Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Libération
par Stéphane PIATZSZEK
premier film cahoteux et inconfortable mais de tempérament original et charmant. On pourrait juger sa mission impossible : Joyce est réputé illisible aussi bien qu'inadaptable. Bloom échappe à cette fatalité en choisissant de ne pas adapter Ulysse de front, ni de travers. Il l'évoque. Et lui fait les poches. Il l'habite épisodiquement, profite de ses situations et lui marche parfois sur les pieds. Mais Bloom atteint aussi la consistance d'une petite peinture originale et turbulente, éperdument éprise de son modèle.
Paris Match
par Christine Haas
Sean Walsh (...) donne vie au déroulemennt de la pensée informelle et met en images les ruses de l'écrivain. Tout en suivant le fil du monologue intérieur, il privilégie ce qu'il y ade plus accessible à nos émotions. Les appels de mémoire et les associations d'idées s'incarnent magnifiquement.
aVoir-aLire.com
par Sophie Lecerf
Avec Bloom, Sean Walsh réussit le coup de force improbable de parvenir à porter le vertigineux Ulysse sur grand écran. (...) Bloom est fidèle à Ulysse car il est moderne et universel. Les lecteurs de Joyce regretteront certainement que le parallèle homérique n'apparaisse que de façon anecdotique ou que le film ignore en grande partie les questions politiques. Le spectateur aura tout le temps de s'y intéresser car Bloom l'incitera sans aucun doute à se replonger dans Joyce.
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Transposer l'Ulysse de James Joyce au cinéma est un audacieux pari que Sean Walsh relève en se fourrant le doigt dans l'oeil. Le problème majeur des adaptations de grands textes littéraires est la disparition du texte à l'écran, la dissolution de la trame verbale. (...) Le résultat est honorable, mais peu convaincant.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par La Rédaction
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
MCinéma.com
par Franz Miceli
Si certaines séquences pourront effectivement éveiller la curiosité du spectateur dit néophyte, passer deux heures assis dans une salle de cinéma sans connaître l'univers " joycien " relève de la gageure. En cela, le réalisateur a raté sa cible. Son film est plutôt réussi, mais il ne permet pas au grand public de découvrir " Ulysse ". Achetez d'abord le livre puis allez voir BLOOM.
Positif
par Eithne O'Neill
Le résultat du film de Walsh est une série de tableaux, écho d'une pièce radiophonique, illustrations d'extraits de livre que le lecteur reconnait un certain plaisir.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Score
par Marco Ramius
Sean Walsh adapte Ulysse (...). Si la fidélité au texte est bien là -un peu trop même, tant on a l'impression qu'on nous lit le bouqin à voix haute- le film souffre d'un excès d'académisme qui nuit à son propos. Dommage, les acteurs étant prodigieux.
La critique complète est disponible sur le site Score
Télérama
par François Gorin
Ulysse est une odyssée du langage. Sa richesse narrative est un leurre absolu. Sean Walsh colle ce qu'il peut par-dessus : de l'image, de la musique. L'image illustre (en pure perte) et la (mauvaise) musique redonde, le texte ayant la sienne, ô combien. Plutôt relire le très long chant joycien que rester les bras ballants devant ce produit dérivé.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Inutile de gloser bien longtemps sur l'évidente faiblesse de la mise en scène, qui de tant d'abnégation qu'elle voudrait insouciance, ne donne qu'une image éparpillée, sans magie ni puissance, de la sève des monologues intérieurs joyciens. Rendu riquiqui de l'écriture, of course.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Laurence Liban
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Maurice Ulrich
Échouage. En mettant en images Ulysse, de James Joyce, le réalisateur Sean Walsh est resté impuissant à en rendre la profondeur et la vérité.
Les Inrockuptibles
par La rédaction
Une adaptation d'Ulysse, chef d'oeuvre de Joyce, au format télé. Ecran plat. Le projet est si dépourvu d'ambition artistique qu'on ne sait plus si l'on doit crier à l'attentat ou penser aux scolaires à qui il évitera l'achat d'un énième "profil d'une oeuvre".
Ouest France
par La rédaction
Ce monument de la littérature mondiale est intraduisible. Démonstration en est faite ici, il n'est pas davantage transposable à l'écran. Ennui, perplexité, incompréhension. Ratage, quoi.
Première
par Gaël Golhen
Tétanisé par le respect, Bloom ressemble à ces téléfilms institutionnels, lisses et propres, qui ne laissent rien dépasser. L'exact inverse du livre, en somme.
Studio Magazine
par Sophie Benamon
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télé 7 Jours
par Gérard Lenne
Sean Walsh nous propose cette nouvelle version d'Ulysse. Semblant ignorer la belle adaptation de Joseph Strick, il y substitue une illustration clinquante de l'aventure de Leopold Bloom (...). Il réussit en tout cas un tour de force: filmer les vertiges et les délires de telle façon qu'ils en deviennent fades et ennuyeux.
TéléCinéObs
par Bijan Anquetil
(...) Bloom n'est rien d'autre qu'une interminable rumination verbeuse (...) sans la moindre cohérence, plaquée sur des images tout aussi assommantes de prétention.
