Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Ciné Live
par La rédaction
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Fluctuat.net
par Laure Naimski
Dans un documentaire méditatif et aérien qui épouse le rapport à la nature, au temps, aux couleurs et aux formes du land artiste écossais Andy Goldsworthy, le cinéaste allemand Thomas Riedelsheimer compose un film sensuel fait de tensions et de résolutions. (...) un réel parti pris esthétique (...). Celui-ci sait capter l'essence d'un homme qui tente de saisir la fluidité dans la pierre et de rendre visible l'invisible (...).
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
L'Express
par Laurence Liban
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
par Jean-François Rauger
Rivers and Tides est avant tout un portrait de l'homme qui, face à la caméra de Thomas Riedelsheimer, explique son inspiration, sa quête personnelle, tout en façonnant et en construisant ses oeuvres singulières. [...] Le cinéma est un troisième larron (après l'artiste et son oeuvre) qui vient à la fois donner un sens, introduire une vision encore nouvelle, inédite, des artefacts de Goldsworthy.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
En filmant un spécialiste du land art, ce documentaire montre la capacité du cinéma à révéler dans tout son ampleur une oeuvre poétique. [...] Goldsworthy est un artiste chaman qui oeuvre de concert avec les éléments et l'environnement pour y imprimer sa présence éphémère. Un processus traduit de façon didactique et gracieuse dans le film de Riedelsheimer.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Hervé Gauville
(...) la tentation est grande de lisser de belles images. Riedelsheimer s'en garde : ses plans obéissent à une nécessité où l'esthétique tient le rôle du sparring-partner. S'attachant aux pas de Goldsworthy, le cinéaste finit par montrer ce qui n'apparaît jamais dans les films sur artistes : les échecs. Car l'Ecossais affronte moins le paysage que le temps, pas seulement le temps météorologique. Le cinéaste ne juge pas, il regarde, attend et enregistre.
Positif
par Laetitia Mikles
En consacrant son documentaire au travail de l'artiste de paysage Andy Goldworthy, Thomas Riedelsheimer joue avec l'écoulement du temps. Il invite à observer l'oeuvre, de sa laborieuse élaboration à son inexorable et naturelle dégradation. [...] Le documentariste imite le sculpteur dans son attention sensuelle portée aux éléments. Paisible et méditative, sa caméra se fait caressante et fluide.
La critique complète est disponible sur le site Positif
TéléCinéObs
par Bijan Anquetil
Conjuguant images d'une grande beauté et commentaires passionnants d'Andy Goldsworthy, "Rivers and Tides" a su saisir cette quête d'une harmonie éphémère entre l'homme et le monde.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Jacques Morice
Ce documentaire vif, bien servi par la musique atmosphérique de Fred Frith, suit l'artiste à la mer et à la campagne, recueille ses paroles pleines de sagesse et de ferveur, montre le work in progress, les ratages aussi. (...) autant de sculptures écolos dont le caractère merveilleux va de pair avec la plus grande humilité. De quoi se purifier le corps et l'esprit.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Yasmine Youssi
Il reste difficile d'aller contempler les oeuvres des artistes du land art, et leurs photos nous laissent souvent sur notre faim. C'est dire si Riedelsheimer a eu une bonne idée d'aller filmer Andy Goldsworthy à l'oeuvre en Ecosse. Son documentaire, passionnant, lève le voile sur le travail d'un artiste obsédé par certaines formes (...). Des oeuvres éphémères d'une poésie et d'une beauté à couper le souffle.
La critique complète est disponible sur le site Zurban
Brazil
par Alex Masson
Ce face à face entre un artiste et la nature est au coeur de ce documentaire. [...] Rivers & Tides évoque la quête philosophique de Goldsworthy, son oeuvre étant une manière perpétuelle de resituer la place de l'Homme dans l'histoire de la Planète. Un peu statique par instants mais toujours fascinant.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Documentaire classique sur un sujet extraordinaire (...). L'intérêt majeur du film est de suivre l'élaboration in situ de ses travaux, en détaillant les obstacles rencontrés par l'artiste. Grâce au cinéma, ces créations souvent éphémères vont acquérir un semblant d'éternité.
Le Figaro
par La rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Première
par Gaël Gohlen
Riedlsheimer sonde les rapports de l'art au temps et à l'espace. Sujet nature qui aurait dû échouer sur Planète. Mais la mise en scène incantatoire et le rapport de l'homme à la nature évoquent la beauté rousseauiste des films de Malick ou de Robert J. Flaherty.
La critique complète est disponible sur le site Première
Score
par Pete Wackefield
Figure du Land Art, mouvance qui consiste à composer le paysage, il travaille la nature avec ce qu'il trouve. Ses sculptures tantôt éphémères, tantôt pérennes, sont des serpentins de glace, des pépins géants de pierre plates ou des vasques d'eau rouge. La découverte de ce travail fascinant ne s'accompagne que d'un seul regret : ne pas être sur place pour ressentir pleinement la force des oeuvres.
La critique complète est disponible sur le site Score
Cahiers du Cinéma
par Antoine Thirion
Commentaires passionants de l'artiste, plans longs sur les oeuvres, observations tenaces de son travail et de ses échecs lorsqu'une, deux, trois fois la construction s'ecroule et le projet tombe à l'eau. [...] mais on voudrait que l'addition [artiste anglais + cinéaste allemand] pose problème, qu'au cinéaste ne soit pas seulement dévolue la fonction d'accompagner les oeuvres avec une musique zen et des plans qui durent. On voudrait plus d'affrontements...
