Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Le Figaro
par Brigitte Baudin
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Libération
par Anne DIATKINE
La Ravisseuse cache sa violence sous une narration classique et la douceur d'un éclairage somptueux, comme à la bougie (...) portée par Isild Le Besco, qui prête à la nourrice une douceur agressive (...)
Zurban
par Véronique Le Bris
(...) Antoine Santana a choisi de laisser filer une sensibilité sans limites. Tant mieux, car ses acteurs sont à l'unisson et donnent à ce drame de l'intime une puissance sensitive assez rare au cinéma.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
(...) Antoine Santana (...) nous livre une deuxième oeuvre fort consistante. Petit par son budget, grand par ses idées et le talent qu'on y déploie, La ravisseuse est le film parfait pour aborder intelligemment cette rentrée cinématographique, après deux mois de nanars estivaux.
Brazil
par Eric Coubard
Le film d'Antoine Santana n'en est pas moins intéressant, mais manque sérieusement de profondeur.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Brazil
par Alex Masson
Antoine Santana est un cinéaste ambitieux : sujet pas courant (...), volonté de stylisation de la mise en scène. On pourrait presque pardonner un scénario trop en dents de scie ou que le film s'écarte souvent d'un plaisant profil bas pour des scènes oniriques frisant le grotesque.
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Express
par Laurence Liban
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
par Thomas Sotinel
C'est par sa méthode, plus encore que par son thème, que La Ravisseuse se distingue du tout-venant de la production française. Cette singularité (...) ne suffit pas à le sauver des écueils qui guettent ceux qui aspirent à mêler pédagogie et fiction (...)
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
MCinéma.com
par Guillaume Tion
Antoine Santana réalise un deuxième film original, (...) Emilie Dequenne et Isild Le Besco sont formidables, aidées de seconds rôles parfaits (...). Le problème majeur réside dans le titre du film. D'emblée, les jeux sont faits. Dommage.
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
Sans doute, l'un des principaux problèmes du deuxième long-métrage d'Antoine Santana est de ne pas jouer franc-jeu en la matière et d'avancer couvert d'une histoire dont on se fiche éperdument. La Ravisseuse est à l'image de son titre, précieux et poseur.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par La rédaction
Des dialogues entre cliché et caricature dans l'affrontement de classes, une emphase théâtrale dans le jeu des comédiens (...) et une mise en scène des plus académiques, qui s'offre à travers les visions et les fantasmes d'Angèle-Marie et de Julien la fantaisie d'échappées fantastiques un peu ridicules.
Positif
par Dominique Martinez
Malheureusement, le scénario trop prévisible et la mise en scène académique ne permettent pas au film de se libérer du cadre historique. (...)
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Christophe Narbonne
Manichéen, Santana oppose sans nuances le pragmatisme bourgeois à l'instinct prolétaire et, prévisible, sacrifie volontiers l'ambiguité au pathos. Défauts légèrement compensés par une indiscutable maîtrise plastique. Bref, une jolie coquille vide.
La critique complète est disponible sur le site Première
Score
par Alex Masson
Des scènes ultra ampoulées et un casting hasardeux (...) rapprochent définitivement plus La Ravisseuse d'une saga pour France 3 Picardie que du grand film en costumes espéré. Tant pis pour un scénario, lui, irréprochable.
La critique complète est disponible sur le site Score
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Gilles Verdiani
Le choix d'une esthétique aussi séduisante pour dépeindre l'inhumanité absolue de cette époque peut passer pour une ambiguïté intéressante. Ou pour un contresens.
Télérama
par Jean-Claude Loiseau
Du face-à-face entre Isild Le Besco et Emilie Dequenne, on attendait plus d'étincelles. La vivacité n'y est que par éclairs, comme autant d'écarts fortuits dans un exposé monotone.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Libération
La Ravisseuse cache sa violence sous une narration classique et la douceur d'un éclairage somptueux, comme à la bougie (...) portée par Isild Le Besco, qui prête à la nourrice une douceur agressive (...)
Zurban
(...) Antoine Santana a choisi de laisser filer une sensibilité sans limites. Tant mieux, car ses acteurs sont à l'unisson et donnent à ce drame de l'intime une puissance sensitive assez rare au cinéma.
aVoir-aLire.com
(...) Antoine Santana (...) nous livre une deuxième oeuvre fort consistante. Petit par son budget, grand par ses idées et le talent qu'on y déploie, La ravisseuse est le film parfait pour aborder intelligemment cette rentrée cinématographique, après deux mois de nanars estivaux.
Brazil
Le film d'Antoine Santana n'en est pas moins intéressant, mais manque sérieusement de profondeur.
Brazil
Antoine Santana est un cinéaste ambitieux : sujet pas courant (...), volonté de stylisation de la mise en scène. On pourrait presque pardonner un scénario trop en dents de scie ou que le film s'écarte souvent d'un plaisant profil bas pour des scènes oniriques frisant le grotesque.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
C'est par sa méthode, plus encore que par son thème, que La Ravisseuse se distingue du tout-venant de la production française. Cette singularité (...) ne suffit pas à le sauver des écueils qui guettent ceux qui aspirent à mêler pédagogie et fiction (...)
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
MCinéma.com
Antoine Santana réalise un deuxième film original, (...) Emilie Dequenne et Isild Le Besco sont formidables, aidées de seconds rôles parfaits (...). Le problème majeur réside dans le titre du film. D'emblée, les jeux sont faits. Dommage.
Les Inrockuptibles
Sans doute, l'un des principaux problèmes du deuxième long-métrage d'Antoine Santana est de ne pas jouer franc-jeu en la matière et d'avancer couvert d'une histoire dont on se fiche éperdument. La Ravisseuse est à l'image de son titre, précieux et poseur.
Ouest France
Des dialogues entre cliché et caricature dans l'affrontement de classes, une emphase théâtrale dans le jeu des comédiens (...) et une mise en scène des plus académiques, qui s'offre à travers les visions et les fantasmes d'Angèle-Marie et de Julien la fantaisie d'échappées fantastiques un peu ridicules.
Positif
Malheureusement, le scénario trop prévisible et la mise en scène académique ne permettent pas au film de se libérer du cadre historique. (...)
Première
Manichéen, Santana oppose sans nuances le pragmatisme bourgeois à l'instinct prolétaire et, prévisible, sacrifie volontiers l'ambiguité au pathos. Défauts légèrement compensés par une indiscutable maîtrise plastique. Bref, une jolie coquille vide.
Score
Des scènes ultra ampoulées et un casting hasardeux (...) rapprochent définitivement plus La Ravisseuse d'une saga pour France 3 Picardie que du grand film en costumes espéré. Tant pis pour un scénario, lui, irréprochable.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Le choix d'une esthétique aussi séduisante pour dépeindre l'inhumanité absolue de cette époque peut passer pour une ambiguïté intéressante. Ou pour un contresens.
Télérama
Du face-à-face entre Isild Le Besco et Emilie Dequenne, on attendait plus d'étincelles. La vivacité n'y est que par éclairs, comme autant d'écarts fortuits dans un exposé monotone.