Zurban
par Eric Quéméré
On ne sait ce qui, du scénario, de l'interprétation ou de la mise en scène, pèse ici le plus lourd. Offrez-vous plutôt l'édition de poche.
Libération
premier film cahoteux et inconfortable mais de tempérament original et charmant. On pourrait juger sa mission impossible : Joyce est réputé illisible aussi bien qu'inadaptable. Bloom échappe à cette fatalité en choisissant de ne pas adapter Ulysse de front, ni de travers. Il l'évoque. Et lui fait les poches. Il l'habite épisodiquement, profite de ses situations et lui marche parfois sur les pieds. Mais Bloom atteint aussi la consistance d'une petite peinture originale et turbulente, éperdument éprise de son modèle.
Paris Match
Sean Walsh (...) donne vie au déroulemennt de la pensée informelle et met en images les ruses de l'écrivain. Tout en suivant le fil du monologue intérieur, il privilégie ce qu'il y ade plus accessible à nos émotions. Les appels de mémoire et les associations d'idées s'incarnent magnifiquement.
aVoir-aLire.com
Avec Bloom, Sean Walsh réussit le coup de force improbable de parvenir à porter le vertigineux Ulysse sur grand écran. (...) Bloom est fidèle à Ulysse car il est moderne et universel. Les lecteurs de Joyce regretteront certainement que le parallèle homérique n'apparaisse que de façon anecdotique ou que le film ignore en grande partie les questions politiques. Le spectateur aura tout le temps de s'y intéresser car Bloom l'incitera sans aucun doute à se replonger dans Joyce.
Le Monde
Transposer l'Ulysse de James Joyce au cinéma est un audacieux pari que Sean Walsh relève en se fourrant le doigt dans l'oeil. Le problème majeur des adaptations de grands textes littéraires est la disparition du texte à l'écran, la dissolution de la trame verbale. (...) Le résultat est honorable, mais peu convaincant.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
MCinéma.com
Si certaines séquences pourront effectivement éveiller la curiosité du spectateur dit néophyte, passer deux heures assis dans une salle de cinéma sans connaître l'univers " joycien " relève de la gageure. En cela, le réalisateur a raté sa cible. Son film est plutôt réussi, mais il ne permet pas au grand public de découvrir " Ulysse ". Achetez d'abord le livre puis allez voir BLOOM.
Positif
Le résultat du film de Walsh est une série de tableaux, écho d'une pièce radiophonique, illustrations d'extraits de livre que le lecteur reconnait un certain plaisir.
Score
Sean Walsh adapte Ulysse (...). Si la fidélité au texte est bien là -un peu trop même, tant on a l'impression qu'on nous lit le bouqin à voix haute- le film souffre d'un excès d'académisme qui nuit à son propos. Dommage, les acteurs étant prodigieux.
Télérama
Ulysse est une odyssée du langage. Sa richesse narrative est un leurre absolu. Sean Walsh colle ce qu'il peut par-dessus : de l'image, de la musique. L'image illustre (en pure perte) et la (mauvaise) musique redonde, le texte ayant la sienne, ô combien. Plutôt relire le très long chant joycien que rester les bras ballants devant ce produit dérivé.
Chronic'art.com
Inutile de gloser bien longtemps sur l'évidente faiblesse de la mise en scène, qui de tant d'abnégation qu'elle voudrait insouciance, ne donne qu'une image éparpillée, sans magie ni puissance, de la sève des monologues intérieurs joyciens. Rendu riquiqui de l'écriture, of course.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Échouage. En mettant en images Ulysse, de James Joyce, le réalisateur Sean Walsh est resté impuissant à en rendre la profondeur et la vérité.
Les Inrockuptibles
Une adaptation d'Ulysse, chef d'oeuvre de Joyce, au format télé. Ecran plat. Le projet est si dépourvu d'ambition artistique qu'on ne sait plus si l'on doit crier à l'attentat ou penser aux scolaires à qui il évitera l'achat d'un énième "profil d'une oeuvre".
Ouest France
Ce monument de la littérature mondiale est intraduisible. Démonstration en est faite ici, il n'est pas davantage transposable à l'écran. Ennui, perplexité, incompréhension. Ratage, quoi.
Première
Tétanisé par le respect, Bloom ressemble à ces téléfilms institutionnels, lisses et propres, qui ne laissent rien dépasser. L'exact inverse du livre, en somme.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télé 7 Jours
Sean Walsh nous propose cette nouvelle version d'Ulysse. Semblant ignorer la belle adaptation de Joseph Strick, il y substitue une illustration clinquante de l'aventure de Leopold Bloom (...). Il réussit en tout cas un tour de force: filmer les vertiges et les délires de telle façon qu'ils en deviennent fades et ennuyeux.
TéléCinéObs
(...) Bloom n'est rien d'autre qu'une interminable rumination verbeuse (...) sans la moindre cohérence, plaquée sur des images tout aussi assommantes de prétention.
Zurban
On ne sait ce qui, du scénario, de l'interprétation ou de la mise en scène, pèse ici le plus lourd. Offrez-vous plutôt l'édition de poche.