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    The King of New York
    Note moyenne
    3,5
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    168 critiques spectateurs

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    Death_Metallus
    Death_Metallus

    11 abonnés 417 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 septembre 2012
    Tout d'abord, la renommée du film ne serait probablement qu'anecdotique sans l'excellente prestation de Christopher Walken. Au-delà de ça, King Of New York n'est pas un film incontournable. La réalisation d'Abel Ferrara est bourrée d'imperfections. Le niveau des dialogues n'est pas terrible et la connexion entre les personnages est quasiment inexistante. Comme si chaque acteur jouait dans un style différent, sans soucis de cohérence globale. Les dialogues manquent également de fluidité c'est à dire qu'il n'y pas toujours de lien entre les répliques mais aussi qu'il y a des fautes de goût (comme cette phrase). L'abominable version française accentue sans doute cette tendance. Pour en finir avec les mauvais points, l'interprétation de Laurence Fishburne est caricaturale et perd de sa crédibilité. D'une manière générale, King Of New York manque de crédibilité, particulièrement en matière de scénario et dans la direction des acteurs (exception faite de Christopher Walken et de Victor Argo). En guise d'exemple, je pourrais parler des "trafiquants" qui ressemblent aux Poetic Lovers. Malgré tout, la mise en scène d'Abel Ferrara possède de vrais atouts. Une atmosphère sombre, un peu gothique (dans le domaine de la photographie, les teintes bleues sont privilégiées), qui s'affranchit parfois des codes de la bienséance en mettant en avant violence et érotisme. De même, le choix d'une musique classique sur certains passages renforce effectivement la gravité et l'enjeu moral de certaines scènes. D'autre part, le choix du cadre des scènes est souvent judicieux et a sûrement été une source d'influence majeure pour des jeux vidéos tels que Grand Theft Auto (poursuite sur le pont de Brooklyn, règlement de compte dans le chantier du Bronx, duel final dans le métro...). Finalement, avec un peu plus de rigueur dans la réalisation, ce film aurait vraiment pu être bon.
    JoeLiotta38
    JoeLiotta38

    13 abonnés 389 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 octobre 2009
    Très bon film. Christopher Walken est époustouflant dans ce rôle de gangster à la fois dangereux et à la limite de du psychopathe mais à l'intelligence redoutable et au grand coeur..Des répliques cultes, des acteurs secondaires excellents aussi (fishburne,w.Snipes,D.Caruso) de l'action. Il n'a rien a envier des classiques du genre. On relèvera qu'il n'y a pas forcement de morale à la fin du film est c'est pas plus mal.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 10 juillet 2007
    Un très bon polar dans lequel, enfin, tout le monde est gris... Peut-on vraiment aimer ou detester quelqu'un dans "The King of New York" ? Le personnage joué par le grand Christopher Walken (tellement bon qu'il est évervant) représente une puissance inégale dans la ville de New York mais malgré cela, il n'est pas plus en sécurité et mieux entouré qu'un simple piéton...
    Lorry-James
    Lorry-James

    10 abonnés 218 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 avril 2011
    Trop bien!
    meeek
    meeek

    9 abonnés 87 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Walken ferait un très bon Nosferatu... Là, il hante New York, s'expose, explose, tient le film d'un bout à l'autre. Dans les cadrages de Ferrara, on se surprend à ne guetter que lui, son étincelle, ses mimiques, sa gestuelle, tout ça entre 2 lignes de coke et un réglement de compte. The King of New York est un beau film nocturne hanté.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 5 février 2008
    Attention, chef d'oeuvre !
    Une interprétation magistrale, un scénario en béton et une mise en scène travaillée... ce King of New York est vraiment un des meilleurs films de gangsters qui puisse exister !
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 11 décembre 2011
    Oui, voilà, mauvais est le mot.
    Il y avait aussi soporifique, mou, invraisemblable, baclé et médiocre aussi.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 3 septembre 2011
    tout simplement un des meilleur ferrara!!!!! avec un bon christoipher walken!!!!! le scenario est simple!!!! mais on assiste ici a un film policier/gangster noir!!!!! beaucoup de bonne scene de gun fight ici, avec des apparition tel que wesley snipes, david caruso des experts!!!!! bref un tres bon film noire !!!! qui plaira forcement aux addict des film de mafia/gangster!!!!! c sur!!!!!
    Xavier d
    Xavier d

