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    L'Exorcisme d'Emily Rose
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    288 critiques spectateurs

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    Dx M.
    Dx M.

    62 abonnés 774 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 février 2021
    pas mal... film axé sur le procès de la mort d Emily Rose... basé sur une histoire vraie celle de Anneliese Michel... l histoire est intéressante... Elle nous permet d avoir un point de vue rationnel et un point de vue spirituel concernant cette affaire... en effet soit la victime était malade mentalement ou soit elle était possédée par un ou plusieurs démons... la mise en scène est sobre... les acteurs sont bons... par contre pas beaucoup de scènes d horreur... bref dans l ensemble c est bien mais sans plus...
    Flo M
    Flo M

    17 abonnés 638 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 janvier 2021
    Un début un peu timide, au fil des minutes l'histoire monte en puissance. Quelques bonne scènes qui mettent les frissons. L'actrice principale joue à merveille son rôle.
    Bicheyrejp
    Bicheyrejp

    12 abonnés 178 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 septembre 2020
    En principe, ce genre de film ne me plait pas trop car je ne crois pas du tout au surnaturel, à Dieu ou au diable mais là je dois reconnaître que la réalisation m’a tenu en haleine jusqu’au bout. Des faits inspirés d’une histoire vraie nous sont présentés et nous devons, comme les jurés nous décider de la culpabilité ou pas du prêtre…Les acteurs sont bons, leurs personnages attachants et jusqu’au verdict nous sommes dans l’émotion suscitée par la situation
    Ghighi19
    Ghighi19

    67 abonnés 1 869 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 septembre 2020
    vu à sa sortie et redécouvert sur la plateforme. Un film different plus un thriller horrifique qu un film classique d epouvante comme L Exorcisme. Intéressant dans son contenu la forme de récit sous forme de procès est originale. Les comédiens parfaits.
    Henrico
    Henrico

    164 abonnés 1 327 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 septembre 2020
    Les amateurs de jeune fille usant de la lévitation comme nous du bus ou du métro, de jus de tomate maculant les murs, de vomissures de purée de pois cassé giclant de tous les trous, ou autres exploits du genre, seront terriblement déçus. Mais ils ne le seront pas, ceux qui voudront voir un film sérieux dont l’objet est de tenter de nous présenter un solide, mais réel, cas de possession par le truchement judiciaire. Le suspense est maintenu par Scott Derrickson jusqu’au bout de façon parfaite. Reste que le pari le plus intéressant du film ne semble que partiellement réussi. Le réalisateur voulait manifestement nous montrer les deux manières d’interpréter les faits relatés. La vision pragmatique, et la vision paranormale. L’abondance des flash-back, certes souvent impressionnants, et jamais ostentatoires, semble révéler un peu démesurément la préférence de l’auteur pour la vision paranormale. Compte tenu du succès mitigé du film, prions frères et soeurs cinéphiles encore réfractaires à l’orgie d’effets spéciaux lobotomisants de la production hollywoodienne, que Derrickson continue à résister aux démons de la facilité, et maintienne le cap actuel de l’intelligence. A part le pénible « Le Jour Où La Terre S’Arrêta », il semble bien que nos prières aient été exaucées jusque qu’ici.
    pentarou
    pentarou

    5 abonnés 194 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 juillet 2020
    Un très bon film d'exorcisme et honnêtement il y en a très très peu.
    Je pensais que l'avocate serait plus pris à partie par les forces du mal ce qui auraient pu être sympa.
    Là on oscille beaucoup entre les flash-back d'emily qui sont vraiment super. On a de l'horreur de la tension et de la possession. Puis les phases de justice où le rythme est un peu mou, les enjeux pas assez fort et le soufflet retombe jusqu'au prochain flash-back.
    Kriskouailleur
    Kriskouailleur

    14 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 8 juin 2020
    Un enieme film américain dE propagande religieuse, long et mou, avec la sœur de Dexter qui hurle pendant 2 heures.
    sebvde
    sebvde

    6 abonnés 68 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 avril 2020
    Basé sur un fait réel ce déroulant au début des années 70, en Allemagne
    C'est une réalisation dont le fil conducteur est bien le procès qui malgré quelques séquences glauques, n'est pas un film d'horreur
    Ce film relate le procès qui suis l'apres exorcisme de Emily Rose
    Pas vraiment de comparaison a faire avec "L'exorciste" de W. Friedkin.
    Cela synthèse l'histoire réelle de Anneliese Michel , je conseille de d'abord de ce renseigner sur la vraie histoire pour mieux apprécier le film par la suite
    MaCultureGeek
    MaCultureGeek

