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Les choses n'étant tout de même pas aussi manichéennes que prévu, la fin du film est un "cliffangher" réussi, l'un des plus surprenants depuis celui de Matrix 2, annonciateur d'une suite chargée.
Bekmambetov vient de la pub et du clip, et ça se voit, même sans vodka : sa maestria est une macération intelligente de tout un pan du cinéma brise-cornée (...)
Malgré quelques lourdeurs et longueurs peu diluées dans un scénario alambiqué à la vodka (...) c'est sombrement dark, et ça change du Burger américain.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Apprendre à filmer son palier d'immeuble avec le même aplomb que les visions les plus fantastiques, ancrer la fantaisie dans une réalité locale jamais vue comme honteuse, voilà peut-être la leçon que Night watch donnera à nos apprentis cinéastes de genre
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Night Watch est une oeuvre bouffie qui n'a pas toujours les moyens de ses ambitions, un long métrage hybride souvent filmé à son désavantage (...) mais Night Watch est surtout, au final, un film à l'image de son instigateur : honnête. Ce qui n'est d'ailleurs pas synonyme de réussite...
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
La dimension visuelle ne manque pas de réussite. Le scénario, en revanche, se perd dans le dédale d'une multitude de considérations annexes et d'allées et venues dans le temps.
Quoi qu'il en soit, de tout ce bric-à-brac saugrenu et anarchisant dans lequel le meilleur côtoie le pire, se dégage une énergie insolite totalement étrangère aux superproductions fabriquées à la chaîne par Hollywood.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Hélas ! Le plaisir cède rapidement la place à l'ennui, voire à l'indifférence. Le rythme s'essouffle et le scénario tourne en rond. Les super-héros ne sont pas supers, les monstres n'ont rien de monstrueux et pire, les effets spéciaux apparaissent...normaux
La déception est de mise. La grande épopée horrifique que les Russes nous promettaient, ce blockbuster made in Russia qui devait tout casser sur son passage, n'est en fait qu'une vaste plaisanterie, un pétard mouillé, foireux et fumeux, dont on se serait bien passé.
Elle
Une fresque dans un Moscou coloré avec des vampires et autres réjouissances qu'on croise d'habitude dans les mondes parallèles.
Le Parisien
Ne ratez pas cette pépite de terreur témoignant du renouveau du cinéma russe grand public.
Les Inrockuptibles
Les choses n'étant tout de même pas aussi manichéennes que prévu, la fin du film est un "cliffangher" réussi, l'un des plus surprenants depuis celui de Matrix 2, annonciateur d'une suite chargée.
Rolling Stone
Bekmambetov vient de la pub et du clip, et ça se voit, même sans vodka : sa maestria est une macération intelligente de tout un pan du cinéma brise-cornée (...)
Brazil
Malgré quelques lourdeurs et longueurs peu diluées dans un scénario alambiqué à la vodka (...) c'est sombrement dark, et ça change du Burger américain.
Chronic'art.com
Apprendre à filmer son palier d'immeuble avec le même aplomb que les visions les plus fantastiques, ancrer la fantaisie dans une réalité locale jamais vue comme honteuse, voilà peut-être la leçon que Night watch donnera à nos apprentis cinéastes de genre
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Libération
De vortex en autres autres, d'yeux blancs en cuisines sales, d'espions en turbo-camion jaune, Night Watch faute de mieux casse la tronche.
Mad Movies
Night Watch est une oeuvre bouffie qui n'a pas toujours les moyens de ses ambitions, un long métrage hybride souvent filmé à son désavantage (...) mais Night Watch est surtout, au final, un film à l'image de son instigateur : honnête. Ce qui n'est d'ailleurs pas synonyme de réussite...
Ouest France
La dimension visuelle ne manque pas de réussite. Le scénario, en revanche, se perd dans le dédale d'une multitude de considérations annexes et d'allées et venues dans le temps.
Positif
Quoi qu'il en soit, de tout ce bric-à-brac saugrenu et anarchisant dans lequel le meilleur côtoie le pire, se dégage une énergie insolite totalement étrangère aux superproductions fabriquées à la chaîne par Hollywood.
Première
(...) son film (...) malgré ses surcharges et ses approximations, conserve quelques attraits autant dans son style que dans son contenu.
Score
Même inabouti, Night watch offre une opportunité rare : la sensation d'assister à la naissance d'une nouvelle forme de cinéma populaire.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Fumeux et spectaculaire, le film a dépassé, en Russie, les entrées du Seigneur des anneaux.
Cahiers du Cinéma
Evénement socio-économique (...) "Night watch" n'est certainement pas un événement artistique.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
La bande-annonce est plus réussie que ce clip - gothique touillant sans trêve la même bouillasse stroboscopique.
MCinéma.com
Hélas ! Le plaisir cède rapidement la place à l'ennui, voire à l'indifférence. Le rythme s'essouffle et le scénario tourne en rond. Les super-héros ne sont pas supers, les monstres n'ont rien de monstrueux et pire, les effets spéciaux apparaissent...normaux
TéléCinéObs
Bien malin qui pourrait comprendre quelque chose à ce salmigondis branchi-brancha.
Zurban
(...) un film au départ impressionnant, mais d'où ne ressort qu'une cacophonie assourdissante.
aVoir-aLire.com
La déception est de mise. La grande épopée horrifique que les Russes nous promettaient, ce blockbuster made in Russia qui devait tout casser sur son passage, n'est en fait qu'une vaste plaisanterie, un pétard mouillé, foireux et fumeux, dont on se serait bien passé.