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Loïc G
45 abonnés
584 critiques
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4,0
Publiée le 28 août 2009
Suite logique du quatrième opus, ce cinquième nous montre la rescapée Alice, ayant reçu le pouvoir d'entraîner les autres dans ses rêves, découvrir les origines de la création du monstre Freddy, origines déjà entr'aperçue dans l'opus 3. Le fil du film étant la recherche de la dépouille de la mère de Freddy, ce dernier n'est présent qu'à travers l'enfant que porte Alice! Dans son ensemble, le film est beaucoup moins intéressant que les précédents même s'il n'est pas dépourvu d'action et de scènes fantastiques, mais les rêves sont moins recherchés et la saga semble commencer à traîner en longueur! Sa courte durée est presque une bénédiction!
Cinquième épisode et cinquième variation sur le croquemitaine des rêves, j'ai nommé Freddy Krueger, ce Freddy 5 est encore une réussite relative, bien qu'il soit bien en deçà des quatre autres.
La faute surement aux acteurs, beaucoup moins bons que ceux des quatre autres opus. Lisa Wilcox et Danny Hassel reviennent bien pour cet opus, mais seul Joe Seely est bon acteur. Toujours est-il que le film reste sympathique à regarder, avec des meurtres vraiment bien réalisés, comme ceux de Joe Seely ou d'Erika Anderson, et surtout un Robert Englund de compétition avec ces one-liners à tomber de rire et son aspect réellement inquiétant. La musique du film est vraiment bien choisie avec Kool Moe Dee ou Iron Maiden par exemple. Mais la principale réussite du film se situe dans son final absolument génial dans l'asile de fous inspirés de tableaux de M.C. Escher, très inquiétant mais aussi très bien réalisé par Stephen Hopkins. C'est dommage qu'il ne réalise pas aussi bien pendant tout le film. Le scénario de Leslie Bohem souffre aussi de temps morts malvenus mais aussi de scènes réellement réussies.
En tout cas, l'humour reste omniprésent et le film reste sympathique quoique moins bon que d'habitude.
La série entame sa lamentable chute. Bref, dans ce cinquième opus, débilité très prononcée, angoisse totalement absente, excès de folie, manque d'imagination, et mauvaise imitation du premier opus sont au rendez-vous ! Une séquelle qui se laisse regarder sans déplaisir, mais qui aurait mérité un scénario et une direction d'acteur plus exigeants.
Petits veinards que nous sommes, voilà une variante : "Seven, eight, better stay awake. Nine, ten, he's back again". Oui mais vu ce cinquième film, il aurait mieux fallu modifier lhistoire que les paroles de la comptine Certes, ça commençait à devenir franchement compliqué de justifier à chaque fois la résurrection et le moyen trouvé ici nest pas idiot du tout. Alice sait contrôler ses rêves, comme elle est la dernière que Freddy Krueger peut hanter directement, sa seule façon de revenir devient le bébé quAlice porte en elle ! On sent que "Innerspace" ("Laventure intérieure", 1987) est passé par là, cet opus montrant pareillement un bébé dans le ventre maternel. Si je ne mabuse il y a également un clin dil à "Who framed Roger Rabbit" (1988) avec Mark. Lentame fait bonne impression (police de caractère bleue, ambiance torride et sensuelle du lit conjugal pendant lamour). La première scène détrempée augure du meilleur qui arrive immédiatement puisquon voit enfin ce qui nous était simplement énoncé dans le troisième film, à savoir les "vacances" dAmanda Krueger parmi les fous. Quel dommage quau bout de huit minutes le film de Stephen Hopkins perde pratiquement tout de son intérêt ! Freddy chef de cuisine, Freddy moto, Freddy ceci Freddy cela, alors oui cest souvent horrible, mais ça ne suffit pas à faire fonctionner convenablement le tout. La scène avec les escaliers à la Maurice Escher est néanmoins plutôt réussie. Le paroxysme des relations conflictuelles parents / enfants est cependant peut-être atteint dans ce volet (quoique dans le précédent la mère de Kristen faisait une sacrée connerie). Dans celui-ci certains adultes gèrent à leur manière le futur de leur progéniture, labsence de choix étant symbolisé par lattitude de la mère de Greta. Certains titres de la BO sont démodés à mort (du mauvais rap comme on nen faisait quà la fin des années quatre-vingts et au début des quatre-vingt-dix). "The Devil Child" est le plus mauvais épisode selon moi.
Retour d'Alice au pays des cauchemars, mais cette fois-ci, elle n'est plus seule, elle porte l'enfant de... Freddy ? Bonne petite suite dont plusieurs scènes mémorables, dont l'atroce repas de cette pauvre Greta, qui,rappelons-le, est mannequin anorexique... Bref, un film plutôt bien dans la lignée de la série...
