Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Humanité
par Michaël Melinard
Ce documentaire édifiant révèle (...) une démocratie en péril. Le sens du montage d'Alex Cooke et son humour aident à rendre la pilule moins amère mais son oeuvre dresse un véritable écran noir sur la capacité de l'Amérique à faire bon usage de ses institutions.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Ce documentaire vient bien tard, après ce qui ressemble à une surdose de films "de gauche" ou "libéraux" consacrés à la vie publique aux Etats-Unis. Mais ce serait une erreur d'y voir un simple film militant. Arnold à la conquête de l'Ouest est surtout une image saisissante d'un nouvel effacement de la frontière, toujours plus ténue, entre la politique et le divertissement.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
MCinéma.com
par Philippe Scrine
Construit de façon classique, ARNOLD... fait cependant coup double. Il décortique le déroulement de la campagne électorale et pointe du doigt les maux d'une démocratie bien malade. (...) ARNOLD... met aussi en évidence les dérives affligeantes, cyniques et révoltantes d'une vie politique réduite à une grande foire, à un show médiatique.
Rolling Stone
par La rédaction
une farce politique où la célébrité a plus de poids que les idées, où l'argent et la censure dominent. Edifiant.
Télérama
par Aurélien Ferenczi
On s'effraie de s'amuser sur un sujet sérieux (la démocratie), et on regrette une fois de plus que ces docus d'opposition, aussi louables et/ou savoureux soient-ils, n'aient pas le moindre effet sur les moeurs politiques américaines.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Brazil
par Caroline Vié
Les bons sentiments font rarement les meilleurs documentaires et l'on n'apprend pas grand-chose au fil d'une démonstration dépourvue de subtilité. A voir cependant, ne serait-ce que pour la galerie de monstres qui tentent de se faire élire en même temps que Terminator.
Cahiers du Cinéma
par François Bégaudeau
Le problème, c'est que ce x-ième documentaire sur la déliquescente vie politique américaine se contente, plutôt que de faire advenir par ses moyens la démocratie adulte dont il déplore l'inexistence, de prélever l'écume spectaculaire de la campagne (...).
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Point
par La rédaction
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Alexandre Chabert
Le film d'Alex Cooke est édifiant, parfois même effrayant, même si cette enquête à charge a tendance à se limiter au clip accéléré d'une campagne à rebondissements, à une accumulation de réquisitoires et de rumeurs sur son personnage principal.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Gilles Renault
D'un point de vue formel, Arnold à la conquête de l'Ouest ne justifie pas qu'on s'y attarde, documentaire sans relief, platement chronologique, comme conçu pour alimenter un quelconque magazine télé d'investigation. Mais la question n'est pas là puisqu'ici, plus qu'ailleurs, le sujet se suffit à lui-même.
Score
par V. McKey
Si Cooke tente plus d'expliquer sa consternation (...) que de démonter un système, ce docu, parfois scolaire, se révèle un aussi parfait qu'inquiétant cours de marketing politique tel que pratiqué aujourd'hui : au détriment de la politique.
La critique complète est disponible sur le site Score
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Télé 7 Jours
par Gérard Lenne
Un documentaire pétillant sur une campagne électorale qui tourna à la farce, quelques-uns des nombreux candidats participant même à des jeux télévisés. On hésite entre le rire et la consternation !
TéléCinéObs
par Olivier Bonnard
On peut regretter que la réalisatrice n'ait pas jugé utile d'interroger des spécialistes, historiens et autres sociologues politiques, optant pour un commentaire en voix off un peu léger, loin du ton vachard d'un Michael Moore. Elle compense par un sens du montage aiguisé, et parvient à montrer qu'au-delà du cirque médiatique (...), l'élection du citoyen Schwarzy est symptomatique d'une démocratie malade (...).
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Zurban
par Yasmine Youssi
Alex Cooke n'a pas à rougir de cette chronique de campagne qui épingle à merveille le populisme d'un Arnold Schwarzenegger parti à la conquête de la Californie. (...) Il n'empêche qu'avec cet histrion de Schwarzy, on attendait plus d'audace dans la forme.
Cinéastes
par Matthieu Santelli
Il n'y a pas cet échange qui s'opère entre le spectateur et la mise en scène et donne à penser plutôt que d'apporter une réflexion déjà toute faite. Un tel film sur grand écran, en nous privant de cette relation, renvoie un sentiment de vide absolu malgré son caractère informatif. Ainsi s'achève, de façon bien plate, la filmographie de "Schwarzy".
La critique complète est disponible sur le site Cinéastes
Le Figaroscope
par La Rédaction
L'analyse politique, les enjeux et la signification de cette élection, on n'en saura rien. Loin des préaux militants, on nous montre ici un inquiétant barnum et on reste sur notre faim.
Positif
par Vincent Thabourey
Cet exotisme, au demeurant très ludique, n'est qu'un simple constat dépourvu de toute acuité. Son style télévisuel particulièrement policé (...) le rendrait presque complice de la politique spectacle qui se déroule sous nos yeux effarés.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Gérard Delorme
A l'aune des docus explosifs initiés par Michael Moore, la déception est grande, tant la thèse est diluée et les images insignifiantes. Pire, à force de s'étendre sur les candidats fantaisistes, le film ignore les adversaires sérieux d'Arnold, dont la victoire finit par paraître justifiée.
