Mon compte
    The King of New York
    Note moyenne
    3,5
    3956 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur The King of New York ?

    168 critiques spectateurs

    5
    41 critiques
    4
    52 critiques
    3
    36 critiques
    2
    22 critiques
    1
    12 critiques
    0
    5 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Top of the World
    Top of the World

    67 abonnés 153 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 avril 2018
    Dans une scène a priori anodine, deux gangsters regardent Nosferatu, de Murnau, au cinéma. Au moment où l'un s'apprête à partir, l'autre lui lance : "Tu devrais rester, ils passent Frankenstein ensuite !". Dans le film de Ferrara, Nosferatu le vampire est évidemment Frank White, parrain de la drogue tout juste sorti de prison et qui porte bien son nom puisqu'il est joué par un Christopher Walken opaque et hiératique, et dont les dents -évidemment- sont ce qu'il a de moins blanc. Le vampire, c'est celui qui s'abreuve du sang des autres, et ici White n'absorbe pas le sang mais adopte quelquefois les attitudes, les codes et les pas de danse (toujours avec une classe folle, charisme hypnotisant de Walken oblige) des Noirs, ses parfaits opposés. La créature de Frankenstein, elle, est la population new-yorkaise, Salad bowl dont les composantes se retrouvent presque toutes parmi les flics et les voyous : afro-américains, donc, mais aussi latinos, Italiens, Chinois, Irlandais... À partir de ces deux pôles, Ferrara réalise un film somnambulique et glacé, hanté par un goût du décadent et du dandysme assez somptueux. Même quand le film s'oriente davantage vers un registre plus classique de film de gangsters, sa violence radicale et sa stylisation formelle le maintiennent toujours à des hauteurs élevées, où trône donc le "King" Frank White, figure ambiguë, mi-ange mi-démon, en quête d'une étrange rédemption mais voué à une éternelle solitude.
    Dead-for-Someone
    Dead-for-Someone

    45 abonnés 694 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 janvier 2018
    Film culte des années 90 dont j'ai souvent entendu parler et que j'avais
    hâte de voir. Le résultat n'est ps complètement décevant mais n'atteint
    pas mes espérances.
    Frank White est un patron de la mafia qui vient de sortir de prison. Son
    rêve est de fonder un hôpital grâce à son argent et d'aider les plus
    démunis. Mais ses habitudes de gangster vont reprendre le dessus et la
    police de New York est plus que décidée à en finir avec lui
    définitivement...
    La réalisation est bonne; le cadrage est bon, les mouvements fluides, la
    mise en scène correcte, les prises de vues ne sont pas désagréables mais
    manquent de charme et la profondeur de champ est bonne. C'est bien mais
    pas incroyable non plus.
    Le scénario est un film de gangsters assez classique, avec ses
    fusillades et ses règlements de comptes à tout va. Certaines scènes sont
    vraiment marquantes mais les autres se ressemblent trop. Le rythme est
    d'abord assez bon mais finit par trop ralentir, dans la dernière
    demi-heure notamment. Il n'y a pas beaucoup de clichés et les
    quelques-uns qui sont présents ne sont pas trop gênants. Il n'y a pas
    non plus d'incohérences majeures. Reste cependant de nombreuses lenteurs
    qui viennent gâcher l'histoire.
    Les acteurs sont globalement bons, Christopher Walken avec sa tête de
    psychopathe est toujours aussi charismatique.
    Les personnages ne sont pas tous très bien développés et ne sont donc
    pas très attachants.
    Les dialogues sont par contre très crus mais aussi assez attendus.
    La photographie est très belle; le film se passe quasiment de nuit mais
    la lumière et les couleurs sont de grande qualité.
    Le montage est trop lent même dans les scènes de fusillades.
    Les décors sont assez vides, les costumes assez réussis et la musique de
    Joe Delia (Body Snatchers, The Blackout) passe trop inaperçue.
    "The King of New York" est un film qu'il faut avoir vu car il est culte,
    mais qui a surtout pris un gros coup de vieux.
    Benjamin A
    Benjamin A

    709 abonnés 1 922 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 mai 2017
    Avec The King of New York, son sixième film, Abel Ferrara signe une oeuvre violente où il nous immerge dans le milieu du crime organisé, ainsi que les hautes sphères politiques, de New York.

    Il reste surtout braquer sur Frank White, un gangster qui sort de prison et qui souhaite se mêler à la politique, malgré de nombreuses oppositions, qu'elles soient officielles ou non. Sans concessions, il propose une oeuvre d'une violence rare où vont se mêler trafic de drogue, tuerie, jungle urbaine, sexe, fusillade, course-poursuite ou plongée dans l'univers new-yorkais, que ce soit dans les bas-fonds ou les hautes sphères. Il montre, via un schéma assez classique, l'ascension d'un gangster, avec tout ce qui s'ensuit.

