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Votre avis sur Shaft, les nuits rouges de Harlem ?
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Blaxploitation très convaincante : bons acteurs (Shaft en premier), intrigue sympa, bonne photographie en plein coeur de New York et bien sûr une bonne musique (funk/soul). La chanson originale est un vrai plus, et remporte d'ailleurs l'Oscar.
C'est un des films les plus emblématiques du genre, il aura une grande influence sur le cinéma Hollywoodien par la suite.
Vu en 2024.
C'est un des films les plus emblématiques du genre, il aura une grande influence sur le cinéma Hollywoodien par la suite.
Vu en 2024.
Un bon divertissement policier, pas imaginatif, mais bien filmé, avec peu de temps mort, ce qui qui a le mérite de garder toute notre attention. Les acteurs sont impliqués même si la plupart me sont peu connus, voire pas du tout.
A voir par les amateurs de film policier qui ne recherchent pas une complexité absolue ; ici, tout est simple, coule de source et est bien expliqué.
A voir par les amateurs de film policier qui ne recherchent pas une complexité absolue ; ici, tout est simple, coule de source et est bien expliqué.
Le film culte de toute une génération. Le premier film de la Blaxpoitation qui a immortalisé à jamais la musique archi célèbre de Isaac Hayes. C'est marrant à regarder, on a l'impression de regarder un bon Starsky et Hutch. Après c'est de la série B des seventies donc c'est un peu vieillot, un peu naze parfois mais c'est fort sympathique quand même. Alors pourquoi bouder son plaisir...
Un polar phare de la blaxploitation, au charme kitch des années 70, qui vaut le coup d’œil plus pour sa tchatche et la BO culte (et oscarisée) d’Isaac Hayes, que pour son intrigue peu captivante.
Roub E.
Un film de blaxploitation, une série b d’action de fort belle facture et qui a parfaitement traversé le temps. D’abord et bien sûr il y à la fantastique musique d’Issac Hayes qui donne le ton du film à la fois urbain et cool. En parlant de cool il y a la présence de Richard Roundtree qui fait preuve d’un charisme incroyable dans son rôle d’inspecteur maîtrisant les rues de Harlem. On peut trouver une chute de tension au milieu du film mais ça reste tout de même très prenant.
Les Nuits Rouges de Harlem est un film pas mal, mais sans plus, reposant en très grande partie sur son personnage principal et son interprète.
Ce film culte de la blaxploitation (période où Hollywood a décidé d'arrêter d'utiliser des personnages de couleur comme faire-valoir en les mettant un peu plus au centre de l'affiche) fait tout de même du bien dans l'univers du cinéma de l'époque.
Richard Roundtree a un charisme de dingue qui se dégage dès le générique (et ce malgré un look qui a très mal vieilli entre l'imper, le col roulé ou la moustache à la Magnum). La chanson d'ouverture d'Isaac Hayes est très bien et donne tout de suite le style du film. D'une manière générale, la bande originale est vachement cool dans un style très jazzy, très posé. Quel dommage que l'acteur n'ait pas réussi à vraiment percé en-dehors de ce rôle. Le personnage central est ultra-classe (pas surprenant que le film ait donné à une suite plus moderne avec ni plus ni plus Samuel L. Jackson dans le rôle-titre, the king of cool lui-même).
En revanche, on peut déplorer une intrigue moyennement intéressante, qui n'est pas à la hauteur du personnage éponyme. Et il se passe très peu de chose au final. Il n'y ni vraiment d'enquête policière digne de ce nom (avec indices à récolter et mystères à élucider), ni de l'action à foison (pour un film centré sur un flic bad boy menant une véritable guérilla, on pouvait espérer des scènes de fusillade beaucoup plus sanguinaires). La dernière partie (avec l'extraction de l'otage) sauve un peu le film en offrant de l'action digne de ce nom (qui malheureusement ne dure à peine qu'une minute, voire moins). Je me serais attendu à plus d'action que ça (l'affiche et la bande-annonce en promettait davantage).
Les nuits rouges de Harlem me semble être un titre un poil exagéré (il y a à peine une nuit et elle n'est pas si rouge que ça – moins de dix morts –).
La pérennité de ce film est à mon avis plus du au fait qu'il est représentatif du mouvement cinématographique de la blaxpoitation (c'est sans doute le plus célèbre du genre) qu'à son intérêt filmique.
Ce film culte de la blaxploitation (période où Hollywood a décidé d'arrêter d'utiliser des personnages de couleur comme faire-valoir en les mettant un peu plus au centre de l'affiche) fait tout de même du bien dans l'univers du cinéma de l'époque.
Richard Roundtree a un charisme de dingue qui se dégage dès le générique (et ce malgré un look qui a très mal vieilli entre l'imper, le col roulé ou la moustache à la Magnum). La chanson d'ouverture d'Isaac Hayes est très bien et donne tout de suite le style du film. D'une manière générale, la bande originale est vachement cool dans un style très jazzy, très posé. Quel dommage que l'acteur n'ait pas réussi à vraiment percé en-dehors de ce rôle. Le personnage central est ultra-classe (pas surprenant que le film ait donné à une suite plus moderne avec ni plus ni plus Samuel L. Jackson dans le rôle-titre, the king of cool lui-même).
