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Un visiteur
1,0
Publiée le 29 septembre 2006
Décevant. Les gags potaches (trop rares) à la Farelli mais sans le rythme ni la fraicheur. La fin moralisatrice ( attendre le mariage...) est plus qu'horipilante surtout dans un film qu'on espère aussi joyeusement décalé que son sujet. Seuls les personnages secondaires, plutot sympas, sauvent ce film du ratage absolu. Dommage qu'ils ne soient que secondaires.
Je suis allé voir se films sans grand espoir et il me semble que sa a été pire. Comédie navrante car déjà que le sénario est pas a casser la barraque mais en plus vous rejouter un soupson de de crétinisme et de moquerie de gamin plus une vulgarité digne d'un gosse de 15 ans. Aller voir si vous avez un exès illimité au cinéma sinon sa deprime de gaspiller autant son argent.
40 ans, toujours puceau est une comédie beaucoup plus mature que les pochades genre American Pie ou Road Trip. Dans le role titre Steve Carell explose enfin aux yeux du grand public. Cela fait près de cinq films quil me fait délirer et je suis vraiment content quil accède enfin au premier role. Co-écrit par Carell lui-meme, The 40 Year-Old Virgin commence certes par une érection (!) mais malgré les « fuck » toutes les deux secondes, le film ne tombe jamais dans la vulgarité gratuite. Le scénario propose une vision assez juste sur le célibat des quadragénaires et nest en aucun cas le récit dune quete sexuelle. Les personnages sont finalement à la recherche de l'amour et du bonheur. Steve Carell définitivement nouvelle star comique possède une palette démotions insoupçonnées souvent rare dans ce genre de production. A ses cotés, la sexy Catherine Keener sen donne à cur joie dans la comédie. Carell retrouve son complice de "Anchorman: The Legend of Ron Burgundy", Paul Rudd. Les seconds roles sont désopilants (Seth Rogen, Romany Malco), quelques scènes notamment celle de lépilation (à hurler de rire) sont très réussies. On rit énormément, on est meme ému ce qui est une véritable surprise. On pense bien sur aussi aux Farelly mais je trouve que cette comédie est beaucoup mieux écrite, plus réaliste et plus mature que leurs films. Une comédie très réussie.
La meilleure comédie ricaine que j'ai vu ces dernières années. Steve Carrell est hallucinant, les seconds rôles sont tous hilarants (mention spéciale au personnage de David qui harcèle son ex et sombre dans l'alcoolisme). C'est parfois vulgaire, légèrement mysogine, mais toujours drôle. Faudrait peut-être qu'en France on commence à prendre exemple sur les USA pour ce qui est de la comédie.
Bon, il va déjà falloir commencer par faire abstraction du titre, assez abominable quoique somme toute honnête (au moins, on ne vous ment pas sur la marchandise). Ensuite, le film est un tel patchwork que, selon votre disposition, vous choisirez de retenir ce qui vous a plu, ou, au contraire, ce qui vous aura horripilé. En effet, y'en aura pour tout le monde : des gags lourds pas drôles (le héros se trimballe chez lui avec le piquet de tente, et alors ?), de la vulgarité réussie, du romantisme neuneu, quelques dialogues qui font mouche, du puritanisme à l'américaine (l'abstinence avant le mariage reste prôné même dans une comédie basée sur la fesse), des clins d'oeil geeks, du copinage, bref, à boire et à manger. Pour son premier film en vedette, Steve Carrell livre une prestation en demi-teinte dans la mesure où les meilleurs moments du film ne sont pas forcément à mettre à son crédit mais plutôt à celui de certains seconds rôles. A ses côtés, la merveilleuse Catherine Keener, à mille lieues de l'univers de Tom DiCillo (ceux qui ont vu Bad luck s'en féliciteront !), semble s'amuser comme tout, ou fait bien semblant. En dépit de quelques trouvailles, le film apparaît en définitive manquer d'unité (toujours cette satanée tendance à contrebalancer les excès par de la guimauve) et aurait également gagné à être un peu dégraissé (les deux heures paraissent un peu longuettes).
Plusieurs jolies surprises donc dans ce "40 ans, toujours Puceau" au titre-programme par ailleurs totalement respecté : Steve Carell bien sûr, qui avait déjà volé la vedette en une seule scène à Jim Carrey dans "Bruce Tout-Puissant", et qui confirme une remarquable intelligence comique. Ensuite, le soulagement de voir que le film, malgré un niveau de grossièreté rarement atteint, évite tous les pièges de la comédie "teenage sex" régressive hollywoodienne, ce qui n'est pas si courant. Mais le vrai bonheur, en l'absence de mise en scène notable (LE problème de la comédie contemporaine, quand même), c'est le délire verbal des personnages secondaires, tous savoureusement et subtilement construits : au delà du vomi et des érections, ce qui gicle et bande ici, c'est le verbe ! Et si la morale puritaine triomphe à la fin (le mariage avant la consommation), Carell a encore l'intelligence de se lancer dans des reprises de "Hair", comme ultime commentaire sur un monde qui a changé.
Voilà une petite comédie très fraîche, comme on les aime... Non sans rappeler "Mary à tout prix" dans certains mécanismes (Steve Carell,le puceau, joue un rôle taillé pour Ben Stiller avec une ressemblance parfois confondante), on se laisse aller sans effort, et avec un certain plaisir, à ce divertissement bien sympathique. Cela faisait un moment qu'on nous servait des comédies affichant de grosses prétentions mais sans efficacité. Cela alimente la foi de retrouver enfin l'inverse.
En deux mots: J'adore. C'est trop bien, ma scène préférée la scène d'épilation c'est trop ouille. Franchement avec mes amis on a rigolé tout le long. L'humour est simple,surtout basé sur le sexe mais c'est sympa Franchement aller le voir...