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    The King of New York
    Note moyenne
    3,5
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    171 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Une envoûtante partie d’échecs sur fond de rap !! Sur un film de genre à la trame plutôt mince, Ferrara réalise une fois de plus un film TOTALEMENT CAPTIVANT. Avec toute l'esthétique du film Noir, la métaphore du jeu d’échecs donne à la trame un relief particulier et au film une rare intensité dramatique. Christopher Walken, dandy fascinant, troublant, irrésistible, est un Roi Noir inoubliable (ironiquement, son nom est Franck White juste pour nous rappeler que les choses ne sont pas aussi manichéennes qu’il y paraît). Il serait trop long de détailler toutes les finesses que le film doit à la rare épaisseur donnée à chacun des personnages, même les plus secondaires, portés par un parfait casting… Une armée de Fous et de Cavaliers (cf les personnages nommés Bishop et Jump) forment une suite royale de voyous classieux aux poses de rappeurs, avec en puissante Reine noire, une élégante avocate prompte à remettre les pions dans le jeu quand les flics White Trash tentent de les évincer. De même, la “banale“ scène d’otage dans le métro prend une autre profondeur une fois lue comme un mouvement d’échec. Si le film éblouit et nous ravit, c’est par sa subtilité et son jeu permanent avec les scènes de genre dont Ferrara prend habilement le contre-pied, réussissant à nous donner des scènes d’anthologie. La dernière séquence, d’une lenteur fascinante (et qui nous rappelle la fin solitaire et anonyme du Bad Lieutenant), est absolument magnifique… Une montée de caméra nous offre une vue plongeante sur les cases d’échiquier que forment d’innombrables voitures à l’arrêt. Parmi elles, un Roi seul et vulnérable attend, l’arme au poing, anticipant une fin inéluctable. Resté maître de la partie, un roi exsangue s’incline. Vive le Roi !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 24 août 2008
    Un thriller haut de gamme. Christopher Walken est plus convaincant que jamais. Très audacieux.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 1 octobre 2008
    Le personnage interprété par Christopher Walken sort tout juste de prison. New-York, c’est (ou plutôt c’était) son territoire à lui. Lui seul en était le gérant et assurait la tranquillité au sein de la maffia de la ville. Mais c’est que depuis son emprisonnement, la donne a changé : des tas de petits groupes de trafiquants de toutes sortes se sont arrachés comme des vautours les morceaux de la ville et se livrent des guerres constantes les uns contre les autres. Christopher Walken est bien décidé à redevenir le seul et unique « King Of New-York ». Commence alors une purge et petit à petit, mais de manière pour le moins sanglante, Walken réorganise la pègre de la ville. Mais – aussi insensible soit-il à exécuter des gangs rivaux – il décide aussi de construire un hôpital qui soignerait les pauvres du quartier. Le personnage joué par Walken (visage émacié, teint blême, tout impose le respect chez cet acteur) est un visionnaire. Mais ne serait-ce pas là une occasion pour lui aussi (on rejoint le thème de « Bad Lieutenant ») de se racheter de tous ses crimes et péchés ? Abel Ferrara, qui signe ici un autre chef-d’œuvre, met en scène à nouveau le chaos, celui d’une ville – New-York – et celui d’un personnage. Christopher Walken est impressionnant dans son rôle de « justicier » qui veut laver la ville à sa manière des pourritures qui l’empoisonne. Mais où se situe-t-il lui-même entre le bien et le mal ? De plus, le rachat de ses fautes, certes, mais comment ? Ces questions hantent le réalisateur qui dans ces deux bijoux associe le destin d’un personnage à celui d’une ville.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 5 février 2012
    vu ce jour, réel bohneur d'un VRAI film d'action comme on en voit peu. Pas de super héro, que des hommes ordinaires, pas d'effets spéciaux à tout va mais on se laisse prendre au jeu du début à la fin et l'on a du mal a se mettre dans l'un des deux camps
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 11 novembre 2008
    Film CUlte!!Avec des acteurs incroyables ( Caruso,Snipes...)mais c'est surtout Walken qui interprète parfaitement FRank White, gangster idéaliste qui tue des gens sans scrupules et qui reve de construire un hopital dans son quartier!Fishburne particulièrement convaincant dans le role de Jimmy jump personnage complétement déjanté!ferrara nous livre un film trés sombre et violent.a voir absolument
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 15 janvier 2007
    A l'image du rêve cousu par le fil de l'ambition, un Homme se meure à la recherche d'un idéal pour se racheté du morceau délabré de sa perdition.
    Ce film est d'une beauté incroyable, la lumiére et la mise en scéne sont plus qu'exemplaire. L'interprétation est énorme; tout en retenue, Walken distille avec une subtilité qui n'appartient qu'au plus grand une réelle dimension tragédienne, partagé entre l'honneur et la rédemption.
    Tout dans ce film reléve d'une réelle maitrise autant au niveau du propos que de la technique (Les plans de New York sont absolument sublime...).
