AlloCiné
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un bon scénario mais un manque cruel de moyen pour accentuer les scènes !!!
White Man : Un film qui a une idée en béton pour proposé un message qui pourrait choquer et surprendre plus d’un et c’est un véritable coup de force. Car, quand le film nous présente le monde, on pourrait dire que c’est de la science fiction tellement on n’est pas habitué et ça prouve certains jugement de société… Et la meilleur façon de montré le monde telle qu’il est, c’est de inversé ce monde. Puisque dans le film, la situation des noirs à était inversé a celle des blancs, les noirs sont les riches, fondent parties des quartiers aisés, les flics sont noirs, les employés et patrons sont noirs, les jouets sont noirs… et a l’inverse, les blancs sont dans les banlieues, c’est la classe ouvriers, ils sont pauvres et la criminalité est ici. Donc voila, étonnant mais efficace revirement de situation et c’est très fort et osé d’avoir fait ça, ce qui rend ce film si intéressant et unique. Ensuite, le scénario s’adapte a l’univers, car c’est un blanc, père de famille qui va tout perdre a cause d’un patron noir qui voulait pas l’écouté, et il va le kidnappé pour réparé le préjudice mais tout va pas ce passé comme prévu, ils vont peut être apprendre a ce connait et c’est la que les personnages devint intéressants et attachants. Il y a que vers les 25 dernières minutes ou cela part en sucette et la fin est vraiment inattendue et assez incompréhensible, on perd tout ce qu’on avait aimé au début pour le personnage… Non, la fin est particulière mais c’est voulu par le réalisateur qui est aussi scénariste, gage de qualité car l’investissement est plus important. D’ailleurs, la mise en scène n’est pas trop mal même si ça fait un peu tv-film. Et pour finir, le casting est excellent, on a le droit a John Travolta qui est impeccable comme d’habitude, a part sa couleur de cheveux un peu roux ^^ ça lui va pas trop, surtout quand il y a le soleil sur lui, et Harry Belafonte est crédible et juste. Donc voila, un film original qui mérite le coup d’œil.
Une belle petite histoire avec de bons petits acteurs, ça ne sombre jamais trop dans le cliché, certes c'est du déjà vu mais on apprécie tout de même.Pas ennuyeux, White Man n'est pas non plus un chef d'oeuvre mais ça se laisse savourer le temps d'une après midi.A conseiller.
AMCHI
L'histoire est très originale et l'interprétation est de qualité, la réalisation sait nous maintenir notre intérêt tout au long du film mais en même temps elle manque de la force nécessaire qui aurait pu faire de White Man un grand film.
🎬 RENGER 📼
Premier long-métrage pour Desmond Nakano qui nous entraîne en plein cœur d’une Amérique alternative où les afro-américains dominent face aux américains blancs. L’action du film se situe de nos jours, à la différence que la situation entre les noirs et les blancs est ici inversée.
Les blancs représentent la classe ouvrière, les opprimés & les minorités, tandis que les noirs représentent l’aristocratie et les classes privilégiées (en témoigne cet exemple flagrant : lors d’un gala de charité, tous les invités sont des noirs alors que les enfants déshérités eux, sont blancs). Imaginez un instant si les rôles sociaux & culturels étaient inversés (les blancs travaillent pour les noirs, les blancs se font contrôler/arrêter par la police, les blancs trafiquent dans la rue et quant aux noirs, ils incarnent la réussite, ils trust même tous les programmes de la télévision (talk-show, séries télévisées, films, publicités, …)).
Première réalisation pour Desmond Nakano, qui surprend et déroute. Car l’histoire même du film ne vient pas réellement prendre racine dans ce « racisme inversé », c’est un simple ouvrier qui se fait licencier et décide sur un coup de tête de kidnapper son employeur. Le scénario n’a en réalité rien de transcendant, c’est d’ailleurs cela que l’on pourra lui reprocher, car à avoir développé une telle idée en parallèle (le racisme) on aurait aimé que le film aille dans une autre direction, qu’il nous emmène plus loin.
White Man (1995) aurait mérité un tout autre traitement et surtout, il aurait mérité une toute autre reconnaissance. Boudé lors de sa sortie en salles, le film nous offre un superbe tandem avec John Travolta & Harry Belafonte. Travolta venait de tourner dans Pulp Fiction (1994), la logique aurait voulu que le film cartonne à sa sortie, il n’en sera rien.
