AlloCiné
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Votre avis sur Echec et mort ?
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Redzing
Ce film d'action se révèle rapidement médiocre en tout point, et ne se laisse regarder en tant que comédie que grâce à la présence de l'unique, de l'invincible, du péteur de bras professionnel Steven Seagal. L'acteur disposant comme d'habitude de la palette d'expression et de la subtilité d'un merlan frit, le sourire sera au rendez-vous, même si "Hard to kill" est plus orienté navet que nanar.
Un polar survitaminé mener d'une main de maitre par Steven Seagal, l'un des plus grands spécialistes des arts martiaux au monde.
Qui a dit un jour à Steven Seagal qu'il savait jouer la comédie ? En tous les cas dans ce film il a le charisme d'une courgette (une courgette invincible, mais courgette quand même) et ça n'aide pas a entre dans ce film plat au scénario aussi simpliste d'improbable et raconté en mode bourrin. Et comme si ça ne suffisait pas
spoiler:
il faut se farcir un peu de bondieuserie et un gosse ressuscité d'une chute dans le vide
. Sdinon Kelly LeBrock est bene mignonne et c'est tout ce qu'on retiendra de ce mauvais film.
. Sdinon Kelly LeBrock est bene mignonne et c'est tout ce qu'on retiendra de ce mauvais film.
Objectivons
Un bon travail sur le réveil du héros. C'était amusant de voir Steven Seagal avec une belle barbichette !
spoiler:
Par contre, on passe un peu vite sur la mort de son pote qui a pris soin de son gamin depuis 7 ans.
L'histoire n'est pas trop mal développée, on sent que, contrairement à certains films avec Seagal, le scénario n'a pas été totalement oublié au profil de l'action pure.
L'histoire n'est pas trop mal développée, on sent que, contrairement à certains films avec Seagal, le scénario n'a pas été totalement oublié au profil de l'action pure.
Ça paraît difficile à croire vu la carrière de Steven Seagal depuis le début des années 2000 mais, au commencement, il alignait les petits polars urbains bien crasseux où on pourrait vaguement le comparer à un Inspecteur Harry en bien plus radical. Et plus monolithique encore. Car si à l'époque, Seagal fait parler ses poings efficacement, son jeu d'acteur a toujours été nul. C'est comme ça. Par rapport à Nico, son premier et précédent film tourné en 1988, Andrew Davis n'est plus de la partie. Or, Davis a toujours été un bon artisan, un peu comme Walter Hill. C'est Davis qui signe le meilleur Chuck Norris "Sale temps pour un flic". A défaut d'être des cinéastes géniaux, ils ont toujours su assurer dans les scènes d'action. Là, elles sont réalisées de manière un peu chelou. D'ailleurs, les tensions entre Seagal et le réalisateur Bruce Malmuth étaient telles que le premier traitera le second d'incapable. Ambiance, ambiance quand on connaît le caractère ingérable de Seagal sur un plateau. La romance est aussi totalement débile. C'est même la première fois de ma vie de cinéphile que je vois ça. Dans toute sa filmographie, c'est vrai que que Seagal a toujours eu les filles à ses pieds. Euh, oui, mais là ça dépasse l'entendement. Ou alors, ce type a un truc caché pour qu'elles se jettent dans ses bras rien qu'en le voyant même dans le coma. Ce n'est pas le charisme qu'il (ne) possède (pas) en tout cas. Mais je trouverai un jour. Au moins, il reste ce cachet inimitable qu'étaient les années 80 avec tout ce qu'elles auront impliquées comme flics véreux, violence exagérée et punchlines humoristiques après une grosse fusillade. Ce n'était pas le lot uniquement de Stallone et Schwarzenegger. Seagal sait y faire lui aussi tout en gardant cet air imperturbable (même quand il y a un million de morts autour de lui) qu'on lui connaît. Ce qui rend ses répliques encore plus savoureuses. Du pur cinéma de vidéo-club comme on n'en fait plus. On peut au moins lui reconnaitre ça.
