Je n’ai qu’une chose à dire (et c’est bien-évidemment une hyperbole visant à signifier que mes propos suivant sont prioritaires puisque ce vaste film mérite qu’on en aborde une multitude d’élément) est-ce que ce monde est peuplé de haters ingrats et intolérants ?!
C’est à croire que la seule chose qui définie la qualité d’une film son ses effets spéciaux !
Non franchement la preuve de mauvaise foi qui me qui me fait le plus rire dans tout ça (à moins que ça ne m’énerve, je ne sais plus trop bien 🤔), c’est que ces mêmes zigotos vous ensuite faire les éloge de la série de 2014 dont la CGI est un trilliard de fois plus vomitive ! (et si seulement il n’y avait que ça de défectueux dans la série par rapport au film…)
En plus de ça, cette CGI est certes mauvaise mais à de rare occasions et uniquement sur les visages de certains personnage. De plus, on est bien trop occupé à se dire
"Oh my god ! Ils ont mis Nicolas Cage, cette bande de génies !"
(hommage subtile plus qu’agréablement surprenant qui vient renforcé la qualité du film) pour le remarquer !
De plus, ça me lamente de devoir expliquer ça mais puisqu’apparemment ce n’est pas évident, il faut le faire. Ce détail défectueux et insignifiant est totalement justifié par ceci : si vous aviez vu le trailer, vous n’êtes pas sans savoir que Barry rencontre une version alternative de lui-même. Et bien figurez-vous que pour faire interagir pendant 2 : 30 (qu’on ne voie pas passé d’ailleurs et si c’est le cas, on en redemande) deux personnages interprété par un même acteur ça nécessite de la CGI ! Impressionnant n’est-ce pas ? Et pour de la CGI il faut quoi ? De la moula ! Et à en juger par le surréalisme et la réussite de ces interaction entre deux Barry identiques, on peut vite deviner que la plupart du budget est passé dedans en plus du retour très maitrisé de Michael Keaton et quelque autre acteurs ! Donc franchement, méditez un peu et posez-vous cette question rhétorique : Vous auriez réellement préférer que le budget passe plutôt dans les cameos que dans les scènes majoritaire du film pour avoir
un beau Nicolas Cage et un beau Christopher Reeves
pendant deux seconde au détriment de deux Barry décalqué sur une vieux fond vert dégueulasse ?
Bref, maintenant que les point sont mis sur les i, passons aux arguments suivants :
Comme vous l’aurez compris, si les cameos (très subtil et monstrueusement impressionnant pour ceux qui en ont la référence) sont réussis, le fan-service est géré à merveille contrairement à Spiderman : No Way Home où 50 % des personnages n’était dans le film que pour le kiffe d’être présent ! On entre dans une nostalgie qui va jusqu’à atteindre un niveau musicale (là où, dans NWH encore, je leur vous une haine personnelle pour ne pas avoir conservé le look et le theme chefdoeuvrale de Electro) pour ce qui concerne Keaton qui, ça fait du bien, a un réel intérêt dans l’intrigue !
Et en termes de nostalgie, on ne se limite pas qu’à lui car il y en a pour tous les âges ! (sisi, vous verrez)
La divine (en l’occurrence c’est le cas de le dire !) Sasha Calle nous livre une Supergirl bien meilleur que la version du Arrowverse et digne d’un personnage de la série The Boys, terrée au fond de sa cellule en Russie. J’aimerais beaucoup voir une projet plus gore et violent centré sur ce personnage d’ailleurs.
L’humour est rafraichissant, bien dosé, parfois même réfléchis et, bien que simplet, a le mérite de surpasser absolument tout ce que le MCU à pu nous proposer dans le domaine depuis trop longtemps déjà (à l’exception des Gardiens de la galaxie Vol. 3).
Le multivers nous est présenté sous une esthétique original ! Et sa logique suit une cohérence par rapport à ce qu’a pu nous présenter le MCU encore une fois (que je reste le premier fan à défendre, ne vous faites pas d’idée).
Malgré une occasion raté de faire une belle référence à l'Arrowverse.
Le jeu d’acteur d’Ezra Miller est également meilleur que celui de Grant Gustin et digne du personnage qu’il interprète puisqu’il arrive à nous faire chavirer entre humour, compassion et tristesse surtout quand on sait que l’élément déclencheur de l’intrigue est une sauce tomate
(d’ailleurs je suis le seul à m’être dit "C'est pas une allégorie de sa mère ça ?" quand Batman se fait des pattes lors de leur première rencontre ? Peut-être que je vais trop loin dans l'interprétation).
On manque peut-être d’un grand méchant puisque
ce qui nous a été teasé comme tel pendant toute la durée du film n’est en fait qu’une version corrompu du héros que l’on voix apparaitre à peine quelque minute
mais de toute façon, on s’en passe très bien et on est habitués puisqu’on a eu le droit à la même chose avec Sabac dans Black Adam ou avec Starro dans l’excellentissime The Suicide Squad !
En conclusion et en toute objectivité, n’écoutez pas les personnes qui place le film au même niveau que The Dark Knight puisqu’il ne l’est pas mais SURTOUT, écoutez encore moins les moutons qui dénigrent gratuitement le film pour se donner bonne conscience avec leur cinéphilie toxique car leur mauvaise fois atteint un rang cosmique. Ils ne doivent surtout pas vous empêcher de découvrir cette bombe de distraction en salle obscure !
Bref, il ne faut pas avoir peur de le dire : on tient là un des meilleurs films du DCEU et même, pourquoi pas, de DC tout court (sans non plus réussir à surpasser les grands classiques).
C'est un 4, 5 / 5 mérité puisqu'au moins 50 % de ce qui nous été survendu est vraie !
Bisous 🎬⚡💋