Cette petite coproduction franco/américaine (via UGC & Band Apart, la société de Tarantino) budgétée à 7 millions de $ vaut la peine d’être vue, cette uchronie révèle (s’il ne le fallait encore) sous un autre jour les aspects néfastes du racisme et les inégalités aux États-Unis.
► http://bit.ly/CinephileNostalGeek ★ http://twitter.com/B_Renger ◄
Les blancs représentent la classe ouvrière, les opprimés & les minorités, tandis que les noirs représentent l’aristocratie et les classes privilégiées (en témoigne cet exemple flagrant : lors d’un gala de charité, tous les invités sont des noirs alors que les enfants déshérités eux, sont blancs). Imaginez un instant si les rôles sociaux & culturels étaient inversés (les blancs travaillent pour les noirs, les blancs se font contrôler/arrêter par la police, les blancs trafiquent dans la rue et quant aux noirs, ils incarnent la réussite, ils trust même tous les programmes de la télévision (talk-show, séries télévisées, films, publicités, …)).
Première réalisation pour Desmond Nakano, qui surprend et déroute. Car l’histoire même du film ne vient pas réellement prendre racine dans ce « racisme inversé », c’est un simple ouvrier qui se fait licencier et décide sur un coup de tête de kidnapper son employeur. Le scénario n’a en réalité rien de transcendant, c’est d’ailleurs cela que l’on pourra lui reprocher, car à avoir développé une telle idée en parallèle (le racisme) on aurait aimé que le film aille dans une autre direction, qu’il nous emmène plus loin.
White Man (1995) aurait mérité un tout autre traitement et surtout, il aurait mérité une toute autre reconnaissance. Boudé lors de sa sortie en salles, le film nous offre un superbe tandem avec John Travolta & Harry Belafonte. Travolta venait de tourner dans Pulp Fiction (1994), la logique aurait voulu que le film cartonne à sa sortie, il n’en sera rien.
Cette petite coproduction franco/américaine (via UGC & Band Apart, la société de Tarantino) budgétée à 7 millions de $ vaut la peine d’être vue, cette uchronie révèle (s’il ne le fallait encore) sous un autre jour les aspects néfastes du racisme et les inégalités aux États-Unis.
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Un film original, méchament inconnu car il proposer une vision sociale bien pensée et qui fait réfléchir. Travolta nous prouve qu'il sait jouer et c'est tant mieu...une bonne surprise qui ne coute que 5 euros en dvd...
Artriste
Écrit et réalisé par Desmond Nakano, White man est un film au postulat de départ très particulier. En effet l'histoire est une uchronie, inversant les rôles entre les noirs et les blancs afin de nous servir un drame social. Car oui même si le synopsis met en avant cette réalité alternative, le vrai cœur de l'intrigue se trouve dans le kidnapping qui va nous tenir en haleine durant une petite heure vingt. C'est intéressant à suivre, on assiste à des scènes ou les valeurs sont inversés ce qui interpelle. Avec un scénario pareil on aurait pu s'attendre à de l'humour et des passages qui font sourire mais il n'en ai rien. Le film est très premier degré et l'on suit avec empathie les nombreuses galères de Louis Pinnock qui va se retrouver en détresse. C'est même surprenant de voir à quel point cette histoire est triste. Le casting est porté par John Travolta et Harry Belafonte qui forment un duo malgré ce dernier. Les deux hommes sont convaincants dans leurs rôles et vont entretenir un rapport proche malgré la situation. A noter aussi la présence de Kelly Lynch qui apporte beaucoup de douceur. La vraie réussite du film vient de ses relations entre les personnages qui sont d'une belle sincérité. Ça se traduit aussi via les dialogues qui sont d'une grande justesse et franchement touchant par moments. Hélas la ou le long-métrage pèche c'est dans sa forme. La réalisation est banale voir sommaire, visuellement ce n'est clairement pas une réussite. Il en va de même pour la b.o. assez discrète et tant mieux car elle n'est vraiment pas qualitative. La fin aussi n'est pas à la hauteur. Cette dernière manque clairement d'inspiration et se conclut sans saveur. C'est dommage ce Withe Man a des qualités à faire valoir et mérite pus de visibilité même si tout n'est pas parfait ça reste un film à voir pour son message et sa prise de risque.
