suite Merchandising, le choix est plus qu'assumé. Joe Dante et ses camarades embrase la cause de l'autoparodie et flingue toute la poésie et la magie du premier à des buts en rien artistique. Que c'est-il passé pour qu'ils en viennent à une décision aussi radical ? Je capte bien l'idée, mais vraiment, je la déplore.
Le temps s'étire, encore et encore, ses cris incessant fatigue et pèse à tel point que je termine par lâché prise et enclenche le mode automatique. A la fin, je n'y comprend plus rien. J'espère qu'ils ont vendus des marionnettes, qu'ils se sont bien fais marrés entre eux. Ce n'est définitivement pas mon cas.
Une suite complétement barrée qui part en vrille au fur et à mesure que le film déroule. Même réalisateur, même acteurs principaux, mais cette fois, on quitte la petite bourgade de Kingston Falls pour la Grande Pomme, à savoir : New York ! Le film tourne plus dans la comédie que l'horreur, et les Gremlins sont vraiment allumés du bulbe pour notre plus grand plaisir. J'ai dû le voir des dizaines et des dizaines de fois, des scènes délirantes et cultes, un Robert Prosky excellent dans son rôle de présentateur de films d'horreurs. Une suite qui n'est pas dans le même style que le premier, qui n'a pas le même charme, mais qui a marqué les esprits par son côté excentrique.
On ne change pas une formule qui marche et Hollywood la bien compris, on reprend les mêmes bestioles, le même humour mais le scénario, cette fois-ci paresseux, est laissé de côté. Gremlins 2, la nouvelle génération réserve moins de surprise que le premier mais reste toujours efficace en matière de divertissement.
On retrouve la suite du film d'horreur pour enfants...Toujours aussi moyen au final car il est vrai que chaque Gremlin a ses propres caractéristiques (plus ou moins bien trouvées et faisant référence à certains films ou œuvre : celui qui a des légumes sur le visage, à la Arcimboldo par exemple) ), ce qui donne un certain intérêt et qui nous donne quelques scènes drôles. Cependant, le réalisateur en a peut-être trop fait (Gizmo en mode Rambo...) et les humains sont toujours aussi débiles. A noter la présence de Christopher Lee.
Suite complètement futuriste voir même trop, ce film innove dans le physique mieux fait de nos chers petits monstres. Ceux-ci finissent par avoir des pouvoirs surnaturels ce qui peaufine la saga. Des scènes de plus en plus hasardeuses voir même bâclées peuvent se succéder mais cela reste un bon film.
Dans la série second épisode meilleur que le premier, j'ai nommé Gremlins 2. Plus azimuté, plus drôle, plus maitrisé sur le plan technique, des dialogues excellents. Après c'est un peu bordélique, pas le chef d'oeuvre non plus mais un bon jeu de massacre.
Tout aussi culte que son grand frère, Gremlins 2 pousse le délire encore plus loin. L'ambiance y est totalement différente, beaucoup moins "glauque" et un aspect comique beaucoup plus prononcé.
Le scénario quand à lui ne vole pas bien haut, mais la sauce réussi à prendre.
Gremlins 2 est un film où on ne réfléchit pas. On regarde et rit des bétises des ces petits hommes verts.
"Gremlins 2, la nouvelle génération" met en avant, une nouvelle fois, les petites créatures de Joe Dante. Et à la manière du premier opus, c'est bien réalisé et doté d'un scénario convainquant. De plus, le comique y est de nouveau présent et on ressent les mêmes effets que le premier épisode. Les Gremlins sont donc toujours aussi divertissant et plaisant, ce qui offre un film réussi.
contrairement au 1er,le réalisateur a préféré jouer la carte de l'humour plutôt que celle de la peur,au final on rigole bien même si il n'atteint pas le niveau du premier
On ne change pas une formule qui marche et Hollywood la bien compris, on reprend les mêmes bestioles, le même humour mais le scénario, cette fois-ci paresseux, est laissé de côté. Gremlins 2, la nouvelle génération réserve moins de surprise que le premier mais reste toujours efficace en matière de divertissement. 13/20
Joe Dante avait raison une suite était une mauvaise idée , enfin , pour récolter un peu de blé et pour faire plaisir aux fans cela ne fait de mal à personne .
Le premier opus était une agréable surprise, un film d’horreur réellement violent mais pour toute la famille, une comédie de mœurs orchestrée par un Joe Dante, toujours excellent. Alors qu’avait-il à rajouter pour Gremlins 2 ?
Malheureusement, rien n’est ajouté et le film, autrefois dans une petite bourgade américaine, se retrouve confiné dans un building complètement mis à sac par les saletés ambulantes. Et justement, c’est un des points fort du film tout en étant, à terme, son point faible. Complètement recentré, le film nous crée des hybrides, comme le Gremlin araignée (grrr !) ou l’hilarant Gremlin intelligent, totalement délirants. Les personnages humains n’ont pas vraiment d’importance et seuls les Gremlins comptent, créant une petite société qui ira jusqu’à une interprétation de New York, New York. C’est néanmoins son point faible car cela ne laisse aucune possibilité au spectateur de s’attacher à un personnage, la plupart n’étant pas vraiment important, inclus Zach Galligan.
Mais où le film se démarque de son illustre prédécesseur, c’est grâce à la propension qu’à son scénario à briser le quatrième mur, et ce de façon très réjouissante. En effet, le générique est un cartoon des Looney Tunes, pendant le film, l’image est brulée par des Gremlins métadiégétiques qui laissent apparaître l’excellent Hulk Hogan qui sauve le spectateur des griffes de ces bestioles malfaisantes. Il est donc évident que le film est amusant, ultra-référentiel et d’une décontraction bienvenue et qu’il, bien heureusement, ne repose pas que sur cet aspect, à la manière d’un dessin animé DreamWorks d’aujourd’hui. Tout ceci est mis en scène avec le savoir-faire habituel d’un Joe Dante qui sait faire de l’horreur de toutes les façons, familiale ou pas, et qui enchaîne les plans réussis.
Quant aux acteurs, on ne notera que Dick Miller, l’âme damnée du réalisateur, qui livre ici une excellente performance. Le reste n’est pas vraiment important, du aux personnages bien trop peu travaillés (regrettable pour des protagonistes au potentiel intéressant comme celui d’Haviland Morris), véritable défaut d’un film qui aurait pu être un classique, mais qui échoue au pied du mur. Mention spéciale à la musique, bien moins bonne que dans la première itération.