Nicothrash
Steven Seagal, mystérieux acteur aux multiples compétences dont on ignore ce qu'il a fait durant une partie de sa vie, est ici dirigé par le réalisateur du fameux "Karaté Kid" Bruce Malmuth pour ce qui est sans doute un de ses tout meilleurs rôles avec les "Désigné pour mourir", "Piège en haute mer", "Nico" ou encore "Justice sauvage". Avant de devenir sujet de railleries notamment pour ses choix artistiques douteux concernant le cinéma bis depuis un paquet d'années, Seagal est avant tout un maître en arts martiaux et un acteur bankable durant quelques années. Souvent cantonné à des rôles de super flic increvable, il trouve ici un rôle un tout petit peu différent puisqu'il est laissé pour mort et dans un profond coma durant 7 ans. Evidemment une fois remis sur pied, il reprendra du service pour péter de ci de là quelques membres et nous régaler de sa technique au combat si particulière. Bien sûr ça a un peu vieilli et le jeu d'acteur est loin de ce qu'on fait de mieux mais nonobstant les nombreux faux raccords "Hard to Kill" (ça claque quand même plus !) s'avère être encore un film d'action efficace, de la bonne série B quoi.
Gamin, "Echec et mort" était un de mes films préférés ! Le coup du mec dans le coma qui a tout perdu et qui revient pour se venger en distribuant les coups de latte dans la gueule, ça me plaisait bien. Mais, objectivement, même s’il s’agit d’un des meilleurs films de Steven Seagal (ce qui permet de relativiser pas mal les choses…), force est d’admettre qu’avec son pitch à la limite du ridicule (il faut voir Seagal barbu se réveiller après ses années de coma et se remettre en moins de 2 !), ses personnages caricaturaux à souhait (le héros vertueux, le politicien véreux, le bon copain fidèle, les méchants aux gueules improbables…) et sa mise en scène un brin daté, "Echec et mort" ne peut pas se détacher de son image de série B sympathique mais pas non plus transcendante. A réserver aux fans de l’acteur qui nous sert son numéro habituel !
Ça c'est un acteur typique de série B, je commence à bien apprécier, une réalisation inconnue pour une mise en scène zen, ses techniques de combat d'arts martiaux venus d'Extrême-Orient.
Du jiu-jitsu renversant bouscule l'adversaire, des politiciens et policiers corrompus font bons ménages, la continuité de Nico porter par sensei Steven Seagal, qui fait ses courses à Chinatown in Los Angeles, it's police department.
Il se réveille après une violence comateuse tragique que l'on reste spectateur malgré, en sachant des choses sur ces magouilles, un témoin à éliminer sera téméraire pour préparer sa vengeance opportune, l'inspiration du moment est anticipée, des acteurs et actrices sympas.
Du jiu-jitsu renversant bouscule l'adversaire, des politiciens et policiers corrompus font bons ménages, la continuité de Nico porter par sensei Steven Seagal, qui fait ses courses à Chinatown in Los Angeles, it's police department.
Il se réveille après une violence comateuse tragique que l'on reste spectateur malgré, en sachant des choses sur ces magouilles, un témoin à éliminer sera téméraire pour préparer sa vengeance opportune, l'inspiration du moment est anticipée, des acteurs et actrices sympas.
Steven Seagal va se venger. Tout un programme. Comme d'habitude, la vie a été dure pour le personnage de Seagal et ce dernier va se venger à l'aide d'un ou d'une sidekick. Là, c'est Kelly LeBrock, sa femme dans la vie, qui l'aide à dézinguer tous les flics corrompus.
La première heure est vraiment plaisante et étonnamment exempte de combats. Steven Seagal, dont c'est le deuxième film, montre que ce n'est pas l'acteur pourri dont tout le monde se moque mais un plutôt bon acteur, qui fait le travail, et est vraiment crédible. Kelly LeBrock assure en sidekick et le fait de voir Steven avec une barbe pendant quinze minutes rend le film indispensable à tout fan de badass. La deuxième partie, avec un look-a-like de David Arquette mal coiffé, Charles Boswell et Branscombe Richmond est plus académique et sans surprise, assez ennuyeuse par moment, sans doute du à la mise en scène bancale de Bruce Malmuth, beaucoup plus à l'aise dans les scènes calmes.
Frederick Coffin et William Sadler finissent le casting de belle façon. C'est un bon film de vengeance comme on en fait plus maintenant, un Commando plus calme, un Au Revoir à Jamais moins bourrin, bref, un petit film sympathique à voir un soir.
