Cinquième volets de la saga des Freddy , celui ci est vraiment pas terrible . On ressent un gros manque d'inspiration et ça tourne en rond , ce qui mène inévitablement a l'ennuie au bout de 50 minutes . Très répétitifs et peu imaginatif par rapport au précédent films ici Freddy a même moins de charisme et moins d'humour ce qui le rend moins intéressant . On retrouve quand même des morts original mais peu intéressante finalement . Un film donc a conseiller uniquement au fans de Freddy .
Après un quatrième opus que j'ai trouvé décevant, Freddy tente une fois encore de revenir à la vie, ce coup-ci en prenant possession du foetus d'un enfant à naître. Nous avions déjà vu dans "Freddy 2" que le tueur était capable de prendre possession de quelqu'un, il n'est donc pas si surprenant de le voir vouloir s'offrir une renaissance directement dans le ventre d'une ancienne de ses victimes. Il manque pourtant à ce film ce qu'il manquait déjà au quatrième, à savoir que l'horreur n'est plus aussi convaincante qu'auparavant... Par contre, je trouve ce film quand même plus réussi, car plus jusqu'au boutiste dans l'ambiance de cauchemar psychédélique. On se croirait davantage devant un film fantastique et grand guignol que devant un slasher movie. Mais la barre remonte quand même d'un cran par rapport à un "Freddy 4" qui frisait le nanar. La résolution de l'histoire paraît quand même peu réfléchie et un peu trop facile: trouvez la vraie mère de Freddy Krueger et vous pourrez le vaincre... Mouais, bof ! Dans l'ensemble, ça reste quand même bien décevant, d'autant plus qu'un scénario remontrant à la naissance de Freddy aurait pu donner quelque chose de plus croustillant et permettre un réel approfondissement du méchant. Ce n'est pas ce "Freddy 5" qui m'empêchera de dormir la nuit...
Alors que le budget semble (et c'est même pas sûr) un peu plus conséquent ici que pour les précédents opus (décors et effets spéciaux profitant de quelques avancées technologiques), ce Freddy V laisse pourtant de marbre, s'engluant dans un grand brouillon métaphorico-onirique n'importe nawak. L'idée de l'enfant étant l'une des plus mauvaises idées de la franchise. On pousse le concept jusqu'à la moelle, jusqu'à lui enlever totalement ce qui donnait à l'origine de son intérêt et de son "charme". Pas vraiment de scénario dans ce mauvais "Alice au Pays des Cauchemars" en roue libre (Bah oui, l'héroïne s'appelle Alice et ça ne peut pas être qu'une simple coïncidence).
Qu’ont fait les fans de la saga Freddy pour mériter ça ? En effet, alors que jusqu’à présent, malgré leurs défauts, les quatre premiers épisodes restaient toujours agréables, L’Enfant du cauchemar est plutôt pénible à suivre. Si le premier quart d’heure reste plutôt correct, le film de Stephen Hopkins (dont le film suivant est pourtant le très bon Predator 2) part rapidement dans le n’importe quoi. L’idée de faire revivre Freddy par les rêves du bébé d’Alice aurait pu être intéressant mais le traitement est catastrophique. Il n’y a pas de construction de personnages et le scénario est tellement mal écrit que l’ensemble semble ne posséder aucun sens. Le résultat est ainsi plus grotesque qu’autre chose. Il ne faut donc plus chercher à avoir un peu peur car désormais Freddy, qui en outre n’est pas si présent que cela, n’effraie plus du tout et devient même assez ridiculespoiler: (la séquence dans l’univers de bande dessinée où il fait du skateboard et devient même Super-Freddy !!!) . Ce cinquième opus est donc une véritable purge qui fait penser que la série est arrivée à bout de course.
On ressent un gros manque d'inspiration et ça tourne en rond , ce qui mène inévitablement a l'ennuie au bout de 50 minutes . Très répétitifs et peu imaginatif par rapport au précédent films ici Freddy a même moins de charisme et moins d'humour ce qui le rend moins intéressant.
Tentant de retrouver un ton plus adulte et noir après les bouffonneries de l'opus précédent, un cinquième épisode visuellement intéressant dans son ambiance gothique et baroque mais souffrant d'un scénario bancal malgré ses ambitions, d'une musique et de comédiens catastrophiques et de séquences oniriques imaginatives mais atténuées par la censure de l'époque.
