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Un visiteur
3,0
Publiée le 3 janvier 2011
Une comédie assez réussie. L'humour est certes assez gras, mais avec un titre pareil il ne faut pas s'attendre à beaucoup de subtilité ! Donc si vous aimez l'humour potache du style "American Pie", ce film vous plaira.
Comédie légère à prendre au dernier degré, ce film est amusant. Ce n'est pas "the film" mais on rigole bien devant les facéties de Steve Carell. Il y a des moments hilarants comme par exemple la scène d'épilation… Film à voir.
Voici la comédie américaine par excellence : on prend un type,on lui donne une particularité loufoque , on s'en sert de base pour plusieurs gags , il rencontre la femme de sa vie , une scène de dispute puis réconciliation et happy end ( avec mariage si possible ).Et ici ça ne déroge pas à la règle sauf qu'en plus l'idée de base est naze ,surtout qu'il renforce l'idée dans notre société que le depucelage doit être le plut tôt possible,les gags ne font vraiment pas rire, Steve Carell est vraiment un mauvais acteur et cerise sur le gateau il perd son pucelage pour sa nuit de noce , histoire ne nous dire ne faites l'amour qu'avec la femme de votre vie et en étant marié , c'est vraiment pitoyable.Un film à oublier.
Comédie Bof baf tout juste moyenne, elle cumul des âneries pas vraiment drôle, mais bon il y a quand même quelques trucs marrants et la prestation de Catherine Keener qui a + ou – sauvé un peu le film.
Je n'attendais pas beaucoup de ce film, mais c'était déjà trop. Les spectateurs avaient bien dit qu'il ne s'agissait pas d'une comédie potache à la American Pie, ça OK. Par contre, ça reste quand même totalement nul. Il semblerait que les créateurs du film aient confondu puceau et simple d'esprit.... Le film est dénué de rythme, vous imaginez : pas d'humour! L'histoire fait du surplace pendant 2 heures, le type ayant toujours le choix entre allumer une 'salope' ou sortir avec la nana d'en face, ayant le physique d'une bibliothécaire, voyez. Un final aussi prévisible que toutes les scènes du film. Et le pire dans tout ça, au-delà du beaufisme conquérant du film et du moralisme enfantin martelé jusqu'à l'aliénation, c'est l'absence patente de tout charisme de Steve Carell. Un sommeil réparateur vous fera oublier cette nullité.
mieux qu'un american pie....moins bon qu'un super grave...ce film fait rire mais ne vole pas tres haut! les acteurs ne sont pas mauvais mais l'histoire laisse tout de même a desirer...
Mais qu'est-ce-qui m'a pris de regarder une m... pareille ? L'envie de voir, en attendant autre chose, un film profondément crétin et vulgaire avec un humour en-dessous de la ceinture ? Ben, apparemment c'est ça ; pourtant, je vous jure que j'étais conscient de mon acte... Enfin, les remords ne serviront à rien, j'ai bel et bien perdu une heure de mon temps (je n'ai pas eu le courage d'aller jusqu'au bout) devant cette bouse. Si certains teen-movies d'abrutis se sont parfois révélés être d'étonnantes surprises (je pense à un "40 jours, 40 nuits" pas si pitoyable que ça), la grande majorité (dont celui-ci fait partie) sombrent très vite dans le néant, faute d'humour. Dès le générique, on sent que les vannes vont être potaches et on se met à craindre que la niaiserie soit téléphonée ; malheureusement, c'est bien ce à quoi on aura droit autour d'une histoire faussement drôle (en fait, le concept peut faire sourire avant que le traitement ne referme très vite l'expression de votre visage) lamentablement déroulé... Les Jacky sont de sortie, pas de doute là-dessus : les discussions de comptoir fusent entre des blagues à deux balles d'un état d'esprit proche de je-m'amuse-bien-avec-mes-copains-avant-d'aller-voir-bobonne. Entre deux bières et quatre Mc Do, les scénaristes nous ont pondu un triste reflet de l'Amérique profonde : celle qui croit être assez ouverte au sexe pour en rire naturellement (avec un humour je vous dis pas !) mais qui se révèle au fur et à mesure du film de plus en plus réactionnaire, bien attaché à sa morale de mes deux, à ses valeurs traditionnelles qui n'ont pas tant évolué que cela depuis quelques décennies et qui ont même une fâcheuse tendance à régresser. C'est moche, ça pue, ça s'exporte et ça marche : voici en gros la désastreuse conclusion que l'on peut faire à propos de "40 ans, toujours puceau", un navet comme Hollywood en produit des masses, à la qualification intellectuelle absente mais néanmoins titulaire du label "100 % puritain". Berk.
On voit arrivé les conneries gros comme un camion et elles ne sont pas drôle au final. Le personnage est mignion même presque attachant mais ca en devient lourd et pathétique à la fin et d'ailleur j'ai même pas terminé le film et je ne regrette pas de l'avoir arreté.
Je serai de mauvaise foi si je n'avouais pas avoir quand même bien rigolé. Grâce à un Steve Carell qui nous rend attachant ce personnage de grand enfant "qui roule encore à bicyclette et travaille au stock". C'est pourtant dommage que la fin très conventionnelle vienne un peu gâcher une certaine originalité de ton, qu'on retrouve de plus en plus souvent dans ces comédies américaines aux titres racoleurs à souhait mais qui se révèlent plus riches qu'elles n'en ont l'air.