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Votre avis sur The Devil's Rejects ?
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Chef d'oeuvre absolue, The devil's reject nous plonge une nouvelle fois dans les aventures de la famille Firefly, qui cette fois, aura fort à faire avec un shérif encore plus taré qu'eux. Forsythe est d'ailleurs génial dans le rôle. Loin de l'horreur grand guignolesque du premier volet, The Devil's reject est un film sombre et torturé. Une plongée dans l'aridité du paysage et des actes. Violent, The Devil's Reject est aussi bourré d'émotions, ce qui donne au film une teinte particulière, on s'attache finalement aux personnages qui sont pourtant des salopards de la pire espèce. Le final est magnifique, le Free birds des Lynyrd Skynyrd rendant la scène encore plus magique. Rob Zombie est rentré dans le monde des très grands réalisateurs. Meilleur pour ma part dans le cinéma que dans la musique.
Julien D
Bien que Rob Zombie ne défende qu’il puisse s’agir d’une réelle suite, la plupart des personnages de son détonnant La maison aux 1000 morts se retrouvent au cœur de ce scénario bien plus abouti. C’est en effet bel et bien une vraie petite perle en matière d’originalité que le réalisateur apporte au cinéma horrifique en réussissant à faire de ses tueurs sanguinaires littéralement sorti d'un film d'épouvante des personnages auxquels on hésiterait à s’attacher en mettant à leurs trousses un représentant des forces de l’ordre qui se montrera encore plus sadique. C’est de ce malaise intelligemment mis en place, à travers un road-movie palpitant et un humour noir trash jubilatoire, que va s’effondrer le schéma manichéen qui pèse terriblement sur le cinéma américain emmuré dans sa bien-pensance.
Un road movie horrifique, délirant, crasseux, violent, hilarant, décalé ! C’est trash, amorale, gore mais sans excès, un vrai régal pour les amateurs du genre !! Les acteurs sont excellents. Incontestablement un des meilleurs films de sa catégorie, merci Rob Zombie pour ce bon moment !
Fêtons le cinéma
Chronique familiale déconcertante d’horreur, lente descente aux Enfers de démons humains possédés par une clairvoyance maléfique, The Devil’s Rejects consacre l’immoralité au rang de chose filmique digne d’intérêt en chamboulant la focalisation : le spectateur s’immisce dans l’intimité des bourreaux et partage avec eux réjouissances, tortures et afflictions sur des chansons d’un autre temps. Car tout semble dater, comme pétrifié sur place dans une saleté conservatrice : on passe d’un motel minable à un oasis affranchi de toutes règles où règnent prostitution et drogue, une ville de substitution tenue par Judas. Un monument d’irrévérence porté par des acteurs éblouissants et une réalisation virtuose. Immanquable.
Rob Zombie ayant certainement lui-même compris qu'il n'avait pas de talent,le voici,après "La maison des 1000 morts",qui s'attaque,comme pour son premier long-métrage d'ailleurs,à revisiter les nanars horrifiques des années 60.Forcément,l'aspect nanar est totalement accompli (il ne sait pas filmer,ne sait pas quoi faire de son argent,met
de la country-pop et des acteurs ridicules et le tour est joué).La différence avec un vrai nanar,c'est que ce n'est jamais volontaire.Et que là,en l'occurence,ça l'est.Et ça se sent bien.Il n'y a donc aucun capital sympathie,le film tombant donc dans la vulgarité forcée et dans l'esthétique pouilleuse de fond de motel.Rob Zombie aurait pourtant pu faire de "The devil's rejects" un grand film.Mais dans la mesure ou le scénario est totalement inexistant et que le film s'amuse à aller dans les fin fonds de l'ultra-violence (viols,sexe,meurtres glauques...) sans aucune raison,il reste bien peu à sauver de ce film débile et hystérique,dont les dialogues ne se limitent tout simplement qu'à "bordel de pute de merde,je vais te tirer dans les couilles fils de putain".Sans commentaires.A part des acteurs qui ont la tête de l'emploi et qui savent crier pendant 10 minutes d'affilé sans se péter la glotte,et un effet de caméra très réussi vers les 40 minutes,ben...c'est l'enfer.
