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Un visiteur
3,5
Publiée le 18 mars 2016
Cette suite est véritablement différente du précédent opus : on reprend les Gremlins qui saccagent tout mais on change de cadre (ici une entreprise), on dénonce les travers de la société, on ajoute une bonne dose de WTF, des références à tout va et on brise le quatrième mur... Disons que le film est vraiment plaisant et drôle. Cependant malgré le renouveau apporté, ce film est un peu répétitif, surtout si on a vu le 1 juste avant, parce que globalement il se renouvelle pas au niveau de l'intrigue. Ça reste loufoque et drôle, mais inférieur au premier.
Tout comme SOS Fantômes sorti la même année, Gremlins a eu droit à un deuxième épisode six ans plus tard où l'on retrouve Billy et sa copine ayant grandi et travaillant pour une société localisée dans un immense gratte-ciel qui obtient Gizmo après la mort de M. Wing au début du film. Le schéma reste le même avec la création de trois mogwais après une éclaboussure, puis leur métamorphose en gremlins une fois qu'ils ont mangé après minuit. Mais cette fois-ci, si deux des gremlins sont sérieux, l'un d'eux est complètement déjanté aussi bien au niveau de ses cris que de l'animation de ses yeux, tous deux dignes d'un cartoon.
Le film est alors bien plus orienté humour que le précédent, avec moins d'horreur et des agressions plus comiques. Les gremlins en arrivent vite à se multiplier à cause de l'alerte incendie et certains d'entre eux obtiennent certains pouvoirs en contact à des potions : on a alors un gremlin chauve-souris, un végétal avec une face de légumes, un qui se retrouve enfermé dans le réseau électrique avec de jolis effets spéciaux pour le représenter, un gremlin qui change de sexe et voudra se marier, et le chef qui parle comme un homme grâce à des hormones cérébrales, faisant ainsi une interview télévisée au cours de laquelle il fait l'apologie de la société humaine tout en tuant un de ses congénères, des placements boursiers tout en se moquant des traders qu'il tient au téléphone, puis interprétant la chanson New York, New York de Liza Minnelli et Frank Sinatra.
Comme dans le premier film, les références au cinéma sont nombreuses : le présentateur télé qui se fait attaquer par les gremlins alors qu'il est en train de faire une critique très négative du premier Gremlins, Gizmo qui se la joue Rambo après avoir vu un passage du 2 (pour survivre à la guerre, il faut devenir la guerre), le trou représentant l'insigne de Batman quand le gremlin chauve-souris défonce le mur, le masque du Fantôme de l'opéra, le tee-shirt décoré d'un logo inspiré de SOS Fantôme, la présence d'un personnage déguisé en dracula ainsi que de Christopher Lee en second rôle (qui a fait connaître Dracula au cinéma), sans oublier le caméo d'Hulk Hogan dans le cinéma.
Si on peut regretter le manque de violence sarcastique, l'aspect comique fonctionne parfaitement et le film ne tombe jamais dans la mauvaise série B. Un bon classique !
Le deuxième opus de la série est juste à tordre de rire. Bien différent et moins effrayant que le premier opus, il n'en reste pas un moins un excellent divertissement.
Généralement, je dois avouer que je ne suis pas fan des suites, souvent inégales et se contentant de reprendre bêtement le concept des premiers films. Pour "Gremlins 2", certes, la Warner réutilise le même concept du premier "Gremlins", à savoir l'invasion de ces monstrueuses bébêtes vertes dans, non plus une petite ville américaine, mais New-York. Si le scénario du premier opus, signé Chris Columbus, était déjà très drôle (et peut-être mieux maîtrisé au passage), l'histoire de cette suite, écrite par un certain Charlie Haas, se révèle être sacrément borderline. Joe Dante n'hésite pas à pousser le délire jusqu'à ses derniers retranchements et le résultat, si l'histoire est plus en roue libre, est meilleur que l'original. Si dans "Gremlins", l'humour noir était présent et si l'on passait un bon moment, ce "Gremlins 2", plus loufoque, est aussi plus drôle pour ceux et celles qui sont sensibles au déjanté. Certes, si l'on peut remarquer quelques facilités de scénario et d'autres embranchements plutôt regrettables qui nuisent à la qualité générale du film, "Gremlins 2" se contente plutôt d'être un grand délire cinématographique aux multiples références liés à la pop culture. De "Rambo" à "Cabaret" en passant même par le catch avec la présence de Hulk Hogan, Joe Dante néglige un poil la qualité générale de son film, moins mature, mais plus drôle de par la nombreuse quantité de gags. Or, n'est-ce pas le plus important dans ce genre de production? Passer du bon temps en faisant travailler nos zygomatiques? Et c'est justement ce que propose "Gremlins 2", du rire, du rire et encore du rire dans une grosse fiesta bordélique organisée par les ignobles Gremlins. Joe Dante réalise un agréable divertissement, un poil meilleur que le premier film à mon goût, grâce à l'omniprésence d'humour. Dommage que certains éléments ne relèvent que du cliché, ce qui a tendance à rendre le tout un peu prévisible. Un bon divertissement qui, à l'image du 1, ravira toute la famille et les amateurs de Gizmo (mais aussi ceux des Gremlins, héhé... L'humour noir, c'est tellement mieux.).
