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AMCHI
Le grand délire est un film médiocre qui réunit un casting plutôt alléchant, l'histoire est par contre mauvaise, c'est mal racontée et filmée sans aucune énergie.
On suit des gens qui décident de monter une maison close, cela se veut peut-être provocant or le ton du film ne marche jamais (à l'exemple d'une réplique du film : "T'aurais du les laisser faire, c'est pas grave s'ils m'avaient violer. A une époque j'en rêvais."). La manière n'a rien non plus d'érotique, ou d'onirique.
Pierre Blaise (Lucien Lacombe chez Louis de Malle) poursuit de ses assiduités la pauvre Jean Seberg (le réalisateur est son 3ème époux) perdue dans ce film, l'allemand Wolfgang Preiss ne semble pas à sa place non plus. Il y a aussi une jeune Isabelle Huppert encore inconnue.
J'aime bien ce cinéma hors-norme des années 70, dans le cas présent c'est juste un film raté et sans intérêt.
On suit des gens qui décident de monter une maison close, cela se veut peut-être provocant or le ton du film ne marche jamais (à l'exemple d'une réplique du film : "T'aurais du les laisser faire, c'est pas grave s'ils m'avaient violer. A une époque j'en rêvais."). La manière n'a rien non plus d'érotique, ou d'onirique.
Pierre Blaise (Lucien Lacombe chez Louis de Malle) poursuit de ses assiduités la pauvre Jean Seberg (le réalisateur est son 3ème époux) perdue dans ce film, l'allemand Wolfgang Preiss ne semble pas à sa place non plus. Il y a aussi une jeune Isabelle Huppert encore inconnue.
J'aime bien ce cinéma hors-norme des années 70, dans le cas présent c'est juste un film raté et sans intérêt.
Un film dèlirant, presque aberrant par moments, à la Pasolini dont Dennis Berry (fils du rèalisateur John Berry et troisième mari de Jean Seberg) n'a pas à rougir de la comparaison! On est en droit de voir dans ce premier long-mètrage autre chose que de la complaisance ou de la dèpravation! L'interprètation, hallucinante, emporte l'adhèsion et n'est jamais là où on l'attend!
spoiler:
Imaginez Jean Seberg en patronne d'un bordel qui fonctionne en circuit fermè, le très regrettè Pierre Blaise, « crucifiè » par deux loubards ferrailleurs, ou la jeune Isabelle Huppert, dans le rôle d'une boniche qui se livre (bien malgrè elle) à la prostitution en donnant le biberon à un vieux client pervers!
"Le grand dèlire", rèservè à un public averti, semble avoir disparu de la circulation depuis sa sortie en 1975! A tort! Aujourd'hui encore, ce film malade reste encore profondèment marquant pour toutes ses scènes! Et le style, souvent gonflè, convient bien à cette histoire extravagante sur une France qui fait sauter les derniers tabous! Une rèèvaluation s'impose...
"Le grand dèlire", rèservè à un public averti, semble avoir disparu de la circulation depuis sa sortie en 1975! A tort! Aujourd'hui encore, ce film malade reste encore profondèment marquant pour toutes ses scènes! Et le style, souvent gonflè, convient bien à cette histoire extravagante sur une France qui fait sauter les derniers tabous! Une rèèvaluation s'impose...
Isabelle Huppert, à ses débuts, ne crève pas encore l'écran. De plus, le scénario à pleurer nous ennuie. Et le film a beaucoup vieilli.
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