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anton2
11 abonnés
188 critiques
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5,0
Publiée le 2 juillet 2014
Ce cinquième opus est un changement pour la saga qui se montre plus sombre. Nous retrouvons le mignon petit couple formé par Alice et Dan rare survivant de Freddy. Malheureusement pour eux, Freddy n'a pas dit son dernier mot et compte bien se venger. Freddy toujours au mieux de sa forme prend plaisir à faire souffrir ses victimes comme toujours et veut utiliser le bébé de Dan et Alice pour renaître encore dans le ventre d'Alice. On assiste au viol d'Amanda Krueger et la conception affreuse de Freddy. Cet opus est une réussite comme tout les autres.
Pour ce 5e opus on retrouve une fois de plus le personnage d'Alice encore et encore confrontée au tenace Freddy Kruger. Dans ce film on en apprend un peu plus sur lui du moins sur sa mère qui a été violée par un bon nombre de malades dans l'asile ou elle travaillait. Après un 3e et un 4e souvent porté sur la comédie et le second degrés celui-ci semble reprendre enfin un chemin plus classique c'est une bonne chose même si cela ne suffit pas à relancer une saga déjà bien usée et qui n'a plus aucune inventivité. L'histoire dans cet épisode est classique, sans surprise, ça tourne en rond malgré un ton un peu plus sérieux que le précédent on évite pas les clichés et les scènes parfois proche du ridicule. Un film à réserver uniquement aux fans de la saga.
Ce cinquième opus (1990) prouve une fois de plus que la saga va trop loin, elle s’enlise dans du grand n’importe quoi, une histoire qui ne mène à rien, scénaristiquement parlant, ils ne se sont pas foulés et nous ressorte une histoire tirée par les cheveux. Les acteurs sont de moins en moins crédibles et des SFX de plus en plus hideux, prouvent que la saga est à bout de souffle et qu’il serait grand temps de passer à autre chose.
Ce Freddy est sans doute le plus mauvais de la saga avec le 6. Dans le précédent on avait encore le quota de meurtres et d'effets spéciaux, ici cela se raréfie et le tueur ne fait plus du tout peur, il devient ridicule et à même peur un moment (le comble). L'histoire de sa résurrection est tirée par les cheveux, l'actrice Lisa Wilcox est aussi mauvaise que dans le deux, sans parler de la présence du fils Jacob (tête à claques) qui n'a aucun sens. Ce qui m'empêche de mettre nul c'est la scène avec l'incrustation dans la BD et le décor final à la Escher qui est sympa.
Assez blasé à ce stade de la saga, je poursuivais mon exploration sans grandes exigences et ce cinquième épisode m'a distrait d'autant plus. Non pas qu'il réserve de réelles surprises scénaristiques, apparaissant d'ailleurs très suranné dans sa description du microcosme adolescent -mais aussi plus distanciée que les autres à ce sujet-, mais nous tenons ici un Freddy plus sombre et esthétiquement plus intéressant, presque raffiné après l'assez beauf 4e opus. Alors que le 1er m'a déçu et que le 3e parvenait à décoller, ce 5e opus parvient facilement à être l'un des meilleurs [l'ultime opus est hors-catégorie], ou plutôt l'un des moins pires. Un pont entre les deux tendances de la saga, en somme.
