Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Brazil
par Eric Coubard
Il serait dommage de passer à côté de ces trois personnages mystérieux et complexes, baignés par une lumière d'un été d'amour et par la musique mélodieuse et troublante de Goldfrapp.Ce film respire l'humanité et l'authenticité. C'est bien rafraîchissant en diable à notre époque.
Positif
par Eithne O'Neill
Beau film sur l'initiation à l'amour. (...) Du contexte social naît un romantisme, auquel le chef opérateur Ryszard Lenczewski, connu aussi pour son travail avec Michael Winterbottom, contribue par une approche sûre, portée à l'incandescence dans ce troisième long métrage.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Cahiers du Cinéma
par Sylvain Coumoul
Pawlikowski fait un usage inventif du stéréotype en tant qu'accélérateur de transmission du sens, instrument démocratique de rêverie à plusieurs, possibilité de renversement du pouvoir des actrices. Sur elles pèse un effet double de familiarité (...) et de distance (...), qui permet à l'auteur, ex-documentariste, de contrecarrer ses propres réflexes.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
L'Obs
par Jean-Philippe Guerand
A travers cette chronique de fascination sociale mêlée d'amours ancillaires, le réalisateur de "Transit Palace" réussit à instaurer une atmosphère envoûtante et d'une étonnante fraîcheur.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
A l'instar de Douches froides, du français Antony Cordier, ce film anglais a pour qualité principale de proposer une vision assez juste de l'adolescence, et plus particulièrement de l'exaltation qui confère à cet âge la sensation fugitive, et en l'espèce très cinématographique, d'une existence "bigger than life".
Le Point
par Olivier de Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Antoine de Baecque
Dans My Summer of Love, on sent que tout est vrai, la guerre des filles comme celle de religion. Ces combats sont passés mais le cinéaste réactive leurs traces en urgence, filmant le Yorkshire comme un monde de croyances et de luttes, faisant coexister la passion et la foi dans un paysage rendu sans espoir.
MCinéma.com
par Marc Kressman
Après TRANSIT PALACE, Pawel Pawlikowki réalise un superbe film d'amour bucolique et complètement intemporel. On retrouve toutes les étapes des premiers émois : un été sans fin, une rencontre magique, les familles antagonistes, des promesses éternelles...
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Jean Claude Loiseau
La force de My summer of love réside dans le refus de toute dramatisation superflue.(...) Quand la partie s'achève, quand, enfin, les masques tombent, on découvre à quel point ce film, souvent brillant, parfois troublant, faussement lisse et joliment cruel, cache bien son jeu...
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
My summer of love est une oeuvre organique, atmosphérique et envoûtante (...) Une réussite singulière dans le cinéma britannique même si le cinéaste Pawel Pawlikovsky n'a pas souhaité s'affranchir totalement des préoccupations sociales de ses compatriotes en inscrivant le couple d'adolescentes rebelles dans la sempiternelle opposition bourgeoisie/classe populaire, parfaitement incarnée par les deux actrices principales au jeu peu farouche.
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
Reste un sentiment de film nain, un poil frustré, qui agace un peu. (...) Il faut (...) saisir dans My summer of love une sorte d'indolence des bronzettes lascives, un semi coma réparateur. Pawlikovsky n'a pas son pareil pour abstraire une image à peu de moyen.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Une idylle académique et émoliente qui ne génère que de la joliesse fade.
Ouest France
par La rédaction
Un thème archi-classique qui cherche du renouveau dans une mise en scène impressionniste et une interprétation vigoureuse et engagée.
Paris Match
par Alain Spira
Pawel Pawlikowski s'est attaché à cerner au plus près les émotions qui assaillent les différents protagonistes. Le résultat est touchant et intéressant, faute d'être réellement passionnant.
Première
par Stéphanie Lamome
Cette chronique d'un amour de vacances trouble par son spleen impressionniste presque morbide et deux nouvelles venues qui risquent fort de repasser par là.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Rien de racoleur dans cette chronique intimiste et mélancolique portée par l'interprétation (...) qui se joue d'un scénario inégal.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Zurban
par Eric Quéméré
Très librement adapté du roman d'Helen Cross, le film de Pawel Pawlikowski reste néanmoins fidèle à son esprit. Le tout forme un cocktail réjouissant d'humour et de gentille subversion... Certes, le film n'est pas exempt de longueurs, mais le charisme de ses deux interprètes, toutes deux débutantes, emporte au final l'adhésion.