En revanche, on peut déplorer une intrigue moyennement intéressante, qui n'est pas à la hauteur du personnage éponyme. Et il se passe très peu de chose au final. Il n'y ni vraiment d'enquête policière digne de ce nom (avec indices à récolter et mystères à élucider), ni de l'action à foison (pour un film centré sur un flic bad boy menant une véritable guérilla, on pouvait espérer des scènes de fusillade beaucoup plus sanguinaires). La dernière partie (avec l'extraction de l'otage) sauve un peu le film en offrant de l'action digne de ce nom (qui malheureusement ne dure à peine qu'une minute, voire moins). Je me serais attendu à plus d'action que ça (l'affiche et la bande-annonce en promettait davantage).
Les nuits rouges de Harlem me semble être un titre un poil exagéré (il y a à peine une nuit et elle n'est pas si rouge que ça – moins de dix morts –).
La pérennité de ce film est à mon avis plus du au fait qu'il est représentatif du mouvement cinématographique de la blaxpoitation (c'est sans doute le plus célèbre du genre) qu'à son intérêt filmique.
C’est un de ces rares films où la musique est plus connue que l’œuvre en elle-même évidement c’est celle d’Isaac Hayes.
Sans mauvais jeu de mots il s’agit d’un roman noir dans le monde un peu glauque de Harlem, dans un New-York où le racisme ordinaire est ordinaire. John Shaft détective privé, démêle son affaire entre les mafias sur fond de Black Panthers et de policiers blancs plus ou moins véreux.
Un film qui fait partie du genre Blaxploitation qui a fleuri en ce début des années 70 Mais Hollywood a su attirer sur les mêmes films les publics noir et blanc faisant de ce genre un phénomène éphémère.
C’est un peu vieillot mais le film a su suscité en moi un charme discret, sans aucune nostalgie car le Harlem d’aujourd’hui ne mérite plus la réputation qu’il avait à cette époque et jusqu’à la fin du siècle dernier et depuis on a eu Obama.
Sans mauvais jeu de mots il s’agit d’un roman noir dans le monde un peu glauque de Harlem, dans un New-York où le racisme ordinaire est ordinaire. John Shaft détective privé, démêle son affaire entre les mafias sur fond de Black Panthers et de policiers blancs plus ou moins véreux.
Un film qui fait partie du genre Blaxploitation qui a fleuri en ce début des années 70 Mais Hollywood a su attirer sur les mêmes films les publics noir et blanc faisant de ce genre un phénomène éphémère.
C’est un peu vieillot mais le film a su suscité en moi un charme discret, sans aucune nostalgie car le Harlem d’aujourd’hui ne mérite plus la réputation qu’il avait à cette époque et jusqu’à la fin du siècle dernier et depuis on a eu Obama.
Shaft, c’est d’abord une musique, unique et intemporelle.
L’ambiance Harlem aussi qu’on ressent dès les premières images.
Enfin une bonne histoire inhabituelle où nous découvrons un peu le monde des noirs cherchant une place dans une Amérique fraîchement débarrassée de l'apartheid.
En bref, une œuvre essentielle.
L’ambiance Harlem aussi qu’on ressent dès les premières images.
Enfin une bonne histoire inhabituelle où nous découvrons un peu le monde des noirs cherchant une place dans une Amérique fraîchement débarrassée de l'apartheid.
En bref, une œuvre essentielle.
La grande force de "Shaft", c'est évidemment son exceptionnelle et mythique bande son, composée par le grand Isaac Hayes en personne et qui a valu au film d'être oscarisé. Mais le film vaut aussi le détour pour sa capacité à restituer l'ambiance du Harlem des années 1970 avec toute sa clique de personnages: la population misérable du quartier, les activistes antiracistes copiés sur les Black Panthers, la pègre noire, une police dépassée... Et surtout, le personnage de John Shaft, brillamment incarné par Richard Roundtree. Ce détective privé charismatique à la fois cool et sombre, à la répartie cinglante et au charme ravageur, pourrait représenter à lui seul tout l'esprit du cinéma black des années 1970. En dépit d'un scénario bateau, on reste captivé par ce film qui parvient à être efficace sans avoir à en faire des tonnes et qui s'impose sans mal comme l'un des plus grands films de la blackxploitation.
Sympathique mais ça a quand même assez mal vieilli. Un policier noir de nos jours ça n'est plus révolutionnaire...
Le grand classique de la blackxpotation, s'avère être une sorte de cousin black de l'inspecteur Harry ! Et finalement c'est sa musique qui restera plus mythique que le film lui même !
Xavi_de_Paris
Un poil déçu par ce film phare de la blaxpoitation, qui n'a d'autre particularité que de mettre en valeur un héros noir, chose exceptionnelle à l'époque. Sinon, on a affaire à un très classique film policier, à l'esthétique typiquement 70's, et une BO géniale et kitsch à souhait. Pas grand chose à se mettre sous la dent niveau suspense, mais on a un peu d'action, notamment sur la fin. Pas mal, sans plus.
Seule la BO du film vaut la peine. Si le NY des années 70 semble bien représenté le film a mal vieillit. Les couleurs sont fades presque autant que le film d'ailleurs! Cela ressemble désormais à une série B de second choix. Le scénario flou n'inspire pas non plus. A regarder pour la musique uniquement.
C'est bien sur la musique qui à fait le succès de ce film qui a bien mal vieilli .
C'est mal joué, c'est lent, c'est mou, et le scénario tient sur un ticket de métro... Heureusement il y a la musique et des images de New-York intéressantes d'un point de vue documentaire. C'est peu pour un film où on peut s'ennuyer ferme..
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