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Kevin T
40 abonnés
465 critiques
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5,0
Publiée le 18 mai 2009
Un pure délire enfantin d'1h30, on sent vraiment le souhait de créer un pur film ne se prenant pas au sérieux une seule seconde et faisant éclore tout les petits délire provenant de l'imagination de ses auteurs ! C'est très bas de plafond, moins mignon que le premier mais plus euphorique, c'est tout de même ce dernier que je préfère !
Inférieur au premier Gremlins, ce film est toutefois très honorable. Quelques scènes sont vraiment énormes et la méchanceté est peut-être encore plus présente que dans le premier. Bons interprètes, notamment Christopher Lee dans un second rôle. Pas mal du tout.
Quel plaisir de retrouver ces adorables petits monstres, drôles et attachants, d'autant plus que cette suite ne manque pas d'inventivité et n'a rien à envier à son précurseur. Le mélange entre comédie familiale et film d'horreur pour enfants fonctionne toujours.
Moins bon que le premier, ce deuxième volet de Gremlins est pourtant un grand moment. Dante délaisse le coté sombre du premier pour laisser libre court à l'amour qu'il porte aux dessins animés de Chuck Jones. Gizmo est toujours aussi craquant, qui n'a jamais révé d'avoir un Mogwaï???? C'est drôle, enlevé, avec ce qu'il faut de scènes purement fantastique, du Joe Dante quoi!!!
Après le succès du premier film, Joe Dante a attendu un moment que la technologie puisse lui permettre de mieux faire bouger les gremlins avant de se lancer dans une suite. Celle-ci lui permet en effet de laisser libre court à son imagination débridée, toujours proche du cartoon pour une suite totalement délirante où le scénario n'est qu'un prétexte à une succession de scènes jouissives où les des Gremlins tous plus fous les uns que les autres mettent un joyeux bordel dans un building. Changement de décor donc : au lieu d'une petite ville paisible, c'est dans un gratte-ciel appartenant à un milliardaire (qui n'est pas sans ressembler à Donald Trump) que les Gremlins s'en donnent à cœur joie. C'est l'occasion pour Joe Dante de critiquer vivement l'Amérique des années 90 où la productivité du travail et la technologie sont mises à l'honneur en dépit de l'humain. Si le scénario ne repose plus vraiment sur l'effet de surprise, on est franchement gâtés en terme de séquences humoristiques. Non seulement les créatures sont terriblement hideuses et mieux animées qu'en 1984 mais les références pleuvent, jusqu'à aller à une mise en abyme complètement improbable. Le bestiaire est hideux, l'humour est corrosif et délirant, autant dire que l'on s'amuse comme des fous devant toute cette surenchère.
Joe Dante revient six ans après l'incroyable succès des Gremlins et nous offre une séquelle encore plus dingue que l'original. Possédant désormais un budget passant de onze à cinquante millions de dollars, le réalisateur de L'aventure intérieure va s'en donner à cœur joie pour nous en mettre plein la vue. Au programme : (beaucoup) plus de gremlins, plus d'action, plus de frissons et - bien entendu - plus d'humour terriblement noir. Déménagement cette fois-ci fortuitement à New York, les vilaines bébêtes vertes vont peu à peu envahir un building ultra-moderne où travaille par le plus grand des hasards les rescapés du premier film Billy et Kate. Si cette nouvelle aventure est extrêmement poussive dans son scénario, elle a le mérite de beaucoup plus divertir que le premier volet, Joe Dante usant de son budget faramineux pour multiplier les excès les plus fous et d'apporter à la franchise une autre dimension. En effet, les gremlins ingurgitent ici plusieurs potions expérimentales les rendant par conséquent très différents : l'un devient un gremlin-araignée, un autre devient électrique, un autre une femelle ou encore un dernier devenant intelligent, doué de parole et diplomate. Bien sûr, tout ceci est très exagéré, parfois ridicule mais sied finalement bien à la folie du long-métrage, ce dernier ne faisant que repousser les limites du premier film. Les scènes d'action se multiplient à vitesse V au même titre que les effets spéciaux toujours aussi impressionnants, Dante conservant les marionnettes originelles tout en les retravaillant, rendant les créatures beaucoup plus réalistes, plus effrayantes ou plus attendrissantes (Gizmo est ici encore plus mignon, ses yeux grossis et sa frimousse craquante nous faisant fondre comme un glaçon en plein désert). Ainsi, Gremlins 2 est peut-être plus exagéré aussi bien dans son délire fantasque que dans son scénario rocambolesque mais a le mérite d'être un sacré divertissement tout aussi culte que le premier et surtout très attractif.
Un suite encore plus dejantée que la première. Avec beaucoup de références cinephiles disciminées tout le long du film. Fous rires à gogos et Gizmo toujours aussi craquant.
Plus de bestioles, plus de références, plus délirant et inventif mais moins de satisfaction en fin de compte. Malgré un second degré et un humour noir des plus loufoques, «Gremlins 2» toujours mis en scène par Joe Dante, n’arrive malheureusement pas à renouveler l’efficacité du premier opus. Servie par des effets spéciaux mieux conçus, cette «Nouvelle Génération» demeure néanmoins parfaitement divertissante.
Une suite efficace qui joue sur l'esprit corrosif des petites bêtes pour surpasser le premier volet, en multipliant les références culturelles et en détournant tous les codes du genre, jouant la carte de la démesure avec beaucoup de maîtrise. C'est drôle et franchement inspiré, et Gizmo toujours aussi adorable. De la comédie d'action qui reste aussi amusante après les années, grattouillant les travers de la société américaine avec malice.
Sa se laisse suivre, c'est assez sympa, et nettement plus sombre (2ème volet oblige), mais j'ai (de loin) préféré le premier opus. A noter que les effets spéciaux sont plus réussies ici.