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Fluctuat.net
Dans un documentaire méditatif et aérien qui épouse le rapport à la nature, au temps, aux couleurs et aux formes du land artiste écossais Andy Goldsworthy, le cinéaste allemand Thomas Riedelsheimer compose un film sensuel fait de tensions et de résolutions. (...) un réel parti pris esthétique (...). Celui-ci sait capter l'essence d'un homme qui tente de saisir la fluidité dans la pierre et de rendre visible l'invisible (...).
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Rivers and Tides est avant tout un portrait de l'homme qui, face à la caméra de Thomas Riedelsheimer, explique son inspiration, sa quête personnelle, tout en façonnant et en construisant ses oeuvres singulières. [...] Le cinéma est un troisième larron (après l'artiste et son oeuvre) qui vient à la fois donner un sens, introduire une vision encore nouvelle, inédite, des artefacts de Goldsworthy.
Les Inrockuptibles
En filmant un spécialiste du land art, ce documentaire montre la capacité du cinéma à révéler dans tout son ampleur une oeuvre poétique. [...] Goldsworthy est un artiste chaman qui oeuvre de concert avec les éléments et l'environnement pour y imprimer sa présence éphémère. Un processus traduit de façon didactique et gracieuse dans le film de Riedelsheimer.
Libération
(...) la tentation est grande de lisser de belles images. Riedelsheimer s'en garde : ses plans obéissent à une nécessité où l'esthétique tient le rôle du sparring-partner. S'attachant aux pas de Goldsworthy, le cinéaste finit par montrer ce qui n'apparaît jamais dans les films sur artistes : les échecs. Car l'Ecossais affronte moins le paysage que le temps, pas seulement le temps météorologique. Le cinéaste ne juge pas, il regarde, attend et enregistre.
Positif
En consacrant son documentaire au travail de l'artiste de paysage Andy Goldworthy, Thomas Riedelsheimer joue avec l'écoulement du temps. Il invite à observer l'oeuvre, de sa laborieuse élaboration à son inexorable et naturelle dégradation. [...] Le documentariste imite le sculpteur dans son attention sensuelle portée aux éléments. Paisible et méditative, sa caméra se fait caressante et fluide.
TéléCinéObs
Conjuguant images d'une grande beauté et commentaires passionnants d'Andy Goldsworthy, "Rivers and Tides" a su saisir cette quête d'une harmonie éphémère entre l'homme et le monde.
Télérama
Ce documentaire vif, bien servi par la musique atmosphérique de Fred Frith, suit l'artiste à la mer et à la campagne, recueille ses paroles pleines de sagesse et de ferveur, montre le work in progress, les ratages aussi. (...) autant de sculptures écolos dont le caractère merveilleux va de pair avec la plus grande humilité. De quoi se purifier le corps et l'esprit.
Zurban
Il reste difficile d'aller contempler les oeuvres des artistes du land art, et leurs photos nous laissent souvent sur notre faim. C'est dire si Riedelsheimer a eu une bonne idée d'aller filmer Andy Goldsworthy à l'oeuvre en Ecosse. Son documentaire, passionnant, lève le voile sur le travail d'un artiste obsédé par certaines formes (...). Des oeuvres éphémères d'une poésie et d'une beauté à couper le souffle.
Brazil
Ce face à face entre un artiste et la nature est au coeur de ce documentaire. [...] Rivers & Tides évoque la quête philosophique de Goldsworthy, son oeuvre étant une manière perpétuelle de resituer la place de l'Homme dans l'histoire de la Planète. Un peu statique par instants mais toujours fascinant.
L'Humanité
Documentaire classique sur un sujet extraordinaire (...). L'intérêt majeur du film est de suivre l'élaboration in situ de ses travaux, en détaillant les obstacles rencontrés par l'artiste. Grâce au cinéma, ces créations souvent éphémères vont acquérir un semblant d'éternité.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Première
Riedlsheimer sonde les rapports de l'art au temps et à l'espace. Sujet nature qui aurait dû échouer sur Planète. Mais la mise en scène incantatoire et le rapport de l'homme à la nature évoquent la beauté rousseauiste des films de Malick ou de Robert J. Flaherty.
Score
Figure du Land Art, mouvance qui consiste à composer le paysage, il travaille la nature avec ce qu'il trouve. Ses sculptures tantôt éphémères, tantôt pérennes, sont des serpentins de glace, des pépins géants de pierre plates ou des vasques d'eau rouge. La découverte de ce travail fascinant ne s'accompagne que d'un seul regret : ne pas être sur place pour ressentir pleinement la force des oeuvres.
Cahiers du Cinéma
Commentaires passionants de l'artiste, plans longs sur les oeuvres, observations tenaces de son travail et de ses échecs lorsqu'une, deux, trois fois la construction s'ecroule et le projet tombe à l'eau. [...] mais on voudrait que l'addition [artiste anglais + cinéaste allemand] pose problème, qu'au cinéaste ne soit pas seulement dévolue la fonction d'accompagner les oeuvres avec une musique zen et des plans qui durent. On voudrait plus d'affrontements...