    La réussite de The King of New York se trouve surtout dans sa galerie de personnages, parfois pas loin de la caricature, et dans l'ambiance. C'est d'abord sur Frank qu'il s'attarde, gangster violent, ambigu et cynique, souhaitant financer un hôpital pour les enfants démunis tout en rêvant d'augmenter son pouvoir et de devenir le roi de New York. Autour de lui, tant dans ses associés que dans les flics, il dépeint des personnages avec cruauté, violence et sachant les rendre intéressant, voire même fascinant. Via eux, il propose une plongée dans une ville pourrie jusqu'à la moelle, où le vice et le péché sont à chaque coin de rue et chaque couche de la société tandis qu'il apporte une touche politique et sociétale et ne cherche pas à moraliser ou idéaliser un camp.

    Ferrara, en plus de dépeindre avec violence et intelligence la face cachée de New York, se montre particulièrement inspiré dans sa mise en scène où il met en place une ambiance glauque, violence voire même fascinante totalement prenante. L'oeuvre ne manque pas de tension et de moments forts, avec une puissance qui prend de plus en plus d'ampleur plus on avance dans le récit. Efficace dans la construction du récit, il met bien en place les différents éléments de la montée en puissance de ce gangster tandis qu'il montre un vrai savoir-faire derrière la caméra, tant dans le montage que la photo ou la direction d'acteur. Effectivement, Christopher Walken se montre habité par ce rôle froid et ambigu de criminel pensant agir pour le bien, tandis que les seconds rôles se fondent dans leurs personnages, que ce soit Wesley Snipes, Steve Buscemi ou même un Laurence Fishburne pratiquant un savoureux cabotinage.

    C'est donc au cœur d'un New York faisant office de ville du vice et du péché que nous immerge Abel Ferrara et il livre une oeuvre aussi violente que crue et totalement prenante, le tout emmené par un grand Christopher Walken.
    Acidus
    Acidus

    717 abonnés 3 708 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 février 2017
    Dans la droite lignée de ce qu'il faisait dans les années 80, Abel Ferrara nous balance, avec "The king of new york", une série B d'action légèrement subversif avec une touche d'érotisme ici et là. Un cocktail racoleur amsi qui a le mérite de parvenir à ses fins : divertir. En plus, le réalisateur peut s'appuyer sur un solide casting composé, entre autres, de Christopher Walken, David Caruso, Wesley Snipes ou encore Laurence Fishburne. En somme, un sympathique filmde gangsters.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 24 juillet 2016
    Moins émouvant et plus impitoyable que Bad Lieutenant, The King of New York n'en demeure pas moins culte. Abel Ferrara offre à Christopher Walken l'un de ses plus beaux rôles : Frank White, véritable tête brulée, personnage à la philosophie tordue mais d'une intégrité toute particulière
    Kloden
    Kloden