La première heure est vraiment plaisante et étonnamment exempte de combats. Steven Seagal, dont c'est le deuxième film, montre que ce n'est pas l'acteur pourri dont tout le monde se moque mais un plutôt bon acteur, qui fait le travail, et est vraiment crédible. Kelly LeBrock assure en sidekick et le fait de voir Steven avec une barbe pendant quinze minutes rend le film indispensable à tout fan de badass. La deuxième partie, avec un look-a-like de David Arquette mal coiffé, Charles Boswell et Branscombe Richmond est plus académique et sans surprise, assez ennuyeuse par moment, sans doute du à la mise en scène bancale de Bruce Malmuth, beaucoup plus à l'aise dans les scènes calmes.
Frederick Coffin et William Sadler finissent le casting de belle façon. C'est un bon film de vengeance comme on en fait plus maintenant, un Commando plus calme, un Au Revoir à Jamais moins bourrin, bref, un petit film sympathique à voir un soir.
Les 7 premiers films de Steven Seagal, le "non-acteur" monolithique sont assurément les meilleurs.
Les 4 premiers sont des séries B, mais dans le style détrone la majeure partie des autres séries B ou des direct to video.
Echec et mort fait partie de ces petites productions où l'on pouvait encore voir Seagal en grande forme, casser des bras à tour de bras.
Une des idées principales du film a été totalement pompée par "Kill Bill" de Tarantino, qui l'a repris avec plus d'humour mais moins de suspens.
Les 4 premiers sont des séries B, mais dans le style détrone la majeure partie des autres séries B ou des direct to video.
Echec et mort fait partie de ces petites productions où l'on pouvait encore voir Seagal en grande forme, casser des bras à tour de bras.
Une des idées principales du film a été totalement pompée par "Kill Bill" de Tarantino, qui l'a repris avec plus d'humour mais moins de suspens.
Avec "Hard to Kill" (1990), Steven Seagal se forge plus que jamais une vache rèputation de justicier pur et dur dans la lignèe d'un Charles Bronson, mais sans les arts martiaux et la moustache! Saumon agile est comme un coq en pâte en flic laissè pour mort après sept ans de profond coma, avec l'attitude et la supèrioritè d'esprit! La vengeance sanglante est assez bien ficelèe, les flics ripoux et autres crapules de sènateurs vèreux (William Sadler a vraiment la tête de l'emploi) ne manquent pas et les bagarres ponctuent règulièrement l'action! C'est efficace, parfois drôle (la reprise de l'entraînement du père Seagal) et c'est tout ce qu'on demande! Evidemment Steven dans cette histoire est sûr de l'emporter quoi qu'il arrive, s'offrant même le luxe de jouer avec son ex femme à la ville, Kelly LeBrock! Pour les fans du cinèma musclè des 90's...
Ti Nou
Une fois encore de vils truands ont le malheur de mettre en colère Steven Seagal qui va avoir l’occasion de briser quelques bras et quelques nuques pour se venger. Un pur actioner des années 90 qui a la particularité d’être filmé et monté avec le dynamisme d’une grand-mère sous prozac.
Je ne suis pas fan de Seagal mais il faut reconnaitre que ce film est un de ces meilleurs films. C'est un film d'action classique, basé sur une histoire de vengeance. Seagal assume lui-même ses combats et ça fonctionne bien. C'est une bonne série B
Un classique de Steven Seagal qui bien encré dans les années 90 nous offre l'aventure d'un flic gentil qui, sortant du coma après 7 ans, se venge des flics ripoux, à la solde d'un sénateur, qui ont assassiné sa famille.
Action, résurrection, entraînement et vengeance, voilà le secret d'un bon film de Seagal comme il savait les faire.
Celui ci est très bien roulé (comme l'héroïne infirmière, ah Kelly!) et on ne s'ennuie jamais, même si par moment certaines scènes sont devenues un peu risibles!
Mais que c'était bon!
Action, résurrection, entraînement et vengeance, voilà le secret d'un bon film de Seagal comme il savait les faire.
Celui ci est très bien roulé (comme l'héroïne infirmière, ah Kelly!) et on ne s'ennuie jamais, même si par moment certaines scènes sont devenues un peu risibles!
Mais que c'était bon!
Dans Échec et mort, Steven Seagal livre l’une de ses meilleures performances en incarnant un ex-agent des forces spéciales confronté à une organisation criminelle impitoyable. Le film combine habilement des séquences d’action dynamiques avec un suspense bien dosé, rehaussant l’intensité narrative. Malgré quelques clichés inhérents au genre, le rythme effréné et les combats chorégraphiés avec précision font de ce thriller une expérience captivante. La touche personnelle de Seagal se ressent dans chaque scène, rendant le film incontournable pour les amateurs de films d’action et de vengeance.
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