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Skipper Mike
85 abonnés
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3,5
Publiée le 1 mars 2013
"Harry Potter et l'Ordre du Phénix" a peut-être toutes les qualités mais aussi tous les défauts que son prédécesseur n'avait pas ! Tout d'abord, il convient de noter la qualité de la mise en scène : David Yates est un réalisateur plus exigeant que Mike Newell et comme Cuarón, il a une réelle approche artistique qui fait de cette œuvre un film personnel qui regorge de bonnes idées. Le problème est que Yates est aussi un débutant dans les blockbusters et qu'il commet ainsi quelques maladresses. Le rythme est souvent très dynamique, notamment à travers les rêves et visions épileptiques de Harry, les zooms sur les articles de journaux animés et la succession de saynètes représentant la progression de l'Armée de Dumbledore et les tentatives de Rusard de la prendre au piège ; si les deux premiers points sont très réussis et donnent au film son ambiance particulière, cette guéguerre entre les partisans d'Ombrage et ceux de Dumbledore est plutôt embarrassante et dotée d'un humour assez peu adapté. À cause de ça, le développement de l'intrigue semble trop expéditif et ne reflète pas la complexité du roman qui est après tout le plus long de la saga. Le film est donc bien trop court et la profondeur des personnages n'a visiblement pas été privilégiée, tellement les membres de l'Ordre apparaissent comme des faire-valoir. De plus, les explications sur l'intrigue générale et les dialogues introspectifs sont rares et largement insuffisants, comme si le scénariste était conscient du décalage entre le quatrième volet rempli d'action et celui-ci plus posé et avait décidé de limiter les échanges entre les personnages pour que le spectateur ne s’ennuie pas, ce qui se révèle bien stupide car, une fois la projection terminée, on se rend compte que les projets de Voldemort au Département des mystères restent flous et que l'importance de la prophétie a à peine été esquissée. C'est assez dommage et le film semble ainsi trop précipité pour laisser sa marque. Heureusement, la beauté des décors et de la mise en scène sauve le reste, et à ce titre, la maison des Black, le Ministère de la Magie et l'impressionnante prison d'Azkaban sont particulièrement réussis. Un autre aspect très positif découle des flash-back de Harry, qui font ainsi intervenir des images des quatre volets précédents, ce qui permet d'unifier une saga qui manquait parfois de cohérence dans ses changements de styles. Ce seul point rend peut-être la présence de Yates à la réalisation indispensable, ou rend en tout cas l'épisode véritablement central. En revanche, la fin du film est peut-être une des plus décevantes des différentes adaptations. En effet, si ce qu'on voit du Département des mystères est incontestablement très beau, on n'en voit hélas pas assez ! Les événement s'y déroulant constituent un des meilleurs passages de la saga à l'écrit : de par son étrangeté et sa richesse en détails (la salle du Temps, celle des cerveaux, l'arcade...), elle recelait une infinité de possibilités de mise en scène, et n'importe quel réalisateur aurait pris son pied en les filmant. Bien sûr, c'est sans doute aussi une question de budget, mais cela amène un grand vide qui aurait pu constituer une séquence incroyablement marquante. En plus de ça, il faut bien avouer que spoiler: la mort de Sirius est vraiment ridicule et le combat entre l'Ordre et les Mangemorts sacrément caricatural (les noirs contre les blancs, on aurait quand même pu faire plus subtil...). La tristesse de Harry passe visiblement très vite, mais heureusement, la scène qui suit est une des meilleures du film : ce combat entre Dumbledore et Voldemort est non seulement spectaculaire mais permet aussi un aboutissement marquant, via la possession de Harry par le Seigneur des Ténèbres.
Autre problème majeur (peut-être même le plus grand), l'interprétation de Daniel Radcliffe, qui s'était déjà dégradée précédemment atteint ici son point le plus élevé de nullité ! Incapable de jouer une émotion convenablement, il promène son visage inexpressif de manière consternante dans toutes les scènes, les plus tristes comme les plus enragées, mais cabotine exagérément quand il fait des cauchemars. Heureusement que son niveau ne descendra pas plus profondément par la suite et que ses camarades sont là pour le rattraper. À ce propos, Imelda Staunton et Evanna Lynch sont particulièrement bien choisies dans leurs rôles respectifs de l'odieuse Dolores Ombrage et de l'excentrique Luna Lovegood. En revanche, Helena Bonham Carter est peut-être un peu trop énervante avec ses rires insupportables.
