Un classique de la comédie potache américaine diront certains... personnellement j'ai trouvé que ça traînait en longueur et que ça tournait un peu en rond. Steve Carell est cependant très bon.
vu version non censurée. Une bonne comédie portée par Steve Carell, irrésistible en quarantenaire coincé. Les stratagèmes imaginés par les collègues de boulot d'Andy pour mettre fin à son pucelage sont savoureux et le pauvre, s'en prend plein la poire pour notre plus grand régal. Attention! Dans la version non censurée, certaines scènes sont très grivoises mais pas pires que feue une playmate de Collaro. C'est plus drôle que vulgaire.
Un film divertissant, un peu culcul la praline, mais les blagues dans la bande de potes fonctionnent et on rigole un peu. Le montage final est peut-être un peu long pour ce type de film, mais on passe un moment agréable.
Premier film de Judd Apatow écrit avec son interprète principal le comique Steve Carell. C'est drôle, très en-dessous de la ceinture, vraiment très limite parfois. Mais il a fait pire après avec En cloque mode d'emploi que j'ai préféré. Seth Rogen est comme toujours épatant.
Ce film, réalisé par Judd Apatow et sorti en 2005 est assez moyen. Pourtant, contrairement à ce que l'on pourrait penser, le film n'est pas lourd et ne tape pas en tout dans un humour bien graveleux à l'américaine, style "American Pie" mais est plus en subtilité. Malgré tout, je ne comprends pas son statut de culte. C'est tout simplement l'histoire d'un homme qui est encore puceau à quarante ans. Ce qui me dérange en premier lieu, c'est que le film soit finalement assez cliché. Nous avons un personnage quarantenaire puceau donc il est forcément geek et fan de figurines de collection. Certes, nous sommes dans une comédie, il faut donc forcer le trait mais malgré tout, le film aurait pu faire quelque chose de plus original. Surtout dans l'espèce de parcours initiatique du personnage principal que je trouve finalement assez douteux moralement. Effectivement, pour évoluer et notamment ici spoiler: financer son propre magasin, il est obligé de vendre ses "jouets" (appelé comme ça dans le film) pour passer à autre chose. Sous-entendu (enfin pas tant que ça), pour "grandir", il doit se débarrasser de ses figurines de collection , or je trouve que c'est donner une image péjorative du gars qui aime bien collectionner des objets geek et jouer aux jeux vidéo. Évidemment, c'est une fois spoiler: s'être débarrasser de ses figurines qu'il peut enfin avoir accès au Graal tant convoité, c'est-à-dire le sexe . Bon, de plus, le scénario n'est pas vraiment passionnant et est trop pauvre à mon goût, les aventures du personnage principal sont finalement assez fades et on tourne vite en rond. Malgré tout, le film est assez divertissant, si on apprécie les comédies légères. Du côté des acteurs, nous avons principalement Steve Carell, Paul Rudd et Catherine Keener qui jouent bien. "40 ans, toujours puceau" n'est donc pas mauvais mais pas marquant pour autant.
"40 ans, toujours puceau". En reniflant le titre, on penser s'attendre à une daube sans nom, frôlant la vulgarité, les inepties barbantes et les situations perverses. Mais en réalité, la première réalisation cinéma de Judd Apatow n'est pas si mal, notamment grâce à un Steve Carell amusant. Le scénario, même s'il en fait souvent trop, n'est pas aussi ridicule qu'on aurait pu le penser et au final, on se surprend à regarder ce film jusqu'au bout, se demandant si ce foutu quarantenaire finira par sortir le petit oiseau. Ca divertit un moment, même si on l'oubliera vite.
Avec un tel titre on pouvait s'attendre à une comédie graveleuse façon "frères Farrelly", hors le tout est fait avec beaucoup de retenue à l'exception de dialogues très crus mais qui passent bien. Et le film montre la réalité de certaines personnes, la difficulté de trouver l'amour, et l'image d'anormalité cruelle que renvoie la société. Ce film ne montre pas un imbécile timide et maladroit, mais un personnage profondément humain et attachant. C'est donc une bonne surprise, quoique un peu longue, qui manque de quelques ressorts comiques quand même dans sa deuxième partie.
l'idée est excellente et il y a matiere a faire rire avec ce theme assez original. et le realisateur apatow arrive tres bien a en tirer le maximum de ce puceeau de 40 ans : blagues salaces, situations génantes, tout y est. Mais le gros défaut de Apatow aussi : se prendre au sérieux en rallongeant de scènes inutiles a la fin de ses films. le film fait donc plus de deux heures !!! trop long pour ce genre de sujet. 1h30 aurait bien suffit.l'histoire avec la vendeuse mature est certes utile mais bien trop développée. mais le film reste drole jusqu'a cette derniere partie.
Je suis restée scotchée au titre du film, une inspiration de la vie réelle, des sketchs à plier de rire qui enfonce bien le clou, l’acteur n’a pas le profil type et joue le comique de service ringard comme il peut, ça reste de l’humour au second degré pour passer un bon moment.
Les comédies US sont déjà souvent lourdes a la base alors je vous laisse imaginer le résultat que ça peut donner avec un sujet comme la virginité.Y a bien un message du genre : dans une relation amoureuse ,le cul c'est pas tout ,il faut aussi apprendre a connaitre l'autre pour s'epanouir sexuellement mais il est noyé au milieu des nombreuses scènes vulgaires aux dialogues machistes et obscènes.En resumé c'est très lourd , très beauf et surtout trop long ,niveau interprétation ,seul les 2 acteurs principaux s'en sortent avec d'un coté Carell assez attendrissant et jamais excessif et de l'autre l'excellente Keener dont je me demande encore ce qu'elle peut bien foutre dans une telle niaiserie ,le reste du casting n'est qu'une suite de personnages caricaturaux.A déconseiller aux femmes en général et aux chiennes de gardes en particulier.
40 ANS TOUJOURS PUCEAU est un film phare dans les comédies américaines puisque ce film a permit de faire exploser au box office la bande de Judd Apatow, la nouvelle génération de comique américain. Partant sur un postulat simple mais terriblement efficace, le film va directement à l'essentiel et n'évite pas le mauvais goût. Mais, tout comme VERY BAD TRIP, on prend un plaisir malsain à se marrer des idioties de ces adultes attardés.