    1 081 abonnés 1 224 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 avril 2020
    L'originalité de L'Exorcisme d'Emily Rose semblerait, à première vue, tenir en tout et pour tout dans la construction de son intrigue : débutant après que l'exorcisme ait été réalisé (tout comme Reservoir Dogs s'ouvrait sur l'avant puis l'après braquage, sans jamais montrer l'évènement en question), il s'attachera à contrario à révéler, étape par étape, comment s'est déroulé le combat contre le démon et le décès, à l'issue, de la jeune et belle Emily Rose (c'est à peu près tout ce qui la caractérisera). Pour ce faire, il emploiera une narration non-linéaire composée de séquences présentes vécues et de flashbacks narrés.

    Narrés au cours du procès du prêtre qui a vaincu le démon : il s'agira donc de déterminer, de toute sa longueur, s'il ment ou non. Intéressant, d'inverser les rôles : celui qu'on est censés suivre aveuglément, puisqu'il incarne le dernier rempart du bien contre le mal, est ici remis en question jusque dans son honnêteté profonde : L'Exorcisme d'Emily Rose se permet de partir sur une vision proche du réel, où l'on douterait, en tant que spectateur du procès, de la véracité de tels témoignages.

    Il apporte enfin ce que Conjuring : Le Cas Enfield touchera maigrement du doigt une décennie plus tard : quelle serait notre réaction, et qui déciderait-on de croire, si les évènements d'un film d'horreur dépassaient le cadre du cinéma en basculant dans notre monde? En s'inspirant d'une affaire réelle (le décès en 1975, suite à 70 exorcismes, de la jeune allemande Anneliese Michel), L'Exorcisme d'Emily Rose retransmet une fidélité de recomposition d'une scène de jugement occultant totalement la banalité de son horreur, trop typée série b pour marquer.

    C'est qu'elle va à l'encontre de son intrigue : la partie épouvante, incapable de repenser les effets de l'époque, rabat les mêmes codes éculés d'une façon à peine renouvelée par son contexte de flashbacks. Datées et sans grand impact, ces scènes pensées comme horrifiques témoignent d'un film incapable de s'extirper du cadre des oeuvres passables mais peu marquantes du genre, principalement du fait de son esthétique téléfilm de luxe des années 2000 aux effets tous attendus : les hurlements en gros plan, les maquillages inconstants complètent les modifications du cadre de l'image bien kitschs (la distorsion au ralenti se comptant parmi les pires à employer, il l'emploie à de multiples reprises).

    A l'instar de sa photographie (qui laisse entrevoir ce à quoi ressemblera le reste de la carrière de Scott Derrickson dans l'horreur, notamment lorsqu'il réalisera Délivre nous du mal), encore trop sombre aux séquences horrifiques, la mise en scène se montre beaucoup plus à l'aise lorsqu'il s'agit de filmer le déroulé du procès. Elle organise mieux les sentiments, les émotions, présente des personnages solides qui interagissent entre eux avec justesse; comme si Derrickson était plus intéressé par le fait de mêler deux films cultes (L'Exorciste et Philadelphia) que de filmer des scènes d'horreur peu inspirées.

    Lui qui accoupla une nouvelle fois l'exorcisme avec un autre registre, le thriller cette fois, avec le sympathique Délivre nous du mal déjà cité, invite le spectateur à l'interprétation. Si l'on pouvait croire au départ que le seul point original du film résidait dans son intrigue à la construction particulière, il suffit de terminer L'Exorcisme d'Emily Rose pour se rendre compte de l'intelligence de ce qu'il apporte au genre : la subjectivité.

    Film interactif s'il en est, il a le talent malin de laisser tout un tas d'indices pour tromper son spectateur : les uns, dont je fais partie, seront tout aussi légitimes (et paradoxalement illégitimes) lorsqu'ils avancent que le prêtre ne ment pas que ceux qui pensent le contraire. La faute aux arguments crédibles et logiques proposés par l'opposition au procès, et la présence inattendue mais essentielle de manifestations étranges dans le présent : à l'image de ce qui s'est passé dans la maison des Rose, tient-on ici un danger imminent ou une preuve supplémentaire de la superstition proche de la paranoïa de ceux qui sont touchés, de près comme de loin, par l'affaire?