    10 abonnés 229 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 3 mai 2020
    Le film est à l'image de l'affiche, caricatural, surfait, lourd… Le scénario est pitoyable, certaines séquences n'en finissent pas, seul Christopher Walken sauve ce film en montrant tout son talent dans certaines scènes remarquable.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 11 juin 2009
    Dommage, c'est ce qu'on peu dire quand on voit certaine scènes mais il n'empêche que l'intrigue y est excellente et le flurt avec la mort intriguent!!!
    this is my movies
    this is my movies

    698 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 juillet 2015
    Une vraie déception pour moi. Je dois dire que j'ai beaucoup de mal avec le style Ferrara. Malgré un C. Walken immense et un casting particulièrement brillant, le film se contente d'aligner les scènes de carnages, sans jamais vraiment développer ses personnages. Tourné avec un petit budget, le film offre tout de même quelques belles séquences, avec des lumières et des cadrages assez flamboyant qui donnent à voir un portrait complètement baroque de la ville. Visuellement, le film est indéniablement une grosse claque. Mais l'histoire ne m'a pas captivé, avec ce gangster qui veut construire un hôpital pour enfants mais qui tue sans vergogne tout ceux qui se dressent ou pas sur son chemin. Alors parce que ce tueur sans pitié veut sauver des enfants, ça le rend plus attachant. J'ai toujours trouvé ce genre de poncifs un peu stupide et paresseux, permettant ainsi de créer un lien empathique sans trop se forcer. Désolé, mais il me faut plus. Ferrara avait 30 minutes en plus sous le coude mais en l'état, cette version plus orientée vers les tueries et une déferlante de sexe et de sang sans aucune réflexion derrière est bien frustrante. D'autres critiques sur
    Kloden
    Kloden

    125 abonnés 997 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 janvier 2016
    Véritables montagnes russes cinématographiques, ce King of New-York fait cohabiter le grandiose et le ridicule, dans un mélange bâtard pas si éloigné de son propos, mais néanmoins complètement handicapant pour une oeuvre dont on doit supporter les séquences ratées pour pouvoir (un peu, et pas autant qu'elles le mériteraient) profiter des bonnes. Par passages, cela dit, le film flirte vraiment avec le génial. Cette ouverture, d'abord, longue, portée par un synthé planant et le regard de Christopher Walken, toujours si nébuleux qu'on croirait presque y voir un univers entier. Toujours aussi démoniaque qu'angélique, l'acteur avait de quoi placer ce long-métrage sur la dangereuse barrière de la fascination. La scène du métro, où Walken retrouve son avocate et amante le temps d'ébats hors du temps et du Monde, poursuivait cette sensation ténue et d'autant plus accaparante (car fragile et volatile) que tout était réuni pour faire de cette figure un véritable centre d'attraction, dans un New-York jusque là filmé comme un terrain de chasse autant que comme un piège. Puis rapidement, tout s'écroule dans un melting-pot complètement bancal, bien que toujours un rien fascinant, lors de l'apparition des hommes de main de Frank White, un gang de blacks gangstas ridicules amenés par un Lawrence Fishburne pire encore. De ce moment, et presque jusqu'à son épilogue, on se coltine alors un grand bazar où les personnages sont trop associés à un type identitaire (l'irlandais, le noir, le chinois, le latino) pour ne pas y voir quelque chose de volontaire. Là encore, il y avait quelque chose à creuser. Chris Walken avait déjà construit avec Max Zorin (le bad guy de Dangereusement Vôtre) et sa relation avec la féline May Day, un lien imaginaire très fort avec la communauté noire ; je vais encore devoir me préciser avant de paraître raciste, ce commentaire ne souhaite mettre personne dans une case, simplement signaler que l'origine artificielle du personnage (plus ou moins issu d'une expérience) alliée à la première JB girl noire de l'Histoire donnait au couple l'apparence de deux rejetés qui se trouvaient en marge du reste du Monde. Ce parrain blanc à l'entourage tout droit sorti du Bronx donnait fugacement la même impression de chercher loin des sentiers battus quelque chose perçu de lui seul, un mirage à sa seule portée. Creuser cette veine aurait pu donner au film des allures de pastiche du film de mafia, où toutes les divisons identitaires propres à la N-Y fictive qu'on connait par le biais du genre sont présentes mais parfois étonnamment mêlées et déformés, comme dans une dissonance géante. Tout ça n'est quand même pas une excuse pour la montagne de caricature qui fait petit à petit son nid, et le tapage incessant de fusillades trop longues et pas assez préservées pour moi, qui m'attendait à quelque chose de bien plus mythifié. De même, Ferrara, ici dans ce qu'on peut voir comme un diptyque sur la rédemption avant son très réussi Bad Lieutenant, exploite trop peu les facettes intimes de Frank White, qui croit qu'une seule idée juste l'absout de tout le reste, comme si pour éviter le purgatoire, le bien était une simple fin, et non un moyen dont on n'est jamais certain qu'il suffise. Mais les dialogues et la symbolique dont on pourvoit le parrain sont beaucoup trop limités pour laisser accès à la profondeur du personnage, pourtant très étudié par la caméra. Walken a beau exprimer avec son génie des émotions à vif, qui paraissent flotter à la surface de son visage comme des ondes sur une eau troublée, impossible de déchiffrer son jeu et d'y ancrer l'empathie nécessaire. Les deux tiers du milieu de King of New-York sont ainsi, truffés d'erreurs et de fautes de goût. L'épilogue, qui retourne au travail d'ambiance du début (très belle idée que cette confrontation dans le métro, qui rappelle comme en écho à l'ouverture que tout le long, seuls l'amour et la mort ont eu de l'importance), retrouve une certaine grâce mais désormais, il manque à cette conclusion le poids et la consistance que le reste du film ne lui ont pas donnés pour venir chercher plus profondément. Inachevé et inabouti, je préfère donc garder de King Of New-York l'image du film qu'il aurait pu être.
    Top of the World
    Top of the World