Le 1er était excellent, celui là déchire tout ! Les gremlins se multiplient, parlent , mutent et envahissent New York ! Mention spécial à l'adorable Guizmo relooké en Stallone pour affronter tout ce beau monde ! ^^. Bref plus de fun, plus d'humour décomplexé et de second degré assumé. Sans compté la musique remixée de Jerry Goldsmith vraiment géniale. Alors pourquoi pas la note maximale ? L'esprit du premier qui était plus enfantin, n'existe plus. Mais ce n'est pas plus mal au fond.
Dés la séquence pré-générique avec un Daffy Duck déchaîné, le ton est donné ! La suite du culte "Gremlins" sera un film déroutant en total décalage avec le premier opus (dont il ne conserve que le ton politiquement incorrect). Point d’hommage aux films de monstres ici mais une parodie acerbe du monde du travail et des techniques modernes de management à la fois drôle et pertinente (voir spoiler: le licenciement du salarié qui fait une pause-cigarette ou la lumière de bureau qui s’éteint quand on reste trop longtemps assis ). Une critique sociale qui fait mouche mais qui amène le spectateur à se demander l’intérêt de la présence des Gremlins qui font tâche dans l’histoire. Autre défaut (et non des moindres) : le look trop factice des monstres (dû notamment à une volonté d’individualisation trop poussée) accentué par des effets spéciaux assez moyens qui auraient dû se limiter à l’animatronique très réussi du premier épisode au lieu de flirter du côtés des images de synthèse encore balbutiantes. Quant au parti pris de Joe Dante de jouer la carte du second degré à fond (spoiler: le logo Batman, le traumatisme de Kate qui fait écho au premier opus, la scène au cinéma avec Hulk Hogan, les clins d’œil à "Rambo", au "Phantom de l’Opéra" ou au "Magicien d’Oz "…), il est un brin poussif, surtout quand le réalisateur truffe sa mise en scène de plans penchés façon série Z. Mais il offre aussi quelques scènes mémorables (spoiler: le "New-York - New York" chanté par les Gremlins, les interventions du Gremlins doué de parole …). Et puis le casting voit le retour du gentil Zach Galligan, de la belle Phoebe Cates et du couple Futterman campé par Dick Miller et Jackie Joseph, épaulés par d’amusants seconds rôles (John Glover en golden boy, Christopher Lee en savant fou, Robert Prosky en animateur "has been", Haviland Morris en "working girl"…) sans oublier le tout mignon Gizmo (malheureusement sous-exploité). En résumé, une excellent satire sociale qui n’aurait jamais dû être la suite d’un film aussi culte que les "Gremlins". Le premier opus était une agréable surprise, un film d’horreur réellement violent mais pour toute la famille, une comédie de mœurs orchestrée par un Joe Dante, toujours excellent. Mais là où ce film se démarque de son illustre prédécesseur, c’est grâce à la propension qu’a son scénario à briser le quatrième mur, et ce de façon très réjouissante. En effet, le générique est un cartoon des Looney Tunes, et pendant le film, l’image est brûlée par des Gremlins métadiégétiques qui laissent apparaître l’excellent Hulk Hogan qui sauve le spectateur des griffes de ces bestioles malfaisantes. Il est donc évident que le film est amusant, ultra-référentiel et d’une décontraction bienvenue et qu’il, bien heureusement, ne repose pas que sur cet aspect, à la manière d’un dessin animé Dreamworks d’aujourd’hui. Tout ceci est mis en scène avec le savoir-faire habituel d’un Joe Dante qui sait faire de l’horreur de toutes les façons, familiales ou pas, et qui enchaîne les plans réussis. Mention spéciale à la musique, toujours aussi culte. Plus hilarant encore que le premier opus, ce nouveau "Gremlins" reste cependant toujours assez laid visuellement mais cela dit c'est un film encore plus réussi pour ma part
Suite très marrante ! Le mélange de genres (fantastique, comédie et épouvante) est toujours autant jouissif ! Le scénario est moins recherché que dans le premier volet mais la photographie de Gremlins 2, la Nouvelle Génération est plus belle et les effets spéciaux sont mieux faits (sans doute grâce aux progrès technologiques et au budget beaucoup plus élevé). La BO n'est pas mal et une nouvelle fois, Zach Galligan est très bon dans son rôle !