Elle
par Elisabeth Quin
La caricature étant contredite par le scénario joliment manipulateur de Pawel Pawlikowski.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Brazil
Il serait dommage de passer à côté de ces trois personnages mystérieux et complexes, baignés par une lumière d'un été d'amour et par la musique mélodieuse et troublante de Goldfrapp.Ce film respire l'humanité et l'authenticité. C'est bien rafraîchissant en diable à notre époque.
Positif
Beau film sur l'initiation à l'amour. (...) Du contexte social naît un romantisme, auquel le chef opérateur Ryszard Lenczewski, connu aussi pour son travail avec Michael Winterbottom, contribue par une approche sûre, portée à l'incandescence dans ce troisième long métrage.
Cahiers du Cinéma
Pawlikowski fait un usage inventif du stéréotype en tant qu'accélérateur de transmission du sens, instrument démocratique de rêverie à plusieurs, possibilité de renversement du pouvoir des actrices. Sur elles pèse un effet double de familiarité (...) et de distance (...), qui permet à l'auteur, ex-documentariste, de contrecarrer ses propres réflexes.
L'Obs
A travers cette chronique de fascination sociale mêlée d'amours ancillaires, le réalisateur de "Transit Palace" réussit à instaurer une atmosphère envoûtante et d'une étonnante fraîcheur.
Le Monde
A l'instar de Douches froides, du français Antony Cordier, ce film anglais a pour qualité principale de proposer une vision assez juste de l'adolescence, et plus particulièrement de l'exaltation qui confère à cet âge la sensation fugitive, et en l'espèce très cinématographique, d'une existence "bigger than life".
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
Dans My Summer of Love, on sent que tout est vrai, la guerre des filles comme celle de religion. Ces combats sont passés mais le cinéaste réactive leurs traces en urgence, filmant le Yorkshire comme un monde de croyances et de luttes, faisant coexister la passion et la foi dans un paysage rendu sans espoir.
MCinéma.com
Après TRANSIT PALACE, Pawel Pawlikowki réalise un superbe film d'amour bucolique et complètement intemporel. On retrouve toutes les étapes des premiers émois : un été sans fin, une rencontre magique, les familles antagonistes, des promesses éternelles...
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
La force de My summer of love réside dans le refus de toute dramatisation superflue.(...) Quand la partie s'achève, quand, enfin, les masques tombent, on découvre à quel point ce film, souvent brillant, parfois troublant, faussement lisse et joliment cruel, cache bien son jeu...
aVoir-aLire.com
My summer of love est une oeuvre organique, atmosphérique et envoûtante (...) Une réussite singulière dans le cinéma britannique même si le cinéaste Pawel Pawlikovsky n'a pas souhaité s'affranchir totalement des préoccupations sociales de ses compatriotes en inscrivant le couple d'adolescentes rebelles dans la sempiternelle opposition bourgeoisie/classe populaire, parfaitement incarnée par les deux actrices principales au jeu peu farouche.
Chronic'art.com
Reste un sentiment de film nain, un poil frustré, qui agace un peu. (...) Il faut (...) saisir dans My summer of love une sorte d'indolence des bronzettes lascives, un semi coma réparateur. Pawlikovsky n'a pas son pareil pour abstraire une image à peu de moyen.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Les Inrockuptibles
Une idylle académique et émoliente qui ne génère que de la joliesse fade.
Ouest France
Un thème archi-classique qui cherche du renouveau dans une mise en scène impressionniste et une interprétation vigoureuse et engagée.
Paris Match
Pawel Pawlikowski s'est attaché à cerner au plus près les émotions qui assaillent les différents protagonistes. Le résultat est touchant et intéressant, faute d'être réellement passionnant.
Première
Cette chronique d'un amour de vacances trouble par son spleen impressionniste presque morbide et deux nouvelles venues qui risquent fort de repasser par là.
Télé 7 Jours
Rien de racoleur dans cette chronique intimiste et mélancolique portée par l'interprétation (...) qui se joue d'un scénario inégal.
Zurban
Très librement adapté du roman d'Helen Cross, le film de Pawel Pawlikowski reste néanmoins fidèle à son esprit. Le tout forme un cocktail réjouissant d'humour et de gentille subversion... Certes, le film n'est pas exempt de longueurs, mais le charisme de ses deux interprètes, toutes deux débutantes, emporte au final l'adhésion.
Elle
La caricature étant contredite par le scénario joliment manipulateur de Pawel Pawlikowski.