Un bon film moins bon que les autres épisode de cette saga d'Harry potter , mais toujours aussi accrochant , toujours autant d'humour , autant de suspense , autant de magie ! Un plaisir de regarder ce film
N'ayant lu que quelques tomes de la saga littéraire du même nom je n'ai pas lu celui-ci et je trouve l'adaptation cinématographique très dynamique. Le film nous permet de voir l'arrivée d'un personnage génial que j'adore Luna Lovegood. Elle apporte un vent de fraîcheur et d'humour à la saga. Le film joue sur le coté sombre d'Harry et nous permet de voir les personnages secondaires un peu plus importants (Neville, Ginny, Fred, George et Cho en tête). L'exécrable Dolores Ombrage mène la vie dure aux étudiants et professeurs de Poudlard. Le dénouement du film nous offre de belles scènes d'actions et la mort d'un personnage adoré. Un de mes films préférés d'Harry Potter.
Nettement en-dessous des autres, "Harry Potter et l'Ordre du Phénix" m'a déçu. Malgré cette déception, ce film garde cette touche de magie et de rêve, qui restent plaisants.
L'un des épisodes les plus torturés de la saga. David Yates nous plonge de plus en plus dans l'obscurité de cette univers fantastique. Ici on ressent vraiment la solitude et le poids des responsabilités qui pèse sur les épaules du jeune Harry. Un opus qui souffre de quelques longueurs, mais qui nous offre un incroyable antagoniste en la personne de Dolorès Ombrage, que l'on adore détester. Notons également l'efficacité de ce final et ce combat de titans entre Vodemort et Dumbledore. Juste un mot : Magique.
Comme l'ensemble de l'adaptation ciné de Harry Potter, un épisode plutôt convaincant, et dont le niveau général est supérieur au précédent, grâce au savoir-faire de David Yates (qui réalisera d’ailleurs tous les volets suivants). L’ambiance se dégrade au sein de l’école avec le retour de plus en plus pressant de Voldemort, dont l’avant-garde est incarnée avec méchanceté et talent par les Dolores Ombrage et autres Bellatrix Lestrange, particulièrement « charismatiques » !
Alors, avis partagé sur cette adaptation d'un roman Harry Potter. Globalement, j'aime le film, agréable a regarder, humours sympa, les effets spéciaux sont toujours au top avec un petit bémol pour l’interaction entre Graup et Hermione, puis avec l'insupportable Dolorès Ombrage. Et en parlant d'Ombrage, qui n'a pas eu l'envie de lui mettre quelques claques pour la remettre à sa place ? Imelda Staunton jouant très bien la détestable petite sorcière membre du ministère et professeur de défense contre les Forces du Mal le temps d'une année particulière à Poudlard. Gary Oldman toujours au top en Sirius Black et première apparition de Helena Bonham Carter dans la peau de la machiavélique Bellatrix Lestrange. Seulement, il est vrai que beaucoup de passages du livre ont été supprimés, et on aurait aimé avoir plus d'actions pour le final du film, notamment en ce qui concerne les duels entre membres de l'Ordre du Phénix et Mangemorts. J'aurais également aimé plus d'explications de Dumbledore envers Harry à la fin, comme c'est le cas dans le livre au combien fascinant. Cette fois, le changement de réalisateur est définitif car David Yates restera à la réalisation jusqu'à la fin de l'aventure Potterienne. On note dans son style le côté plus réaliste et moins magique des précédents, et sa tendance parfois frustrante de faire des scènes d'actions assez courtes. En revanche, il développe parfaitement les relations entre ses personnages et appuie bien sur les sentiments, ce qui pour moi est très important.
Du lourd, du très très lourd. C'est clairement ce film qui a flingué la saga Harry Potter au cinéma. Jean Pierre Jeunet et Guillermo Del Toro ont refusé le poste de réalisateur pour manque de liberté. Au final, c'est un réalisateur de téléfilms et séries TV britannique, un tacheron, David Yates qui le réalise. Et c'est le principal responsable du navet qu'est le film. Réalisation télévisuelle, musique nulle (plus de John Williams), effets spéciaux cheap (plus d'ILM), acteurs moyens (surtout D. Radcliffe) et scénario très ininteressant. Bref, un beau navet ! P.S. : une VF toujours aussi foireuse !