Cinquième opus de la saga Freddy, LEnfant Du Cauchemar laisse pantois à cause dun scénario pas toujours très claire mais se rattrape grâce à des moments assez funs comme celui de la moto ou de la bande dessinée. Reste aussi un certain savoir-faire de Stephen Hopkins qui offre un film visuellement étonnant et les cabotinages toujours excellents du grand Robert Englund.
_Avis Bref : On retrouvera la nouvelle héroïne du précédent Alice que j'adore une bonne relève depuis notre Nancy je trouve. Bon dans cet opus l'histoire part un peu plus loin une nouvelle idée qui n'est pas au top, ni mauvaise. . Freddy s'en prend plus ou moins a un enfant c'est comme ça que je les pris est pour sa j'ai un peu été déçu. Mais sinon ont à un Freddy assez absent par moments mais bien plus présent sur la dernière partie de film de plus la fin m'a laissé assez partagé.. Enfin bref, il a quand même pris un bon coup de vieux mais reste encore sympa..
_SYNOPSIS ; L'ignoble Freddy a encore trouvé un moyen pour venir hanter les cauchemars des enfants de Elm Street : il se réincarne dans le bébé qu'attend Alice, celle qui l'avait pourtant vaincu dans le précédent épisode. Il arbore à nouveau crânement son chapeau, son pull rayé et ses longues griffes aiguisées et Alice aura fort à faire pour le ramener dans le sinistre asile psychiatrique où il fut conçu.
Freddy re-re-re-revient une fois de plus, mais au moins cette fois le scénario est travaillé un minimum, on en sait d'avantage sur la naissance de Freddy ainsi que sa mère :)
Malheureusement je trouve que les rêves ne sont pas si bien comparés à certains des autres opus et ils auront certainement être put un peut plus original, seul petit défaut du film.
Ce cinquième volet ne fait qu'empirer. Freddy est trop vite de retour, et ça risque de ne pas plaire à tout le monde. Pour commencer, le casting de cet opus est plutôt désastreux, personne est attachant, le bon vieux croque-mitaine " Freddy " commence d'ors et déjà à vieillir et à perdre son charisme. Le scénario est fade, je n'ai eu aucune émotion, aucune angoisse, aucune peur. Le gamin est peu convaincant, bref, c'est nul. Sans oublier le rythme qui est encore plus lent et médiocre que son prédécesseur. Les effets spéciaux étaient bien la spécialité de la série mais là, ça nous gâtes. La BO angoissante des précédents volets a carrément disparue, du coup on traîne avec des musiques très désagréables. La mise en scène kitsh est fidèle à l'esprit, mais bon, ce qui est fait, est fait ! En conclusion, cet épisode est raté, on peut rien y faire.
Seules deux ou trois bonnes scène m'ont aidées à finir le film. Sinon, le scénario est assez méli-mélo, on comprend pas tout. De plus, c'est vraiment trop prévisible. Au niveau de la version française, dans le 4, la voix de Freddy était moche, mais là, on comprend plus du tout ce qu'il baragouine... http://tempslibre.forumr.net
Pareil que le précédent volet, le film insiste sur le gore, mais il ne fait absolument pas peur. Peut être encore plus minable que le précédent d'ailleurs.
Après l'horripilant quatrième opus qui mettait en avant le grotesque et le vide scénaristique, voici un nouvel épisode aussi inévitable que foncièrement plus réussi. On retrouve les mêmes personnages que Le Cauchemar de Freddy, toujours interprétés par des acteurs décidément très peu convaincants. L'histoire est en revanche intéressante, se concentrant sur une future réincarnation de Freddy à travers le bébé d'Alice mais aussi sur le fameux passé de Freddy [spoiler]et sur sa religieuse de mère s'étant faite brutalement violée par des centaines de dégénérés mentaux. La réalisation soignée de Stephen Hopkins apporte un plus au film, le ton étant ici très sombre, glauque et surtout très gore (en particulier dans la version Unrated), un aspect assez inédit dans la franchise. Par contre, cette même mise en scène manque sévèrement de rythme et se voit agrémentée de lourdeurs malvenues (le passage des escaliers à la M. C. Escher est original mais sincèrement énervant). Les effets spéciaux sont eux aussi très réussis mais peu originaux, faisant encore et toujours de Freddy un clown tueur plus qu'un croque-mitaine effrayant. Ainsi, ce cinquième opus n'est sans nul doute pas le meilleur mais dépasse de loin sa suite ainsi que son prédécesseur.