Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par François Bégaudeau
Connus, respectés, les faits n'ont besoin, pour saillir, ni d'une virtuosité de parade aérienne, ni du tremblé documentaire. Au sol comme en altitude, la caméra de Pinñeyro ne clairone pas. (...) Frisant la gratuité, ce mikado temporel n'atteint jamais à la boursouflure.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Elle
par Elisabeth Quin
Une efficacité dans la narration digne de "Révélations" de Michael Mann (toutes proportions gardées), et, par-dessus le marché, un beau portrait d'homme d'aujourd'hui.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Le film a le côté vivant, haletant, un peu décousu, d'un récit fait avec l'émotion et la conviction de celui qui a vécu l'aventure. (...) Le portrait est attachant, et donne au film, qui a tout d'un thriller, son humanité.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Le personnage est curieux, mais son modèle et auteur ne le livre qu'avec réticence, se repliant souvent derrière les lieux communs de la fiction. Il en sort un film qui réussit à honorer ses aspirations civiques et à imposer la vision très personnelle d'un cinéaste débutant.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Un film assez tendu et construit sur le mode des thrillers américains, dont l'atout majeur est Pineyro lui-même, à la fois sujet, verbe et complément de son propre récit. En définitive, un film politique.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Camille Brun
Malgré tous ses aspects étranges ou agaçants qui auraient pu ruiner le projet, Vol whisky parvient à happer le spectateur. Il faut dire que le scénario est plutôt bien écrit et que le montage, qui mélange différentes temporalités et ne fait pas du crash une surprise, parvient habilement à faire monter la pression.
Ouest France
par La rédaction
La démonstration est implacable, car servie par la rigoureuse maîtrise d'une mise en scène pourtant conduite dans des conditions souvent difficiles. Un premier film, un de plus, qui affiche la tonique vitalité d'un cinéma argentin stimulé par la dénonciation des travers de son pays.
Première
par Isabelle Danel
Le film, certes, est imparfait dans sa forme et son écriture. (...) Mais, lorsqu'il colle aux faits qui ont mené à la catastrophe, on est dans le registre du film social à suspense. (...) A l'heure où la télévision nous montre "La ferme des célébrités", il est réconfortant de voir le cinéma affronter ainsi la réalité.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Marie-Elisabeth Rouchy
Le style est parfois naïf. Les moyens sont restreints. Le propos n'en a que plus de force.
Zurban
par Olivier Pélisson
Avec une précision quasi documentaire, Piñeyro installe un vrai suspense. Et livre le portrait édifiant d'une Argentine en proie à la corruption et à l'oppression de l'individu. Rappelant le cinéma italien des années '70, ce film annonce la naissance d'un auteur à suivre.
aVoir-aLire.com
par Catherine Le Ferrand
Enrique Piñeyro analyse avec pertinence, parallèlement à la dimension politique, ce qui pousse ces hommes à l'inacceptable. Il a l'énergie du désespoir, celle qui pousse à se battre parce que c'est la seule façon d'être debout. L'Argentine est une marâtre, ingrate et traîtresse, mais les rêves sont plus forts que tout, et parfois, ils se réalisent. C'est pour ça qu'il faut continuer.
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Paris Match
par Christine Haas
Piñeyro s'investit dans une reconstitution fictionnelle plutôt morne, compliquée de retours sur ses rêves d'enfance déçus et sur une histoire d'amour redondante. Bavard, le récit s'éparpille et peine à garder le spectateur captif.
Positif
par Jean-Christophe Ferrari
Regrettons simplement que le tissage des différents fils narratifs qui, pendant la première demi-heure, laissait imaginer une sorte d'ample symphonie mêlant avec brio différents niveaux de réalité.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Score
par G.D Jones
Pas vraiment docu drama, ni film documentaire, WRZ ressemble plutôt à un Révélations argentin (...) C'est dans la mise en scène de son vécu à la limite de l'égo trip et de la mise à nu que le film devient passionnant.