Un grand pas en avant si on le compare au précédent chapitre. Ici, on ne s'est pas contenté de faire une suite dénuée de tout scénario. Au contraire, le scripte a été mûrement réfléchi et intelligemment exploité. Dés les premières scènes, on comprend qu'une esthétique de qualité sera au rendez-vous. Une inventivité inépuisable. L'intrigue mise en place nous passionne très rapidement et l'on se pose beaucoup de questions. Les acteurs sont beaucoup mieux dirigés que dans le précédent et même Robert Englund, dans son rôle mythique, a la possibilité de montrer d'autres facettes, il obtient un rôle beaucoup plus complet. Le regard qu'il est capable de lancer est surprenant. De nouvelles choses qui s'ajoutent à l'ambiance et à l'esprit de la saga qui est toujours présent. Un grand bravo à Stephen Hopkins qui, malgré la concurrence des équipes précédentes, remporte avec brio un défi de taille. Il faut aussi insister sur les effets spéciaux, ce sont les meilleurs de toute la saga et nous sommes seulement en 1989. Plusieurs scènes, notamment la scène finale, prouvent que les moyens sont au rendez-vous, sans en abuser néanmoins: très bon dosage! C'est avec beaucoup de plaisir également que l'on assiste à la mise en image de la conception et naissance du monstre. De grands moments d'humour noir sont au rendez-vous ainsi qu'une scène un peu « délire »: Super Freddy, allusion aux comics. Les meurtres ne sont pas nombreux, il n'y en a que 3, la preuve en est que ce n'est vraiment pas l'essentiel ni la force de cette saga car malgré cette constatation, il s'agit bel et bien de l'un des meilleurs chapitres.
Un "Freddy" qui s'inscrit dans la continuité du précédent volet. Le cinquième opus de l'écorcheur d'Elm Street ne se contente plus, à l'instar de son prédécesseur, de flirter avec le ridicule puisqu'il valse carrément avec. Un film peu inspiré, voire pas inspiré du tout. Le film qui témoigne de l’essoufflement de la franchise, purement et simplement.
Attention, attention... La qualité de la saga chute... Ce cinquième épisode est fort agréable a visionner mais, n'est que trop peu crédible. Le scenario est juste correct, les acteurs, bon... Heureusement, et curieusement, c'est tres plaisant ! Malgré ses défauts, ce film est un divertissement pas contrariant du tout, avec encore et toujours Robert Englund exceptionnel en Freddy.
oin bien que le 1,3 et 4 mais mieux que le 2 on a un scénario plutos originale mais c est un peux du deja vus , pas mal de longeur mais c est pas mal 3/5
Ce cinquième chapitre de la franchise des "Freddy", cette fois réalisé par Stephen Hopkins et sorti en 1989, est le moins considéré de la série, et ça se comprend ! Malgré tout, personnellement, je le préfère au quatrième épisode car, même s'il part dans des délires un peu particulier, ce sont des délires originaux ! Et oui, cette fois, le film utilise une idée prévue à la base pour le second film, c'est-à-dire l'idée de la grossesse. On suit toujours Alice qui tombe cette fois enceinte de Dan. Mais le fœtus rêve beaucoup et ainsi, Alice se retrouve projeter dans les rêves de son fœtus, rêves, ou plutôt cauchemars, évidemment habités par Freddy Krueger. Ainsi, Freddy ne pénètre pas dans notre réalité comme dans le deuxième volet (ce qui était de toute manière une mauvaise idée) mais peut invoquer Alice dans divers cauchemars, sans même qu'elle n'ait besoin de dormir, ce qui est, en revanche, une bonne idée ! Je trouve que le film est, de toute manière, rempli de bonnes idées mais qu'elles sont terriblement mal exploitées. Le film tente également de revenir sur le passé de Freddy, et notamment sur celui de sa mère. On en apprend alors un peu plus sur sa conception catastrophique mais le film n'exploite pas le filon jusqu'au bout. Pire, nous avons beaucoup de scènes avec la mère qui ne sont pas très bien gérées mais qui sont également incohérentes avec le reste du film. Pourquoi libérer l'âme de la mère ? Comment Freddy peut la "bloquer" ? Pourquoi peut-elle se balader dans les rêves de Freddy comme elle veut ? De nombreuses questions de ce genre resteront sans réponse (ou alors des réponses vraiment à l'arrache), la mère servant ici surtout à faire avancer l'histoire (ramener Freddy à la vie dans un premier temps, puis l'anéantir à nouveau dans un second temps). Nous avons de très bonnes idées de mise en scène, notamment, évidemment, au niveau des rêves, qui offrent beaucoup de liberté artistique. Malheureusement, malgré ses bonnes idées, le film se traine en longueur car il ne parvient pas à être bien captivant sur la longueur. Effectivement, même problème qu'avec le précédent opus d'ailleurs, entre les rêves, il ne se passe pas grand chose et le tout sent le réchauffé (même enquête, mêmes découvertes, mêmes tentatives de solution etc.). "L'Enfant du cauchemar" reste donc très original sur la mise en scène des rêves mais peine malgré tout à captiver son spectateur.