Après avoir vu le chef d'oeuvre du premier opus, ce deuxième opus toujours réalisé par Joe Dante est pour ma part excellent, mais d'un poil moins bon que le premier. Mais au moins, il y a toujours autant d'humour que le premier, je dirais même plus. Les acteurs n'ont pas changé et ils jouent toujours aussi bien, il y a aussi Christopher Lee (Le Cauchemar de Dracula, Le Masque de Fumanchu, L'Homme au Pistolet d'Or, Les Rivières Pourpres 2 : les Anges de l'Apocalypse, Le Seigneur des Anneaux, Le Hobbit, Star Wars, Charlie et la Chocolaterie). spoiler: Dans cet opus, Mr Wing est mort, et son magasin est détruit, et Gizmo se retrouve en pleine ville de New-York. Billy et Kate habitent maintenant ensemble à New York et Billy retrouve son mogwai Gizmo dans un laboratoire de recherche génétique dans le building où il travaille. Mouillé par erreur par le réparateur de fontaines à eau, Gizmo donne naissance à une nouvelle génération de mamouthe mogwai, qui se transformeront vite en Gremlins avant de partir à l'assaut d'un building high tech et utiliseront les ressources surprenantes d'un laboratoire de génétique. Les Gremlins tenteront ainsi d'envahir New York. spoiler: C'est marrant, parce qu'un moment, un critique de films nommé Léonard Maltin critique le premier film des Gremlins, et il ne fait que dire des choses négatives sur ce film, et juste après, les gremlins l'attaquent. Un moment, avec une paire de ciseaux démesurée la main d'un gremlin sectionne un fil de téléphone pendant que l'on entend sa voix rauque dire : « Téléphoner maison ? Nooon ». Pour survivre à la guerre… il faut devenir la guerre !. Gizmo après avoir vu cet extrait du film Rambo 2 et avoir subi sa descendance, décide plus loin dans le film, de lui aussi « devenir la guerre » et se transforme en petit Rambo avec le fameux bandeau rouge et un arc lui tenant lieu d'arme. Ce qui est marrant aussi, c'est qu'il y a un gremlins narrateur. J'ai bien rigolé en regardant cette suite, qui est excellente, même si je préfère d'un poil le premier. Un excellent film, 4.5/5.
Ah apres un premier épisode réussi dante remet ca avec un épisode plus drole, guizmo est toujours aussi attachant et la nouvelle race des gremlins est vraiment ...cool( je sais pas quoi dire d'autre^^)Ah est ce gremlins intelligent est la gremlins pin up lool, oh est quanbd guizmo la joue rambo nan franchement excellent.
Gizmo est toujours en vie, à Chinatown. Un promoteur immobilier soucieux de raser le bâtiment du vieux chinois l’ayant recueilli ; la mort de son protecteur ; Gizmo errant dans les rues de New-York ; et c’est parti pour la multiplication des petits pains… oups des vilains Gremlins !!! Avec ce second opus, on perd la magie du premier film. Avec toujours la même erreur, des producteurs avides d’argent qui exploitent un filon lucratif jusqu’à la lie. Bon, ce film est tellement mauvais que dès le second la saga s’arrête. Dans le scénario validé par ces mêmes producteurs, ils singent un promoteur vénal, mais de qui se moque-t-on !!!! Le scénario est sur le fond semblable au premier, mais quand on ne sait plus quoi raconter on enchaine les sketchs comiques autour de ces marionnettes délurées. Quelques scénettes font rire mais on s’épuise vite. A la moitié du film, même mon fils de 12 ans hésitait à arrêter, il avait pourtant adoré le 1er. Passez votre chemin tout-un-cinema.blogspot.com
Cette fois, Joe Dante sème le chaos dans l'écriture même de son film (grandiose gag que celui des gremlins interrompant la projection) qui en devient certes par moments bancal mais aussi absolument audacieux.