de la country-pop et des acteurs ridicules et le tour est joué).La différence avec un vrai nanar,c'est que ce n'est jamais volontaire.Et que là,en l'occurence,ça l'est.Et ça se sent bien.Il n'y a donc aucun capital sympathie,le film tombant donc dans la vulgarité forcée et dans l'esthétique pouilleuse de fond de motel.Rob Zombie aurait pourtant pu faire de "The devil's rejects" un grand film.Mais dans la mesure ou le scénario est totalement inexistant et que le film s'amuse à aller dans les fin fonds de l'ultra-violence (viols,sexe,meurtres glauques...) sans aucune raison,il reste bien peu à sauver de ce film débile et hystérique,dont les dialogues ne se limitent tout simplement qu'à "bordel de pute de merde,je vais te tirer dans les couilles fils de putain".Sans commentaires.A part des acteurs qui ont la tête de l'emploi et qui savent crier pendant 10 minutes d'affilé sans se péter la glotte,et un effet de caméra très réussi vers les 40 minutes,ben...c'est l'enfer.
Eh ben c'était un super film, implacable du début jusqu'à la fin. Des scènes de violence graphiquements époustouflantes. Je le déconseille aux moins de 16 ans. 4/5
Film assez suprenant et qui , qui l'aurait cru , reinvente l'horreur ... Ce film fout les boules certes mais petit bemol : il n'y a pas assez de gore ! Mais mise a part cela , scenario parfait , jeu d'acteurs sompteux , que du positif ! A voir et revoir
LE chef d'œuvre de Rob Zombi (il n'a jamais fait mieux après). The Devil's Reject est un film sombre, déroutant, craspec et terriblement intelligent dans sa mise en scène. Les acteurs s'éclatent à l'écran et l'on en vient a se prendre de sympathie pour cette famille de meurtriers sans pitié. Il n'y a pas de temps mort dans The Devil's Reject, l'on en prend plein la figure du debut à la fin (quitte a être mal a l'aise). C'est une leçon de cinema comme on en a rarement vu !
Ambiance western sanglant, the Devils reject, suite indirecte a la maison des 1000 morts , amene le spectateur dans une cavale morbide, délicieuse et vraiment rythmé dans le style Rob Zombie sur une bande son aux oignons, des personnages tordants, travaillés et des répliques percutantes de grossièreté et d'humour noir.
A voir sans hésitation pour un bon moment de divertissement .
A voir sans hésitation pour un bon moment de divertissement .
Si Dahan a dit que c'est bien; alors c'est bien!!!
Mieux que house of 1000 corpses cette suite est un vrai régal de part le côté malsain de la famille les dialogues vulgaires qui font sourire et comme on pouvait le constater dans le film précédent un gros clin d'oeil à "massacre à la tronçonneuse" dont rob zombie c'est fort inspiré.
Quelque part entre Sam Peckinpah et Tobe Hooper, Rob Zombie n'a pas son pareil pour déployer un univers rempli de psychopates ! Un classique en - extrême - puissance...
Chacun sait que le néant n'est pas quelque chose facile à se figurer. Pourtant ce film d'horreur aussi poussif que dans Paris de Christophe Honoré a le mérite de nous permettre d'approfondir ce concept. Pas de peur, pas d'humour, pas de sexe. Juste une lamentable perte de temps. Meme si c'est un poil mieux que la série des Saw, ce rebus ne mérite quand meme pas une étoile ! Faut pas déconner quoi.
Tiens, un nouveau réalisateur me suis je dis, avec du gore ? Hé bien ce Rob Zombie est totalement déjanté du cerveau !!! On retrouve des morceaux de chair humaine un peu partout, ma copine a failli vomir, et il se paye le luxe de lancer des morceaux de country lors de scènes de boucheries ! mortel ! Les "goristes" seront aux anges avec ce film !
Suintant la crasse et le jus de groseille, on irait presque jusqu'à croire qu'se faire cribler de balle revient à l'orgasme suprême, c'est très fort, c'est trop long. La blondasse qu'il kiffe à la vie à la mort trémousse son corps trop plat devant les yeux tremblant de ses idiotes victimes, y'a pas de logique, juste des potes un peu barrés qui ne vivent que pour la boucherie, souriants, contents d'assouvir à loisir leur soif de carnage. Pas vraiment bien filmé, pas forcément passionnant, Rob Zombie arrive tout de même à donner vie à cette sacrée fratrie de barges, à les faire évoluer sans trop de soucis dans ce Texas pourri, aride et chiant comme la mort, y'a pas vraiment d'histoire, mais ils en ont pas vraiment besoin, comme des bêtes, ils avancent à l'instinct, sans réfléchir, chiant des cadavres sanguinolents comme certains chient du vent.
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