    67 abonnés 153 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 avril 2018
    Dans une scène a priori anodine, deux gangsters regardent Nosferatu, de Murnau, au cinéma. Au moment où l'un s'apprête à partir, l'autre lui lance : "Tu devrais rester, ils passent Frankenstein ensuite !". Dans le film de Ferrara, Nosferatu le vampire est évidemment Frank White, parrain de la drogue tout juste sorti de prison et qui porte bien son nom puisqu'il est joué par un Christopher Walken opaque et hiératique, et dont les dents -évidemment- sont ce qu'il a de moins blanc. Le vampire, c'est celui qui s'abreuve du sang des autres, et ici White n'absorbe pas le sang mais adopte quelquefois les attitudes, les codes et les pas de danse (toujours avec une classe folle, charisme hypnotisant de Walken oblige) des Noirs, ses parfaits opposés. La créature de Frankenstein, elle, est la population new-yorkaise, Salad bowl dont les composantes se retrouvent presque toutes parmi les flics et les voyous : afro-américains, donc, mais aussi latinos, Italiens, Chinois, Irlandais... À partir de ces deux pôles, Ferrara réalise un film somnambulique et glacé, hanté par un goût du décadent et du dandysme assez somptueux. Même quand le film s'oriente davantage vers un registre plus classique de film de gangsters, sa violence radicale et sa stylisation formelle le maintiennent toujours à des hauteurs élevées, où trône donc le "King" Frank White, figure ambiguë, mi-ange mi-démon, en quête d'une étrange rédemption mais voué à une éternelle solitude.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 1 juin 2008
    Un film qui côtoie le cultissime comme le grand n'importe quoi. Ca en fait un film explosif et compliqué a saisir. Ce malfaiteur qui reve de fonder un hopital et qui emploi les grands moyen pour ca. Un fikm a voir absolument.
    cylon86
    cylon86

    2 506 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 octobre 2009
    Un film de gangster assez classique qui vaut surtout pour Christopher Walken. Le scénario fait office de déjà-vu même s'il possède un certain potentiel. Potentiel foutu en l'air par la mise en scène insipide du réalisateur au style complètement froid. Même s'il y a de bonnes scènes, "King of New York" laisse pratiquement indifférent. Avec un réalisateur tel que Scorsese ou De Palma, on aurait eu un chef-d'œuvre...
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