Cinquième volet de la franchise, une nouvelle fois réalisé par un metteur en scène différent en la personne de Stephen Hopkins, L'Enfant Du Cauchemar est un film plutôt correct. L'histoire nous fait suivre Alice et ses amis qui voient leurs rêves à nouveaux hantés par Freddy Krueger via l'enfant qu'attend la jeune femme. Cette dernière tente alors de percer les secrets de la mère du croque-mitaine pour vaincre le mal une bonne fois pour toute. Ce scénario nous plonge pendant un peu moins d'une heure et demie dans une intrigue qui se laisse visionner avec un plaisir coupable. Celle-ci a le mérite d'apporter de nouveaux éléments permettant d'en savoir plus sur les origines de Freddy et se démarque de ses prédécesseurs grâce à sa particularité consistant à se servir du bébé en développement dans le ventre d'Alice afin de permettre au tueur de commettre ses méfaits. Cela est assez osé et fonctionne bien. Cette situation ubuesque donne lieu à des scènes de cauchemars toujours aussi inventives et originales dans le dessein de proposer des mises à morts toujours plus gores et jouissives en lien avec les personnalités des victimes. L'ambiance est pour sa part un mélange entre horreur, fantastique et humour tant les évenements sont capilotractés au point d'en devenir aussi ridicules que divertissants. L'ensemble est porté par des personnages peu intéréssants hormis le rôle principal tenu par Alice. Ces protagonistes sont joués par une distribution à peine convaincante comprenant Lisa Wilcox, Danny Hassel, Kelly Jo Minter, Erika Anderson, Joe Seely, Nicholas Mele ou encore Burr DeBenning. Mais comme à chaque épisode, la véritable tête d'affiche est évidemment l'antagoniste incarné par Robert Englund qui porte toujours aussi bien les traits de Freddy Krueger. Tous ces individus entretiennent des rapports entre crainte et espoir de mettre fin à cette menace increvable. Des échanges soutenus par des dialogues peu inspirés. Sur la forme, la réalisation du cinéaste britanno-australien s'avère tout aussi bonne que celle de ses prédécesseurs. Sa mise en scène nous gratifie de séquences d'exécutions franchement réjouissantes et créatives. Hélas, les effets spéciaux ne sont pas toujours à la hauteur. En effet, ceux-ci sont en demi-teinte, tantôt bien faits, tantôt kitchs et dépassés. Les environnements parcourus sont eux toujours aussi variés. Ce visuel sombre et sanglant est accompagné par une b.o. signée Jay Ferguson, dont les compositions ne sont pas très marquantes. Reste une fin satisfaisante venant mettre un terme à L'Enfant Du Cauchemar, qui, en conclusion, est un volet méritant le coup d'œil pour tous les amateurs du tueur sadique.
L'héroïne du film précédent est enceinte, et Freddy va utiliser les rêves de son fœtus pour revenir tourmenter les jeunes de Elm Street. La corde est usée pour ce cinquième opus, qui n'apporte pas grand chose de neuf. Les rares bonnes idées ne sont pas très bien exploitées, et le scénario est plutôt laborieux. A côté, la mise en scène fade n'est pas aidée par les acteurs médiocres, et mêmes les apparitions de Robert Englund en Freddy, trop grossières, sont moins savoureuses que d'habitude. Restent quelques séquences de rêves qui se laissent regarder. Malheureusement, certaines sont gâchées par des effets visuels qui ont mal vieilli.
Est ce le fait de l’usure mais ce cinquième chapitre de Freddy m’amuse un peu moins malgré qu’il soit encore assez soigné? Dans les réussîtes il y a le cauchemar de la bande dessinée, celui de la moto qui lui aussi est très impressionnant et le court passage à l’asile psychiatrique. Le film donne la mauvaise impression de vouloir ratisser un public plus large à tout prix avec un aspect général plus soft (pour s’en convaincre il suffit de regarder le maquillage du croque mitaine bien moins impressionnant que dans les films précédents). Mais même si la recette est encore bien exécutée on sent que la saga s’essouffle et surtout qu’elle peine à se renouveler.
Dans ce cinquième volet des aventures du croquemitaine griffu, on assiste encore et encore aux mêmes mésaventures que dans le précédent opus : tout le monde meurt autour de l’héroïne Alice qui se remet très rapidement de tous ces événements dramatiques et continue sa vie comme si de rien n’était et surtout, ne reçoit aucune aide psychologique ! Heureusement, le réalisateur se lâche un peu dans la dernière partie dans laquelle les décors, inspirés des travaux de l’artiste néerlandais Escher avec ses escaliers à l’envers, mais ce travail esthétique paraît un peu vain, tant on est limité côté scénario ! Bref, ce fut pour moi un film anecdotique facilement oubliable, un peu comme Alice fait fi de tout ce qu'il lui arrive !
Très bien limite chef d'œuvre!! Il est bien glauque dés le début (l'asile, le bébé, l'enfant, les rèves, etc.....) l'ambiance malsaine ici pas de place à un humour débile.... Pas trop de mort et c'est pas grave pour moi. Autant le 6 et le 2 ont vieilli et étaient plutôt mauvais. Le 3 était bien mais a bien vieilli aussi. Par contre, ce cinq il faut absolument le voir en VO car celle qui fait la voix d'Alice a du être pistonné; c'est pas possible autrement!