La critique complète est disponible sur le site Score
Télérama
par Pierre Murat
Enrique Pineyro a écrit, produit, interprété et réalisé Whisky Romeo Zulu. C'est cette dernière casquette qui est la plus contestable : aucun rythme et trop de guimauve. En revanche, le pamphlet contre l'incurie criminelle de son ex-compagnie est accablant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
Connus, respectés, les faits n'ont besoin, pour saillir, ni d'une virtuosité de parade aérienne, ni du tremblé documentaire. Au sol comme en altitude, la caméra de Pinñeyro ne clairone pas. (...) Frisant la gratuité, ce mikado temporel n'atteint jamais à la boursouflure.
Elle
Une efficacité dans la narration digne de "Révélations" de Michael Mann (toutes proportions gardées), et, par-dessus le marché, un beau portrait d'homme d'aujourd'hui.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
Le film a le côté vivant, haletant, un peu décousu, d'un récit fait avec l'émotion et la conviction de celui qui a vécu l'aventure. (...) Le portrait est attachant, et donne au film, qui a tout d'un thriller, son humanité.
Le Monde
Le personnage est curieux, mais son modèle et auteur ne le livre qu'avec réticence, se repliant souvent derrière les lieux communs de la fiction. Il en sort un film qui réussit à honorer ses aspirations civiques et à imposer la vision très personnelle d'un cinéaste débutant.
Les Inrockuptibles
Un film assez tendu et construit sur le mode des thrillers américains, dont l'atout majeur est Pineyro lui-même, à la fois sujet, verbe et complément de son propre récit. En définitive, un film politique.
MCinéma.com
Malgré tous ses aspects étranges ou agaçants qui auraient pu ruiner le projet, Vol whisky parvient à happer le spectateur. Il faut dire que le scénario est plutôt bien écrit et que le montage, qui mélange différentes temporalités et ne fait pas du crash une surprise, parvient habilement à faire monter la pression.
Ouest France
La démonstration est implacable, car servie par la rigoureuse maîtrise d'une mise en scène pourtant conduite dans des conditions souvent difficiles. Un premier film, un de plus, qui affiche la tonique vitalité d'un cinéma argentin stimulé par la dénonciation des travers de son pays.
Première
Le film, certes, est imparfait dans sa forme et son écriture. (...) Mais, lorsqu'il colle aux faits qui ont mené à la catastrophe, on est dans le registre du film social à suspense. (...) A l'heure où la télévision nous montre "La ferme des célébrités", il est réconfortant de voir le cinéma affronter ainsi la réalité.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Le style est parfois naïf. Les moyens sont restreints. Le propos n'en a que plus de force.
Zurban
Avec une précision quasi documentaire, Piñeyro installe un vrai suspense. Et livre le portrait édifiant d'une Argentine en proie à la corruption et à l'oppression de l'individu. Rappelant le cinéma italien des années '70, ce film annonce la naissance d'un auteur à suivre.
aVoir-aLire.com
Enrique Piñeyro analyse avec pertinence, parallèlement à la dimension politique, ce qui pousse ces hommes à l'inacceptable. Il a l'énergie du désespoir, celle qui pousse à se battre parce que c'est la seule façon d'être debout. L'Argentine est une marâtre, ingrate et traîtresse, mais les rêves sont plus forts que tout, et parfois, ils se réalisent. C'est pour ça qu'il faut continuer.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Paris Match
Piñeyro s'investit dans une reconstitution fictionnelle plutôt morne, compliquée de retours sur ses rêves d'enfance déçus et sur une histoire d'amour redondante. Bavard, le récit s'éparpille et peine à garder le spectateur captif.
Positif
Regrettons simplement que le tissage des différents fils narratifs qui, pendant la première demi-heure, laissait imaginer une sorte d'ample symphonie mêlant avec brio différents niveaux de réalité.
Score
Pas vraiment docu drama, ni film documentaire, WRZ ressemble plutôt à un Révélations argentin (...) C'est dans la mise en scène de son vécu à la limite de l'égo trip et de la mise à nu que le film devient passionnant.
Télérama
Enrique Pineyro a écrit, produit, interprété et réalisé Whisky Romeo Zulu. C'est cette dernière casquette qui est la plus contestable : aucun rythme et trop de guimauve. En revanche, le pamphlet contre l'incurie criminelle de son ex-compagnie est accablant.