Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Cyril Neyrat
Apatow a l'intelligence de se ranger aux côtés du puceau, de ne pas chercher à faire rire à ses dépens. Adoptant sa vision du monde, le film hérite aussi de son flegme.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
le film conte les aventures d'un héros positif, jamais réellement moqué, et au final plutôt attachant. Est aussi mis à contribution, encore, l'art tout américain des personnages de seconds plans, ici les collègues de Andy (...) Beauté de tous ces personnages, dont pas un n'est vulgaire ou pathétique.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Elle
par Héléna Villovitch
Etonnant que, avec un tel titre, un film puisse être aussi marrant.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Humanité
par Vincent Ostria
Au-delà de son titre racoleur et de son résumé réducteur, le film, écrit par le réalisateur et son interprète principal, Steve Carell, est une mine d'inventions et de gags. (...) On oscille entre le mauvais goût des frères Farelly et le style plus raffiné de leur maître incontesté, Blake Edwards.
Le Parisien
par Alain Grasset
Le titre laisse craindre le pire, mais cette petite comédie très réussie a cartonné l'été dernier aux Etats-Unis.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Patrice Blouin
(...) "bonne idée bien exploitée" (...) acteur absolument exceptionnel, le renversant Steve Carell (...) joie très rare de découvrir un nouveau corps burlesque.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Mathieu Carratier
On ne va pas vous mentir : il y a des érections (plusieurs), du vomi (un peu) et des gags totalment obscènes (beaucoup) dans ce premier film décomplexé de Judd Apatow. Il y a aussi quelque chose de peu fréquent dans le paysage comique actuel: un sens de l'humour.
La critique complète est disponible sur le site Première
Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
par Thomas Sotinel
Andy Sitzer, le héros de ce film, qui tient avec une honnêteté désarmante le programme énoncé par son titre, est incarné par Steve Carrell, un comédien qui a fait ses classes à la télévision.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ouest France
par La Rédaction
C'est l'occasion pour Steve Carell, une vedette du petit écran américain, d'afficher un tempérament à multiples facettes.(...) Il est vrai qu'il bénéficie de la complicité de Catherine Keener. Jusque-là plutôt courtisée par le cinéma indépendant, elle s'épanouit avec bonheur dans le rire.
Score
par Alex Masson
A l'image de son anti-héros, cette comédie fait dans le touche-pipi, n'osant jamais franchir la frontière de la transgression.
La critique complète est disponible sur le site Score
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Télérama
par Aurélien Ferenczi
La prestation savoureuse de Steve Carell (vu dans Bruce tout-puissant), quelques spectaculaires gags corporels (érections incontrôlées, vomi et épilation douloureuse) font la blague. Mais un dénouement tristement puritain remet in fine le film sur des rails tristement conventionnels...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
MCinéma.com
par Aurélien Allin
Ce qui aurait pu être une comédie drôlissime doublée d'une caricature féroce de l'antagonisme américain entre puritanisme et sexualisation de la société, n'est en fait qu'un plaidoyer pour des valeurs rétrogrades et moralisatrices.
Positif
par Franck Garbarz
(...) L'ensemble frôle souvent la vulgarité, et la mise en scène, comme toujours dans ce type de production formatée, est inexistante.
La critique complète est disponible sur le site Positif
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
Dialogues et gags tous plus grossiers les uns que les autres (...) Dommage car, dans la peau du protagoniste, Steve Carell, également coscénariste de ce film, laisse deviner une vraie nature de comique, qui aurait mérité d'être exploitée plus intelligemment.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Zurban
par Véronique Le Bris
Le personnage principal réussit la prouesse d'être parfois attachant (...) Mais la mise en route est laborieuse et on ne comprend pas ce que Catherine Keener est venue faire ici.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
(...) les gags sont là. Lourds, indigestes, vulgaires, parfois drôles, la quantité y est, surtout dans la première heure (...) Cet interminable long métrage prend alors des allures bien conservatrices qui rendent le postulat de départ, résumé par le titre, tristement opportuniste. Bof, bof, bof.
Cahiers du Cinéma
Apatow a l'intelligence de se ranger aux côtés du puceau, de ne pas chercher à faire rire à ses dépens. Adoptant sa vision du monde, le film hérite aussi de son flegme.
Chronic'art.com
le film conte les aventures d'un héros positif, jamais réellement moqué, et au final plutôt attachant. Est aussi mis à contribution, encore, l'art tout américain des personnages de seconds plans, ici les collègues de Andy (...) Beauté de tous ces personnages, dont pas un n'est vulgaire ou pathétique.
Elle
Etonnant que, avec un tel titre, un film puisse être aussi marrant.
L'Humanité
Au-delà de son titre racoleur et de son résumé réducteur, le film, écrit par le réalisateur et son interprète principal, Steve Carell, est une mine d'inventions et de gags. (...) On oscille entre le mauvais goût des frères Farelly et le style plus raffiné de leur maître incontesté, Blake Edwards.
Le Parisien
Le titre laisse craindre le pire, mais cette petite comédie très réussie a cartonné l'été dernier aux Etats-Unis.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
(...) "bonne idée bien exploitée" (...) acteur absolument exceptionnel, le renversant Steve Carell (...) joie très rare de découvrir un nouveau corps burlesque.
Première
On ne va pas vous mentir : il y a des érections (plusieurs), du vomi (un peu) et des gags totalment obscènes (beaucoup) dans ce premier film décomplexé de Judd Apatow. Il y a aussi quelque chose de peu fréquent dans le paysage comique actuel: un sens de l'humour.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Andy Sitzer, le héros de ce film, qui tient avec une honnêteté désarmante le programme énoncé par son titre, est incarné par Steve Carrell, un comédien qui a fait ses classes à la télévision.
Ouest France
C'est l'occasion pour Steve Carell, une vedette du petit écran américain, d'afficher un tempérament à multiples facettes.(...) Il est vrai qu'il bénéficie de la complicité de Catherine Keener. Jusque-là plutôt courtisée par le cinéma indépendant, elle s'épanouit avec bonheur dans le rire.
Score
A l'image de son anti-héros, cette comédie fait dans le touche-pipi, n'osant jamais franchir la frontière de la transgression.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
La prestation savoureuse de Steve Carell (vu dans Bruce tout-puissant), quelques spectaculaires gags corporels (érections incontrôlées, vomi et épilation douloureuse) font la blague. Mais un dénouement tristement puritain remet in fine le film sur des rails tristement conventionnels...
MCinéma.com
Ce qui aurait pu être une comédie drôlissime doublée d'une caricature féroce de l'antagonisme américain entre puritanisme et sexualisation de la société, n'est en fait qu'un plaidoyer pour des valeurs rétrogrades et moralisatrices.
Positif
(...) L'ensemble frôle souvent la vulgarité, et la mise en scène, comme toujours dans ce type de production formatée, est inexistante.
TéléCinéObs
Dialogues et gags tous plus grossiers les uns que les autres (...) Dommage car, dans la peau du protagoniste, Steve Carell, également coscénariste de ce film, laisse deviner une vraie nature de comique, qui aurait mérité d'être exploitée plus intelligemment.
Zurban
Le personnage principal réussit la prouesse d'être parfois attachant (...) Mais la mise en route est laborieuse et on ne comprend pas ce que Catherine Keener est venue faire ici.
aVoir-aLire.com
(...) les gags sont là. Lourds, indigestes, vulgaires, parfois drôles, la quantité y est, surtout dans la première heure (...) Cet interminable long métrage prend alors des allures bien conservatrices qui rendent le postulat de départ, résumé par le titre, tristement opportuniste. Bof, bof, bof.