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Un visiteur
5,0
Publiée le 17 août 2008
Le meilleur film de gangsters que j'ai vu. On s'ennuie pas, des répliques cultes, des scènes cultes, plein de stars dans ce film. C'est un vrai chef-d'oeuvre. Christopher Walken est génial malgré son doublage VF pourri.
Dans The King of New York, tous les éléments pour un bon film de gangsters sont là : action, règlements de compte, un New York très (très très) sombre, de la drogue, de l'alcool etc... Le scénario n'étant pas particulièrement novateur, le manque d'originalité est rapidement caché par l'ambiance "Abel Ferraresque" et par ce curieux personnage tant bien violent que généreux incarné magistralement par Christopher Walken... L'excellent choix des acteurs et l'esthétisme omniprésent font de ce film une très belle œuvre qui laisse tout de même un peu sur sa faim, comme Abel Ferrara en donnera l'habitude.
Un film qui côtoie le cultissime comme le grand n'importe quoi. Ca en fait un film explosif et compliqué a saisir. Ce malfaiteur qui reve de fonder un hopital et qui emploi les grands moyen pour ca. Un fikm a voir absolument.
Un film assez classique au final, même au niveau de l'esthétique qui fait très années 80. L'énergie et la violence sont de la partie. Christopher Walken est comme d'habitude impressionnant dans le rôle du caid. Ce qui compense les prestations de cabotinage de la plupart des autres acteurs (peut être est-ce dû à des personnages caricaturaux et à des situations dignes de série B ???).
Juste avant de réaliser Bad Lieutenant (1993), Abel Ferrara s’était attelé à la réalisation d’une thriller sombre très violent. L’histoire d’un pionnier dans l’univers mafieux de New York, où lorsqu’il sort de prison, choisit de « se ranger » du business, de laisser une bonne image de lui avant de quitter son poste, (construire un hôpital, par exemple). Mais la police voit tout cela d’un très mauvais œil et va se charger de lui faire regretter son règne sur la ville. The King of New York (1990) réunie une très belle brochette de stars avec dans le rôle titre : Christopher Walken, parfait dans ce rôle de truand, aux côtés de Laurence Fishburne, David Caruso, Paul Calderon, Wesley Snipes & Steve Buscemi. Une réalisation âpre, prenante où le réalisateur excelle une fois de plus !
Premiere scene du film: un prisonnier vu de derriere, est appele. Il s arrete pile devans la camera. Nous reconnaissons le visage de l acteur: Christopher Walken, imperial dans ce role psycholigiquement inssaisissable. Oui car le Franck White de l acteur est tellement bien joue qu il en devient ainsi un homme aux 1000 visages: Walken est capable de rire, de danser, de s amuser tout en gardant cet air melancolique et desabuse qui caracterise le personnage : un roi sans heritier, qui sent sa fin proche et qui essaie donc d accomplir un maximum de bonnes choses. Sauf que voila, il est entoure d un monde plein de non. Non quand il demande des services a ces rivaux. Apres les avoir tout simplement elimines, il se rend compte qu une autre bande rivale, bien plus feroce celle ci, l empeche de trouver la redemption: les flics. Et quelle bande de flics! Mais la plus grande qualite du King of New York est sans doute le fait que le scenario et les personnages soient au premiers abbords on ne peut plus simples. En effet tous les stereotypes sont la: le gangster sorti de prison, les flics bruteax et violents d un cote et moralisateur de l autre, la chute innevitable du heros, etc. Mais tous ces cliches deviennent sous l emprise d un scenario etudie deviennent peu a peu des cas a part dans l histoire du cinema: les flics sont plus sauvages que les gangsters, le gangster quand a lui ne sait finalement pas ce qu il veut et sa chute en devient terrible car, des deux cotes de la loi, tout le monde meurt. Et la faute est finalement partagee, le Bien et le Mal n existent plus, il n y a plus de frontiere, plus de redemption plus rien en somme. Plus rien sauf ce film aux 10 dernieres minutes d une incroyable beautees. En effet, elles sont ponctuees d images d une poesie... indefinissable! Ou comment faire tout avec rien.
Le meilleur film de Ferrara sans aucun doute avec une histoire de mafieux au grand coeur mais trop intégré dans le milieu pour réussir à s'en sortir. Sombre et stylé, ce film se cré lui même sa propre ambiance et son univers assez particulier. C.Walken est excellent notament dans le finale.
Quelle déception ce film a été, Christopher Walken dans un Ferrara à priori ça devait être un très bon moment, on peut pas dire que ça est été vraiment le cas, bien trop classique et sans énergie pour qu'on puisse ressentir une quelconque émotion, une histoire peu passionnante ( un des moins bons film sur la mafia qu'il m'ait été donné de voir et j'en ai vu pas mal je pense) servie par des acteurs qui ne donnent que le strict minimum ( Walken ) ou qui ne sont pas taillés pour le rôle et en font trop ( Fishburne), pour ce dernier il n'est franchement pas aidé pour la VF ( la voix d'eddy Murphy quand meme...). Trop souvent vulgaire alors que rien ne le justifie et trop peu intriguant le film se conclue néanmoins sur un fin plutot réussie.
Abel Ferrarra se risque à un sujet casse-gueule et l'alcool n'aidant pas à garder l'équilibre, se casse la binette sur cette histoire de mafioso farfelue où le seul intérêt consiste à filmer la plastique de ses actrices. Rien n'est réaliste, tout est raté jusqu'à la réalisation et la fâcheuse tendance d'Abel a filmer de suffisament prés pour qu'on puisse compter les pores des visages de ses acteurs. On s'ennuie ferme, on décroche souvent et lorsqu'on essai de regarder ce film on se rend rapidement compte qu'Abel Ferrarra prend les passages obligés du film de gangster, sans jamais apporter une idée novatrice. Pourtant les intentions étaient là mais tout s'annule invariablement. Du gâchis.