Un bon film. L'univers continue à s'assombrir. Comme pour l'épisode précédent, l'histoire est respectée mais je pense toujours qu'il aurait mieux valu insister sur les scènes importante plutôt que sur celles qui ne le sont pas. La prophétie est expédiée en 10 secondes alors qu'il s'agit quand même d'un élément capital pour la suite des aventures d'Harry Potter.
et maintenant le 5° opus de la saga harry potter... toujours avec autant de problèmes et d'action... décidément, le jeune harry doit être perturbé de son enfance! Hahahahaha... bon. un film n'ayant pas connu un succès phénoménal, ai-je vu ( par rapport aux autres épisodes, bien sûr...), je l'ai classé étant le plus mauvais harry potter pour moi... mais tout de même, toujours de l'action ( qu'on reconnaîtra énormément à la fin dans le département des mystères avec la mort de BIIIIIIIIIIIp! ), du suspens...? non, pas spécialement... de la comédie non plus... normal, poudlard s'assombrit, mais je pense qu'il auraient quand même pu garder l'autonomie de faire beaucoup ressortir le côté "magique" de la saga. l'obscurité se fait trop ressentir, encore plus que les autres épisodes, c'est pour cela que cet épisode ne m'a pas particulièrement touché... Sinon, je conseille de le voir pour la reproduction tirée du livre ( si vous avez pas lu le livre, pour comprendre les suivants!!! ) mais sans plus. plutôt conseillé pour les 12/ 15 ans.
Un nouveaux réalisateur pour ce volet et.... une déception pour moi, la mise en scène n'est pas terrible mais c'est vrai ce roman n'était pas le plus facile à réaliser, ont découvre un trait de caractère plus noir, plus sombre pour les personnages que ont ne leur connaissaient pas. C'est selon moi pas le meilleur volet de la série mais un film à voir pour mieux cerner le passé de l'intrigue et de quelques protagonistes.
Le plus faible de tous les films de la saga, tout s'enchaîne trop vite et aucun temps n'est pris pour approfondir la psychologie des personnages et la profondeur de l'histoire. Les acteurs sont assez mauvais (excepté Ombrage), cet épisode n'avance pas énormément l'histoire c'est d'ailleurs le tome que j'apprécie le moins aussi. La bande originale est meilleur que le quatrième opus mais demeure encore insatisfaisante, la réalisation est plutôt correct sans plus mais le pire c'est le contrôle. Le réalisateur a du mal à nous faire passer l'émotion, comme un sentiment de vite fait et zappé. Je trouve ça dommage, mais il reste bien divertissant quand même.
Harry reprend son souffle... les spectateurs le perdent. Un Potter vraiment pas comme les autres, à mon grand regret : clairement et quasi exclusivement concentré sur les personnages (mais est-ce que l'on en apprend tant que ça ?), plus psychologique que visuel, à l'image du nouveau personnage qu'est D. Ombrage, apportant le souffle de révolte qui fera sans doute rebondire le prochain épisode. Mais le problème c'est que l'intrigue est ne vas plus trop dans le sens de la saga originele et n'emmène, au moins dans la première heure, qu'un ennui assez gênant ; de plus les thèmes sont rebattus et tout ce roulement incessant de dialogues fini par prendre le pas sur ce que l'on chéri tant dans la saga : l'imaginaire en roue libre (peu de nouveautés, 2-3 idées brillantes). Pourtant le scénario est ré-équilibré et tout à fait fluide (contrairement au précédent opus), la réalisation inspirée sans pour autant être bouleversante, mais rien n'y fait, pas même de plus discrets effets spéciaux (une baguette magique ne valant vraiment pas pas un bon sabre laser !). Le film patine, sans ne jamais sombrer dans la médiocrité, mais il roucoule désagrablement et on fini par lui reprocher d'oublier son statut de blockbuster... c'est dire !Adapter un livre à succès, et surtout quant cette saga possède plusieurs opus de longue durée. LE travail autour de celui-ci, afin de ne pas trop s'écarter du sujet et de l'histoire de base est une chose complexe. Donc on va dire que quelques erreurs on été commise, mais pour la saga en générale. L'adaptation est plutot réussi.
Assez satisfaisant même si cet opus est nettement inférieur aux deux précédents. Alors que le roman était un chef d'oeuvre, le scénariste de ce film a pris les moments les moins interessants du livre, n'a (comme dans les deux premiers opus) pas très bien écrit ses dialogues et a rendu la plupart des personnages trop caricaturaux. Mais l'ensemble reste très agréable à regarder malgré toutes les mièvreries.