    125 abonnés 997 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 janvier 2016
    Véritables montagnes russes cinématographiques, ce King of New-York fait cohabiter le grandiose et le ridicule, dans un mélange bâtard pas si éloigné de son propos, mais néanmoins complètement handicapant pour une oeuvre dont on doit supporter les séquences ratées pour pouvoir (un peu, et pas autant qu'elles le mériteraient) profiter des bonnes. Par passages, cela dit, le film flirte vraiment avec le génial. Cette ouverture, d'abord, longue, portée par un synthé planant et le regard de Christopher Walken, toujours si nébuleux qu'on croirait presque y voir un univers entier. Toujours aussi démoniaque qu'angélique, l'acteur avait de quoi placer ce long-métrage sur la dangereuse barrière de la fascination. La scène du métro, où Walken retrouve son avocate et amante le temps d'ébats hors du temps et du Monde, poursuivait cette sensation ténue et d'autant plus accaparante (car fragile et volatile) que tout était réuni pour faire de cette figure un véritable centre d'attraction, dans un New-York jusque là filmé comme un terrain de chasse autant que comme un piège. Puis rapidement, tout s'écroule dans un melting-pot complètement bancal, bien que toujours un rien fascinant, lors de l'apparition des hommes de main de Frank White, un gang de blacks gangstas ridicules amenés par un Lawrence Fishburne pire encore. De ce moment, et presque jusqu'à son épilogue, on se coltine alors un grand bazar où les personnages sont trop associés à un type identitaire (l'irlandais, le noir, le chinois, le latino) pour ne pas y voir quelque chose de volontaire. Là encore, il y avait quelque chose à creuser. Chris Walken avait déjà construit avec Max Zorin (le bad guy de Dangereusement Vôtre) et sa relation avec la féline May Day, un lien imaginaire très fort avec la communauté noire ; je vais encore devoir me préciser avant de paraître raciste, ce commentaire ne souhaite mettre personne dans une case, simplement signaler que l'origine artificielle du personnage (plus ou moins issu d'une expérience) alliée à la première JB girl noire de l'Histoire donnait au couple l'apparence de deux rejetés qui se trouvaient en marge du reste du Monde. Ce parrain blanc à l'entourage tout droit sorti du Bronx donnait fugacement la même impression de chercher loin des sentiers battus quelque chose perçu de lui seul, un mirage à sa seule portée. Creuser cette veine aurait pu donner au film des allures de pastiche du film de mafia, où toutes les divisons identitaires propres à la N-Y fictive qu'on connait par le biais du genre sont présentes mais parfois étonnamment mêlées et déformés, comme dans une dissonance géante. Tout ça n'est quand même pas une excuse pour la montagne de caricature qui fait petit à petit son nid, et le tapage incessant de fusillades trop longues et pas assez préservées pour moi, qui m'attendait à quelque chose de bien plus mythifié. De même, Ferrara, ici dans ce qu'on peut voir comme un diptyque sur la rédemption avant son très réussi Bad Lieutenant, exploite trop peu les facettes intimes de Frank White, qui croit qu'une seule idée juste l'absout de tout le reste, comme si pour éviter le purgatoire, le bien était une simple fin, et non un moyen dont on n'est jamais certain qu'il suffise. Mais les dialogues et la symbolique dont on pourvoit le parrain sont beaucoup trop limités pour laisser accès à la profondeur du personnage, pourtant très étudié par la caméra. Walken a beau exprimer avec son génie des émotions à vif, qui paraissent flotter à la surface de son visage comme des ondes sur une eau troublée, impossible de déchiffrer son jeu et d'y ancrer l'empathie nécessaire. Les deux tiers du milieu de King of New-York sont ainsi, truffés d'erreurs et de fautes de goût. L'épilogue, qui retourne au travail d'ambiance du début (très belle idée que cette confrontation dans le métro, qui rappelle comme en écho à l'ouverture que tout le long, seuls l'amour et la mort ont eu de l'importance), retrouve une certaine grâce mais désormais, il manque à cette conclusion le poids et la consistance que le reste du film ne lui ont pas donnés pour venir chercher plus profondément. Inachevé et inabouti, je préfère donc garder de King Of New-York l'image du film qu'il aurait pu être.
     Kurosawa
    Kurosawa

    581 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 novembre 2015
    "The King of New York" est considéré comme un film important d'Abel Ferrara, d'une part parce qu'il interroge de façon saisissante les limites de la justice et de la morale dans une ville rongée par la criminalité, d'autre part parce qu'il réalise un portrait singulier d'un truand condamné à la solitude, un roi intraitable et jusqu'au-boutiste qui ne laisse à personne le soin de dicter sa loi. Ce roi, c'est Christopher Walken, au visage blafard, tel un zombie qui reviendrait de l'enfer (la prison) pour en rejoindre un autre (des flics prêts à tout pour le coincer), accompagné de truands fous à lier avec en tête un Laurence Fishburne halluciné. Mais en face, la police est partagée entre la résignation et une offensive qui défie tout sens éthique, entre un respect des institutions et une transgression forte du métier brouillant ainsi la distinction entre le bien et le mal. Un film intime, traversé par de sublimes fulgurances esthétiques et porté par une pléiade de comédiens magistralement dirigés.
    mazou31
    mazou31

    94 abonnés 1 281 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 septembre 2015
    Un sacré policier qui s’apparente plutôt à un opéra ! C’est extravagant, un peu du pire côtoie beaucoup du meilleur, mais le film vous emmène dans une valse funèbre que l’on oublie pas. Par son côté esthétique – les tueries sont dignes de celles de Brian de Palma –, ses décors allant des palaces aux caves et terrains vagues et surtout par son équipe d’acteurs jouant des personnages totalement déjantés et psychopathes, tout aussi nombreux dans la pègre que dans la police ! Christopher Walken, splendide mort-vivant halluciné se prenant pour mère Thérésa – j’exagère à peine –, est époustouflant et admirablement filmé par Ferrara. Sur les écrans il y a 25 ans déjà et toujours le même punch !
    this is my movies
    this is my movies