    C'est en effet là que réside, au final, l'intérêt rafraîchissant de ce petit film d'esprit démoniaque (qui ne vaut pas grand chose pour ses scènes d'épouvante) : en ne confirmant ni n'infirmant jamais, pas même dans sa dernière image, la véracité du témoignage du prêtre, il entre dans une relation unique avec son public : celle d'un cinéma qui n'impose pas mais propose des pistes d'analyse et d'interprétation, et qui dépasse le simple stade du divertissement. En laissant la place au doute, il évite d'être rangé dans la case des variantes simplistes du cinéma d'épouvante porté sur la possession, et parvient à questionner la vision que le spectateur porte sur le sujet, ainsi que sur les éléments clés que doit proposer un film de genre pour amener du neuf à son public : à défaut de choquer, il fait ce que peu d'oeuvres d'épouvante font, remettre en cause l'idée que le public se fait d'un film avant d'y entrer, puis modifier entièrement son jugement et son implication au moment de le laisser s'en aller.
    toki P
    toki P

    4 abonnés 31 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 9 mars 2020
    film très décevant, aucun moment de terreur, au contraire on a des scènes assez grotesques qui n'ajoute rien au film
    charlotte V.
    charlotte V.

    1 abonné 28 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 janvier 2020
    C'est bien ficelé, mêler une enquête paranormale et un procès en même temps c'est assez intéressant pour traiter le sujet de la possession démoniaque. voir les différents points de vue à travers la défense et l'accusation nous laisse libres spectateurs de choisir celui que l'on préfère. Je regrette les quelques détails trop gros pour moi comme le collier dans la neige, le choix final sacrificiel d'Emily, un peu trop faciles et qui au final annulent ce parti pris pour faire au final pas mal pencher la balance d'un côté pour influencer l'opinion. Un film qui se contredit un peu du coup. Sinon bon choix d'acteurs, on s'y croirait vraiment parfois grâce à eux. La scène de l'exorcisme dégénère petit à petit et les acteurs eux-mêmes paraissent effarés devant la performance de Jennifer Carpenter.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    687 abonnés 3 011 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 septembre 2019
    Scott Derrickson prend le risque de bâtir son film tout entier sur un pied de nez fait à l’égard des représentations traditionnelles de l’exorcisme au cinéma. Ce faisant, il livre une œuvre d’essence juridique, dans le sens où elle ne s’intéresse qu’au droit divin d’une part et humain de l’autre, un droit au bicéphalisme inconciliable que la mise en scène du procès lui-même se propose pourtant de relier par le biais de la possession. Le titre annonce la couleur, pourrait être l’inscription d’une étiquette collée sur un carton réunissant les pièces à conviction de l’affaire. Il s’agit d’un exorcisme et de ses conséquences néfastes sur une jeune femme. À partir de là s’affrontent deux parties adverses, l’une prônant le caractère sacré du martyre enduré par Emily, l’autre se bornant à interpréter les faits de façon rationnelle, à grand renfort de discours scientifiques. Ici Derrickson n’invente rien, revisite un lieu commun qui n’est autre que le heurt du naturel contre le surnaturel, de l’incroyance contre la croyance. Dès lors, le cadre judiciaire devient tribunal de la foi, et la construction en flashbacks permet non seulement d’aboutir à la sentence finale, mais surtout de cristalliser l’initiation d’une femme agnostique dont la fonction d’avocate la conduit à reproduire, malgré elle, le parcours spirituel de la victime. Le film ne promeut aucune conversion intégrale, se contente de jouer sur le doute. Des indices remarqués à droite à gauche, une étrange présence la nuit, à trois heures. Nous glissons alors de l’objectivité exigée par la justice à la subjectivité qu’induit l’objet du procès, éminemment religieux : doit-on croire à l’existence de démons ? doit-on croire à la possession ? doit-on croire à l’exorcisme en tant que pratique capable de guérir ? Scott Derrickson ne répond pas. Il laisse ces interrogations en suspens, interrogations dont il revient au spectateur de répondre ; ce qu’il illustre en revanche, c’est la profonde solitude qu’éprouvent les personnages, preuve que la justice divine et la justice humaine sont les conservatoires d’une même angoisse, d’une même question. Chaque représentant de la loi doit se rendre maître de son jugement et le soumettre aux autres. Dans ce microcosme où l’erreur n’est pas permise, une responsabilité morale pèse sur les épaules des membres composant l’assemblée : c’est l’exorcisme dans son sens étymologique, c’est la « prestation de serment ». Les procédures judiciaires sont un vaste cérémonial dans lequel prime la stratégie : comme aux dominos, l’assemblage de pièces compte autant voire davantage que leur qualité intrinsèque. Ce que nous voyons donc, c’est la radicalité du Mal face à l’inanité des procédures. Le prêtre ne souhaite d’ailleurs nullement se voir innocenté ; sa première préoccupation est de raconter l’histoire d’Emily. Voilà l’épouvante raccordée à son oralité fondamentale, celle qui veut que les histoires pleines de monstres et de possessions se partagent auprès d’un public (ici l’audience et le personnel de justice). L’Exorcisme d’Emily Rose adopte la structure d’une entrée en initiation via la parole : les étapes de la procédure équivalent aux marches que franchit Erin Bruner jusqu’à atteindre le point de non-retour – qu’elle ne passe pas. En restant au seuil, le film capte la possession avec réalisme : il faut assister à la tentative manquée d’exorcisme dans la grange pour comprendre pleinement la démarche de Derrickson, cette collection de plans rapides et déstructurés qu’un montage épileptique rapporte avec intelligence. Porté en outre par la composition musicale de Christopher Young, le long-métrage ne réussit certes pas à donner un nouveau visage au cinéma d’épouvante mais, parce qu’il étire ses scènes de débats, parce qu’il aborde la possession comme un phénomène où se croisent réalisme psychiatrique et surnaturel prononcé, oblige le spectateur à se situer par rapport à un sujet qu’il a souvent vu, auquel il a toutefois peu réfléchi.
    amateur_de_film.
    amateur_de_film.

