Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Libération
par Didier Péron
Je t'aime toi est loin d'être parfait, mais il est d'une fraîcheur totale sur Moscou et ses habitants, loin des clichés slaves. L'esprit des premiers Almodovar traverse le film et son cocktail mélo-comique reflétant l'ivresse de l'époque dans un pays peu stabilisé.
Zurban
par Yasmine Youssi
Un ménage à trois sur la Volga, pourquoi pas ? D'autant que cette comédie tendance mélo, réalisée à quatre mains, ne manque pas de piquant.
L'Express
par Laurence Liban
Voir la critique sur www.lexpress.fr
MCinéma.com
par Guillaume Tion
Si la bonne foi du film est indéniable, le résultat ne dépasse pas le stade du cliché, notamment dans la description et le comportement des personnages. Tout cela, paradoxalement, manque un peu de corps. Et ce n'est qu'au final, alors que le film hésite sans cesse sur une fin probable, que l'histoire prend enfin la dimension tourmentée qu'elle aurait dû avoir. Mais quand sonne l'heure des sentiments, il est déjà trop tard.
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Pierre Murat
A l'arrivée, quelques trouvailles visuelles (le plan kitchissime du Kalmouk à l'armée) et une jolie satire de Coca-Cola, censé apporter aux Russes la liberté et le bonheur. Mais la mise en scène, branchouille, clipeuse et tarte, plombe presque complètement le charme (des interprètes) et la générosité (du propos).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ciné Live
par La rédaction
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
par Vincent Ostria
Cette bluette appartient à une race qu'on croyait éteinte : le film perestroïka clinquant, aux tics visuels innombrables, aux décors d'un modernisme repoussant. Soi-disant le premier film gay russe. Il ne faut pas confondre gay et gai.
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Présenté comme le "premier film gay russe" et réalisé par deux représentants de la société moderne moscovite assurant savoir de quoi ils parlent, cette satire tournée avec les moyens du bord alterne naïvetés et tics branchés.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ouest France
par La rédaction
La première comédie gay venue de Russie. Novateur là-bas peut-être, mais sacrément réchauffé ici. Et une mise en scène bariolée qui récupère tous les effets visuels à la mode naguère.
Première
par Nicolas Schaller
Sous couvert d'un regard critique sur la perte de repères d'une société russe fraîchement émancipée, ce film gadget ne fait que se mordre la queue en lorgnant sur ses cousins occidentaux branchouilles à coups de tics clipesques et de raccourcis vulgaires.
TéléCinéObs
par Emmanuel Luc
Difficile de dire ce qui est le plus affligeant de la mise en scène ou du scénario 100% poncifs. Quant à l'érotisme, il est au niveau de la symbolique des gros cornichons.
Libération
Je t'aime toi est loin d'être parfait, mais il est d'une fraîcheur totale sur Moscou et ses habitants, loin des clichés slaves. L'esprit des premiers Almodovar traverse le film et son cocktail mélo-comique reflétant l'ivresse de l'époque dans un pays peu stabilisé.
Zurban
Un ménage à trois sur la Volga, pourquoi pas ? D'autant que cette comédie tendance mélo, réalisée à quatre mains, ne manque pas de piquant.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
MCinéma.com
Si la bonne foi du film est indéniable, le résultat ne dépasse pas le stade du cliché, notamment dans la description et le comportement des personnages. Tout cela, paradoxalement, manque un peu de corps. Et ce n'est qu'au final, alors que le film hésite sans cesse sur une fin probable, que l'histoire prend enfin la dimension tourmentée qu'elle aurait dû avoir. Mais quand sonne l'heure des sentiments, il est déjà trop tard.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
A l'arrivée, quelques trouvailles visuelles (le plan kitchissime du Kalmouk à l'armée) et une jolie satire de Coca-Cola, censé apporter aux Russes la liberté et le bonheur. Mais la mise en scène, branchouille, clipeuse et tarte, plombe presque complètement le charme (des interprètes) et la générosité (du propos).
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
Cette bluette appartient à une race qu'on croyait éteinte : le film perestroïka clinquant, aux tics visuels innombrables, aux décors d'un modernisme repoussant. Soi-disant le premier film gay russe. Il ne faut pas confondre gay et gai.
Le Monde
Présenté comme le "premier film gay russe" et réalisé par deux représentants de la société moderne moscovite assurant savoir de quoi ils parlent, cette satire tournée avec les moyens du bord alterne naïvetés et tics branchés.
Ouest France
La première comédie gay venue de Russie. Novateur là-bas peut-être, mais sacrément réchauffé ici. Et une mise en scène bariolée qui récupère tous les effets visuels à la mode naguère.
Première
Sous couvert d'un regard critique sur la perte de repères d'une société russe fraîchement émancipée, ce film gadget ne fait que se mordre la queue en lorgnant sur ses cousins occidentaux branchouilles à coups de tics clipesques et de raccourcis vulgaires.
TéléCinéObs
Difficile de dire ce qui est le plus affligeant de la mise en scène ou du scénario 100% poncifs. Quant à l'érotisme, il est au niveau de la symbolique des gros cornichons.