La critique complète est disponible sur le site Première
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
Ce documentaire édifiant révèle (...) une démocratie en péril. Le sens du montage d'Alex Cooke et son humour aident à rendre la pilule moins amère mais son oeuvre dresse un véritable écran noir sur la capacité de l'Amérique à faire bon usage de ses institutions.
Le Monde
Ce documentaire vient bien tard, après ce qui ressemble à une surdose de films "de gauche" ou "libéraux" consacrés à la vie publique aux Etats-Unis. Mais ce serait une erreur d'y voir un simple film militant. Arnold à la conquête de l'Ouest est surtout une image saisissante d'un nouvel effacement de la frontière, toujours plus ténue, entre la politique et le divertissement.
MCinéma.com
Construit de façon classique, ARNOLD... fait cependant coup double. Il décortique le déroulement de la campagne électorale et pointe du doigt les maux d'une démocratie bien malade. (...) ARNOLD... met aussi en évidence les dérives affligeantes, cyniques et révoltantes d'une vie politique réduite à une grande foire, à un show médiatique.
Rolling Stone
une farce politique où la célébrité a plus de poids que les idées, où l'argent et la censure dominent. Edifiant.
Télérama
On s'effraie de s'amuser sur un sujet sérieux (la démocratie), et on regrette une fois de plus que ces docus d'opposition, aussi louables et/ou savoureux soient-ils, n'aient pas le moindre effet sur les moeurs politiques américaines.
Brazil
Les bons sentiments font rarement les meilleurs documentaires et l'on n'apprend pas grand-chose au fil d'une démonstration dépourvue de subtilité. A voir cependant, ne serait-ce que pour la galerie de monstres qui tentent de se faire élire en même temps que Terminator.
Cahiers du Cinéma
Le problème, c'est que ce x-ième documentaire sur la déliquescente vie politique américaine se contente, plutôt que de faire advenir par ses moyens la démocratie adulte dont il déplore l'inexistence, de prélever l'écume spectaculaire de la campagne (...).
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Le film d'Alex Cooke est édifiant, parfois même effrayant, même si cette enquête à charge a tendance à se limiter au clip accéléré d'une campagne à rebondissements, à une accumulation de réquisitoires et de rumeurs sur son personnage principal.
Libération
D'un point de vue formel, Arnold à la conquête de l'Ouest ne justifie pas qu'on s'y attarde, documentaire sans relief, platement chronologique, comme conçu pour alimenter un quelconque magazine télé d'investigation. Mais la question n'est pas là puisqu'ici, plus qu'ailleurs, le sujet se suffit à lui-même.
Score
Si Cooke tente plus d'expliquer sa consternation (...) que de démonter un système, ce docu, parfois scolaire, se révèle un aussi parfait qu'inquiétant cours de marketing politique tel que pratiqué aujourd'hui : au détriment de la politique.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télé 7 Jours
Un documentaire pétillant sur une campagne électorale qui tourna à la farce, quelques-uns des nombreux candidats participant même à des jeux télévisés. On hésite entre le rire et la consternation !
TéléCinéObs
On peut regretter que la réalisatrice n'ait pas jugé utile d'interroger des spécialistes, historiens et autres sociologues politiques, optant pour un commentaire en voix off un peu léger, loin du ton vachard d'un Michael Moore. Elle compense par un sens du montage aiguisé, et parvient à montrer qu'au-delà du cirque médiatique (...), l'élection du citoyen Schwarzy est symptomatique d'une démocratie malade (...).
Zurban
Alex Cooke n'a pas à rougir de cette chronique de campagne qui épingle à merveille le populisme d'un Arnold Schwarzenegger parti à la conquête de la Californie. (...) Il n'empêche qu'avec cet histrion de Schwarzy, on attendait plus d'audace dans la forme.
Cinéastes
Il n'y a pas cet échange qui s'opère entre le spectateur et la mise en scène et donne à penser plutôt que d'apporter une réflexion déjà toute faite. Un tel film sur grand écran, en nous privant de cette relation, renvoie un sentiment de vide absolu malgré son caractère informatif. Ainsi s'achève, de façon bien plate, la filmographie de "Schwarzy".
Le Figaroscope
L'analyse politique, les enjeux et la signification de cette élection, on n'en saura rien. Loin des préaux militants, on nous montre ici un inquiétant barnum et on reste sur notre faim.
Positif
Cet exotisme, au demeurant très ludique, n'est qu'un simple constat dépourvu de toute acuité. Son style télévisuel particulièrement policé (...) le rendrait presque complice de la politique spectacle qui se déroule sous nos yeux effarés.
Première
A l'aune des docus explosifs initiés par Michael Moore, la déception est grande, tant la thèse est diluée et les images insignifiantes. Pire, à force de s'étendre sur les candidats fantaisistes, le film ignore les adversaires sérieux d'Arnold, dont la victoire finit par paraître justifiée.