    7 abonnés 83 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 août 2019
    Inspiré de l'histoire d'Anneliese Michel, ce film a pour intérêt de s'intéresser à ce qui se passe après le paranormal et l'exorcisme. Les scènes d'épouvante nous sont montrées par l'intermédiaire de flashbacks. Ce film est intéressant car il pose une question : Un tribunal, qui juge des faits, est-il compétent dans les affaires surnaturelles?

    Les scènes au tribunal sont correctes sans plus car l'argumentation est plutôt mince. Pour les scènes de possession, on est sur du classique mais la très bonne réalisation nous fera quand même bien sursauter.

    Bref un film d'exorcisme abordé sous un nouveau jour dont l'idée de base est très intéressante et la réalisation bonne mais pas excellente. Un film qui est quand même à voir car il donne un bol d'air dans un genre qui semble être lancé dans une course au trash.
    Michel T Dubois
    Michel T Dubois

    2 abonnés 19 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 août 2019
    J'attendais de voir ce film avec impatience, j'ai ressenti une grosse déception. L'idée de traiter d'un cas d'exorcisme par l'oeil de la justice est original, mais d'une part, on a l'impression que seule la justice a la capacité et la légitimité de donner un avis sur tout y compris sur des questions de foi, de philosophie et de société, et d'autre part, les scènes de tribunal renvoient à certaines séries télé avec les mêmes artifices, les questions piège, les sourires en coin, l'appel à des experts qui se contredisent, les caricatures de témoignage, les répliques ironiques, les "objections rejetées". L'histoire est au final assez lisse. Les rebondissements sont peu convaincants spoiler: (un témoin sorti du placard et sa mort ensuite)
    . Les scènes d'exorcisme ressemblent trop au film 'L'exorciste", les mêmes attitudes, les mêmes ressorts, l'impression de déjà vu. Les personnages sont caricaturaux, comme l'avocat général, le prêtre et bien sûr l'Eglise (ou son ombre) à qui on attribue son rôle habituel de grande silencieuse (absente) qui ne veut pas de vagues. L'ennui a commencé à m'envahir aux 2/3 tiers du film et j'ai suivi la fin par acquit de conscience. Quand à la fin ... une issue lisse comme le film, consensuelle d'une part, et d'autre part, une avocate cernée par les forces du mal qui ... la laissent bien tranquillement dormir. A regarder par un après-midi de froid et de pluie, sans plus
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 14 août 2019
    Je met 5 étoiles poyr remonter sa note injuste. C'est pas le film de l'année mais la réalisation est impeccable et l'idée originale. Je suis personnellement peu impacté par les histoires de démons mais j'ai malgré tout passé un bon moment, et les scènes de procès sont biens foutues
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