    698 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 juillet 2015
    Une vraie déception pour moi. Je dois dire que j'ai beaucoup de mal avec le style Ferrara. Malgré un C. Walken immense et un casting particulièrement brillant, le film se contente d'aligner les scènes de carnages, sans jamais vraiment développer ses personnages. Tourné avec un petit budget, le film offre tout de même quelques belles séquences, avec des lumières et des cadrages assez flamboyant qui donnent à voir un portrait complètement baroque de la ville. Visuellement, le film est indéniablement une grosse claque. Mais l'histoire ne m'a pas captivé, avec ce gangster qui veut construire un hôpital pour enfants mais qui tue sans vergogne tout ceux qui se dressent ou pas sur son chemin. Alors parce que ce tueur sans pitié veut sauver des enfants, ça le rend plus attachant. J'ai toujours trouvé ce genre de poncifs un peu stupide et paresseux, permettant ainsi de créer un lien empathique sans trop se forcer. Désolé, mais il me faut plus. Ferrara avait 30 minutes en plus sous le coude mais en l'état, cette version plus orientée vers les tueries et une déferlante de sexe et de sang sans aucune réflexion derrière est bien frustrante. D'autres critiques sur
    leochou
    leochou

    16 abonnés 695 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 mai 2015
    Cette réalisation stylisé et efficace offre un des plus grand rôle de Chrsitopher Walken dans ce thriller nihiliste et violent. Un film culte, un pur chef d'oeuvre. Si je devais garder une seul film de Ferrera se serait celui là.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 18 février 2015
    Un grand film !
    J'ai adoré la mise en scène, le scénario est excellent, sans parler des acteurs...
    Mephiless s.
    Mephiless s.

    62 abonnés 697 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 31 mars 2015
    Il n'y a pas à dire, ce film est vraiment marquant, notamment avec la performance de Christopher Walken. The king of New York nous offre des scènes prenantes et maîtrisées, comme les fusillades ou les poursuites, dommage qu'il y ait parfois des temps morts. Il évoque très bien la mafia, et son esthétique est vraiment très marquée. A voir!
    Artriste
    Artriste

    115 abonnés 1 999 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 juillet 2014
    Des montagnes de coke, des fusillades à tout va, des litres de sang et de jolies femmes, The King of New-York est assurément un film de gangster! Mais pour que tout cela est un sens il faut un bon scénario et de ce côté la on est pas déçu avec une histoire prenante qui dès les premières minutes jusqu'à la scène finale ne nous laisse pas une seconde de répit. Les flingues sont très souvent de sorti et nous offre de superbes scènes ultra réalistes et sans concession, magnifié par un Abel Ferrara inspiré aux manettes. Les couleurs très sombres, les répliques savoureuses et la très bonne b.o. viennent sublimer le tout pour notre plus grand bonheur. Et que dire du casting cinq étoiles très variés avec en tête d'affiche un Christopher Walken au visage de dingue et effrayant qui possède un charisme de fou épaulé par une équipe de tarés avec comme bras droit un Laurence Fishburne brillant par sa folie. En plus viennent s'ajouter, Steve Buscemi (malheureusement pas assez exploité), David Caruso, Victor Argo et Wesley Snipes! Rien que ça! Autant dire que The King of New-York est un excellent film, violent, brutal et haletant qui plaira à tous ceux qui aiment les films du genre. A voir absolument!
    Biloba63
    Biloba63

    53 abonnés 847 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 mars 2014
    Ce film s'appuie sur une réalisation de grande facture. Mise en scène, scénario, décors, dialogues, personnages, casting, tout est remarquable. L'ambiance et l'image générale du film, très sombre, très glauque, parsemée d'une bonne violence savamment dosée ne peut qu'être appréciée.
    Pourtant, il manque un truc et je ne saurais dire vraiment quoi. J'ai jamais réussi à me plonger totalement dans le film, dans l'histoire. Les acteurs sont fantastiques, leurs personnages aussi, mais l'histoire qui se tisse autour manque d'un peu de profondeur, d'un peu d'intérêt, et au final, j'ai trouvé quelques longueurs désobligeantes entre certaines scènes chocs. Quel dommage ! Car le travail est admirable, et je pense malgré tout que pour les raisons citées plus haut, ce film mérite d'être vu !
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 16 janvier 2014
    A travers le parcours d'un parrain de la drogue de retour aux affaires après un séjour à l'ombre, The King of New York se pose comme une déclinaison outrancière et violente d'un genre assez classique. Ne s'embarrassant pas d'une quelconque crédibilité, Abel Ferrara mise sur le charisme et les personnalités tranchées de ses protagonistes, à l'image d'un Christopher Walken plus charismatique que jamais. Gros plans appuyés, gunfights nerveux, vie nocturne débridée : le film possède une atmosphère décalée, proche d'une forme de folie, qui le rend assez plaisant.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top