NeoLain
White man est un plaisir coupable, Travolta et Belafonte sont simplement formidable, une histoire qui aurait mériter d'être un peu plus profonde, mais elle arrive à surprendre quand même, un réalisateur qui on le ressent s'implique et veut tenir au maximum la psychologie des deux acteurs dans une ambiance ou le racisme est présent. Petit délire que je retient, avec le coup ou Travolta rajoute du sel sur le ketchup, Belafonte lui dit "pourquoi rajoute tu du sel sur le ketchup et pas sur les frites", réponse de Travolta "il est difficile de bien répartir le sel sur les frites, alors qu'en le rajoutant sur le ketchup, là vous êtes sur d'avoir la bonne dose, et vos frites sont bien salées comme il se doit". A voir pour passer un très bon moment.
J'aurais pu mettre 5 étoiles à ce film, mais la fin m'a déçu. J'ai adoré ce duo d'acteurs, les dialogues et les scènes sont assez intéressantes pour qu'on passe un bon moment sans s'ennuyer.
Un honnête thriller sous fond de critique sociale un peu trop appuyée mais néanmoins sympathique. L'interprétation est un sans faute (Travolta faisant un agréable come-back), le scénario original et le final touchant mais cependant, on notera une réalisation qui aurait mérité un rythme un peu plus nerveux pour étayer cette tension/complicité qui naît entre les deux hommes. Bref, regardable mais pas fantastique pour autant.
Bof, une chieuse qui n'a aucun soutient pour son mari dans la pire difficulté, et qui à la fin, quand l'autre lui donne du blé elle fait sa mijorée ! Et puis, dans quel but il trainait le boss le Pinnock ? Aucune idée, qu'est-ce qu'il avait derrière le crâne ? Et sérieusement, on ne fonde pas une famille quand on a une situation de marde, pour se retrouver dans un quartier pourri ! Un minimum de responsabilité quoi.
Un film quand même un peu primaire dans son discours, peu accrocheur dans son action... et qui vieillit mal
Film assez peu connu et assez déconcertant. Dès les premières minutes, on nous donne le ton, avec les rôles inversés, la société bourgeoise et bien pensante est représenté par des noirs, et la société en difficulté est représenté par des blancs. C'est pour le moins original, et on retrouve John Travolta en parfait looser, mis au pied du mur, et qui prend toutes les mauvaises décisions.
Tout est tellement exagéré que l'on ne croit pas à cette histoire et c'est là que le bas blesse, on ne rentre pas en empathie avec les personnages, que ce soit d'un côté ou de l'autre, même si, cela reste une curiosité.
Tout est tellement exagéré que l'on ne croit pas à cette histoire et c'est là que le bas blesse, on ne rentre pas en empathie avec les personnages, que ce soit d'un côté ou de l'autre, même si, cela reste une curiosité.
Une très bonne idée de départ, c'est-à-dire inversé les rôles des noirs et des blancs dans la société. Mais à part çà, pas grand chose, les acteurs sont mauvais, et l'histoire du kidnapping à tendance à s'enliser. Dommage, ça aurait dû être beaucoup mieux.
Audrey L
White Man n'est certes pas le meilleur thriller du monde, il n'en a d'ailleurs jamais la prétention, mais reste divertissant et agréable à regarder. Les acteurs sont professionnels dans leur rôle : Travolta prouve une fois de plus qu'il n'est pas exclusivement réservé aux rôles en collants flashy et aux pistes de dance-floor, et le casting s'offre le luxe de compter Harry Belafonte qui n'est pas ici pour chanter, mais qu'importe puisque nous sommes heureux de le voir jouer pour une fois. L'intrigue n'est pas originale pour sa prise d'otage mais plutôt dans l'inversion des rôles : le "White man" est la victime d'abord de l'homme "de couleur" et tout s'inverse lors de la prise d'otage, enchaînant les péripéties astucieuses pour renouveler le suspens. Mais il y a tout de même quelques moments de longueur dans le film, et les dialogues sont parfois un peu longs (surtout au début). Le final m'a déçue car j'apprécie les fins heureuses, sans tomber dans le "fleur bleue". J'attendais vraiment une autre proposition pour conclure le film sur une note positive, car on reste un peu sur sa faim (que deviennent les personnages à long terme ? Nous ne le saurons pas...). Cependant, l'émotion que provoque ladite fin reste une marque de qualité, et elle pourra plaire à certains. Bref, un thriller qui n'est pas excellent, mais au moins bon voire très bon selon les goûts de chacun, avec un casting brillant.
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