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Nicolas N.
30 abonnés
748 critiques
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3,0
Publiée le 19 mai 2022
J'ai trouvé le film pas mal, Benoit Magimel joue son jeu comme il doit le faire et sait le faire... Gilbert Melki est pas mauvais et fidèle a son role de bourgeois, ou malhonnête. J'ai aimé le scenario qui changeais, parfois le film a l'air juste d'une série B mais c'est pas. dérangeant.
Prétentieux dans son style et surtout à travers l'image que laisse ressortir son personnage interprété par un plutôt mauvais Benoît Magimel, L'Avocat ne s'avère pas plus pertinent que Commis d'office de Hannelore Cayre, laissant son spectateur avec une sorte de déception, celle d'avoir assister à une histoire qui certes tient un bon rythme, mais n'apparaît en rien originale ou pertinente.
Au pays du convenu, le médiocre est roi. Tel est le sentiment que peut légitimement ressentir le spectateur au sortir de ce film. Benoît Magimel réalise certes, comme à son habitude, une prouesse d'acteur, mais il évolue dans un univers sans surprise, sans frisson, sans saveur. Commencer par la fin, une habitude peut-être trop souvent prise dans le cinéma, du moins prise à tort et à travers, "L'avocat" en est l'illustration. Le grand flashback auquel on assiste n'a pas grand intérêt, si ce n'est de ressasser un discours bien populiste : "Tous des pourris". Franchement, j'aurais vu un documentaire sur la reproduction des pandas en Chine occidentale, j'aurais eu les mêmes émotions, i.e. pas grand chose.
lL'avocat est un film noir bien réalisé et très efficace. Une plaidoirie qui fait mouche pour ce polar français de bonne qualité. Il mérite d'être vu... enfin c'est la sentence!
"L'avocat" (2011) la trois (RTBF) le 13.01.2016 Ce film n'a qu'un grave défaut : Magimel qui n'arrive pas, en tant que comédien, a occuper l'écran comme le fait Melki, dont le rôle semble fait sur mesure pour ce dernier déjà rompu à ce genre de rôle qu'il réussit fort bien. L'histoire aurait pu être excellente si Cédric Auger s'était contenté d'assumer la réalisation : hélas, il a voulu se mêler du scénario fait de bouts de chandelles et ce n'est ni crédible, ni cohérent. C'était chronique d'un bide annoncé et ça n'a même pas fait sourire de "vrais" avocats ! Ceci dit, tout est relatif et c'est bien meilleur que beaucoup de nanars américains produits par centaines de kilomètres sur le même moule. A voir, si vous n'êtes pas trop difficile, et ne travaillez pas au barreau ! willycopresto
Un film sans grand intérêt, sans grande originalité non plus, avec notamment Gilbert Melki, dans un énième rôle de mafieux plus ou moins crédible... Seule Aissa Maïga, dans un rôle secondaire, apporte une petite touche émouvante...
Quand un jeune avocat ambitieux se laisse séduire par l’argent facile que rapporte la défense des maffieux, il s’expose à de graves ennuis. Cette histoire sans grande originalité ressemble à s’y méprendre à un roman raté de John Grisham. Cédric Anger sauve pourtant les meubles avec une réalisation plutôt enlevée qui maintient le suspense en dépit d’une fin prévisible. Si Gilbert Melki campe un méchant des plus crédibles, Benoît Magimel manque d’abattage aux côtés de la belle et séduisante Aïssa Maïga, sous-employée dans un rôle de potiche indigne d’elle. Au final, un divertissement agréable mais qu’on oubliera bien vite.
Cedric Anger avait montré un talent prometteur avec "Le tueur" en 2008 où il entamait ce qui semble être un compagnonnage avec Gilbert Melki. Son deuxième opus s'attaque au concept plus classique de la descente aux enfers de l'homme de loi qui sacrifie ses talents en s'accoquinant avec la pègre. Le thème a souvent été traité par le cinéma américain que ce soit par Nicholas Ray dans "Traquenard" (1958) ou plus récemment par Sydney Pollack dans "La firme" (1983) . Le plus souvent la corruption des hommes de loi est le développement secondaire d'une intrigue principale sur le milieu. Avec de tels choix scénaristiques, pour peu que les acteurs soient au rendez-vous, Cedric Anger est sûr de ne pas perdre en efficacité ce qu'il sacrifie à l'originalité. Il est toujours fascinant de voir un homme pris dans un engrenage fatal car l'identification du spectateur au héros s'opère sans problème. Anger semble vouloir prendre la place des faiseurs des années 70 comme Lautner ou Deray qui réalisaient des polars efficaces. On ne s'en plaindra pas.
Cédric Anger signe son deuxième long métrage. Il choisit de nous raconter l'histoire d'un jeune et ambitieux avocat d'affaires tout juste diplômé. L'ascension rapide de cet avocat qui se retrouve à défendre un patron mafieux. Il se retrouve pris entre le pouvoir, l'argent et sa moralité. Très attiré par la célébrité et l'argent, il ferme les yeux sur les agissements de son client. Pris dans cet engrenage, il commence à douter et à avoir peur. Après de longs moments d'interrogation, il décide de réagir. Mais ce n'est pas facile de trahir son client aussi "pourri" qu'il soit, il en va de sa vie et de l'image de son métier.
Benoit Magimel s'en sort plutôt bien dans ce rôle d'avocat, son épouse, Aïssa Maïga a un rôle secondaire, fade. Aucune surprise dans le jeu de Gilbert Melki, il est comme on l'aime.
La voix off, celle de l'avocat, nous suit pendant tout le film. L'avocat reste un film "correct" mais sans surprise, bourré de clichés et des scènes un peu abracadabrantes et la naïveté de l'avocat ! On devine aisément la tournure des évènements, et la fin du film.
ni bon, ni mauvais, l'avocat fera un bon film sur le petit écran, un polar du dimanche soir ...
Ce film est une bonne grosse daube l'histoire est cousue de fil blanc les acteurs joues mal pauvre benoit et Gilbert qu'êtes vous venu faire dans cette galère on sais tout à l'avance trop prévisible et ce genre d'histoire a déjà été fait part d'autres en mieux reste de beaux paysages et de belles demeures comme on dit chacuns ses goùts
Mais que c'est mal joué, peu crédible... Ca sent le film fait à la va vite... Dommage car c'est le genre d'histoire qui aurait pu donner quelque chose d'intéressant...
Gilbert Melki aussi convaincant qu'en Patrick Abitbol (le rôle lui colle à merveille), Benoît Magimel arbore sa toque intelligemment devant la caméra d'un Cédric Angers qui n'en est pas à son coup d'essai ! Cette histoire mafieuse qui va détraquer l'homme de loi déroute de son scénario sur la fin mais on en sort satisfait.
C'est mou, inintéressant et déjà vu.Il y a un manque de profondeur évident, et une sacrée pauvreté d'interprétations, le sommet étant atteint par Gilbert Melki, roi de la caricature mafieuse. Indéfendable!