    Ferrara encore une fois frappe fort là ou ca fait mal vis a vis de la société amériquaine en général; plus qu'un film, les images dessinent le contour d'un crépuscule autant qu'elles tissent une réalité collective...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 17 mai 2008
    Premiere scene du film: un prisonnier vu de derriere, est appele. Il s arrete pile devans la camera. Nous reconnaissons le visage de l acteur: Christopher Walken, imperial dans ce role psycholigiquement inssaisissable. Oui car le Franck White de l acteur est tellement bien joue qu il en devient ainsi un homme aux 1000 visages: Walken est capable de rire, de danser, de s amuser tout en gardant cet air melancolique et desabuse qui caracterise le personnage : un roi sans heritier, qui sent sa fin proche et qui essaie donc d accomplir un maximum de bonnes choses. Sauf que voila, il est entoure d un monde plein de non. Non quand il demande des services a ces rivaux. Apres les avoir tout simplement elimines, il se rend compte qu une autre bande rivale, bien plus feroce celle ci, l empeche de trouver la redemption: les flics. Et quelle bande de flics!
    Mais la plus grande qualite du King of New York est sans doute le fait que le scenario et les personnages soient au premiers abbords on ne peut plus simples. En effet tous les stereotypes sont la:
    le gangster sorti de prison, les flics bruteax et violents d un cote et moralisateur de l autre, la chute innevitable du heros, etc. Mais tous ces cliches deviennent sous l emprise d un scenario etudie deviennent peu a peu des cas a part dans l histoire du cinema: les flics sont plus sauvages que les gangsters, le gangster quand a lui ne sait finalement pas ce qu il veut et sa chute en devient terrible car, des deux cotes de la loi, tout le monde meurt. Et la faute est finalement partagee, le Bien et le Mal n existent plus, il n y a plus de frontiere, plus de redemption plus rien en somme. Plus rien sauf ce film aux 10 dernieres minutes d une incroyable beautees. En effet, elles sont ponctuees d images d une poesie... indefinissable!
    Ou comment faire tout avec rien.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 14 avril 2012
    Culte. Rien de plus.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 27 janvier 2013
    Le chef d'oeuvre de Ferrara avec bad lieutnant,film de mafia,genre dont scorcese est le maitre,d'ailleur ferrara qu'on a mainte fois comparé a scorcese(l'ange de la vengeance,driller killer ressemble a taxie driver,le bad guy de new york 2H du matin ressemble a travis bickle,héros de taxi driver,la rue,la religion chrétienne,les personnages solitaire,purificateur,en quete de rédemption,bref les meme obssession que scorcese,quand on regarde bad lieutnant,dure de ne pas penser a scorcese,mais Ferrara a son propre style,plus baroque(je trouve scorcese trop classique)plus trash,comparaison qu'on va continuer puisque la meme année sort leur premier film de gangster,considéré comme des pilier dans leur filmo,depuis scorcese et considéré comme le maitre du genre;respectivement les affranchis de scorcese et king of new york de ferrara;leur deux point commun,histoire de gang,et sa parle d'assencion,mais avec king of new york on est loin de l'ambiance jazzy et rock et des personnages en costume trois pièce des affranchis,Ferrara nous raconte l'histoire d'un gangster fictif,qui cherche a faire le bien,en éliminant tous les autres gang rival,qu'il considère comme impure,dans king of new york ces l'ambiance hip hop rap poisseux du debut des année 90,entre les diné ou mariage mondain ou se mele mafieux et avocat,minable et haute société censé représenté la justice,flic;et la rue salle et pauvre,ses metro,la rue et la misère humaine,king of new york c'est un film de guerre de gang,gang constitué du personnage central principalement de black,taré(génial laurence fishburne en gangster hystérique)et d'avocate sexy,contre ce de china town,les chinois et les italiens;autant les mec que les femmes sexy se troue la peau entre eux,c'est génial,meme les flic s'infiltre en gang,les flic surtout,les deuxième personnages principaux,qui se prenne pour des héros et des dur mais qui ce révèle bien faible et minable,frimeur,homosexuelle refoulé qui cache ça sous une fausse virilité,ils finiront tous tué en se prenant pour des justiciés,génial ambiance,génial annalyse des personnages et des classes social,et de grand moment(le générique dans la rue sous l'oeil médusé de frank white accompagné par la musique du compositeur attitré de ferrara,mélangé a du rap de la rue,fusillade sur fond de rap dans un repaire,laurence fishburne qui shoot comme un malade en bagnole avec toit ouvrant sur la bagnole adverse,laurence fishburne complètement fou gisant sur le sol après s'etre pris trois balle,avant d'etre achevé,le flic viril qui se révèle homosexuel ect...)Exellent Walken,Fichburn,Caruso et Argo.VO OBLIGATOIRE.
    david di angelli david di angelli
    david di angelli david di angelli

    10 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 août 2020
    Magistral de bout en bout, ce chef d'œuvre d'Abel Ferrara reste un incontournable tant par l'immersion totale dans le monde de la maffia à laquelle il nous invite que par l'immense performance de Christopher Walken.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 24 juillet 2016
    Moins émouvant et plus impitoyable que Bad Lieutenant, The King of New York n'en demeure pas moins culte. Abel Ferrara offre à Christopher Walken l'un de ses plus beaux rôles : Frank White, véritable tête brulée, personnage à la philosophie tordue mais d'une intégrité toute particulière
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