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Alexarod
280 abonnés
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2,5
Publiée le 20 mai 2018
Dans la lignée de la saga : ni trop peu ni pas assez. Passons donc sur l'écart d'age entre les acteurs et leurs persos littéraires, beaucoup l'ont bien assez abordé. Passons aussi sur leur jeu, car si l'on reconnait aisément la sérieuse, le dissipé, le garde chasse un peu naïf et benêt, le grand mage... C'est joué de façon parfois caricaturale. Certes cela s'adresse avant tout à des enfants, mais si l'on durcit le ton et qu'on cherche de la noirceur (c'est le tournant abordé par l'auteur depuis le précédent opus) faut voir à faire évoluer le reste aussi. D'ailleurs Voldemort fait pas vraiment peur non plus. Bref hormis les acteurs ce qui cloche c'est : l'histoire. Loin de moi l'idée de remettre en cause les bouquins de Rowling, je les ai lu et apprécié, sauf que les films n'abordent pas tout non plus. Impossible me direz vous, les films font déjà 2h30, c'est assez. Oui mais, dans ces 2h30 ia des longueurs, le tout cumulé pourrait être zappé et remplacé par une scène qui expliquerait mieux le tout, comme on en trouve dans le livre. Voilà aussi pourquoi le 7è opus se fait en 2 parties, va falloir rattraper tout ce qui n'a pas été abordé avant. A part ça le récit n'est pas terrible non plus, pas passionnant surtout et la trame plutôt attendue. Sinon tout va, la musique est géniale, elle colle bien aux situations et fait assez sombre, en même temps c'est John Williams. Les décors et les FX sont très soignés et pas la peine de lire le bouquin pour comprendre, par contre voir les précédents films peut être. Au niveau acteur j'apprécie quand même de voir tant d'Anglais, le favoritisme m'exaspère, mais Alan Rickman joue toujours son rôle à merveille, et sa voix rend vraiment parfaitement le personnage. Rajoutez Oldman et Bonham Carter ça fait merveille dans le style. Non vraiment le casting (hormis les 3 persos principaux donc) est fabuleux. Enfin ça reste un film qu'on peut voir en famille, les parents s'ennuieront pas trop, les enfants adorent... Un Potter comme d'hab' mais presque banal car n'ayant rien de spécial ou de non-ordinaire.
Ce 5ème épisode marque un temps d'arrêt dans la saga Harry Potter.L'innocence des débuts a entièrement disparue et l'affrontement final n'est pas encore d'actualité.Pas facile donc d'adapter ce roman de transition,cependant riche de révélations essentielles pour la suite.David Yates,britannique pur jus,biberonné aux séries complexes,s'y colle.Il insuffle une noirceur presque expressionniste à l'ensemble,alors que les rêves de mauvais augure de Harry se multiplient.Une esthétique sombre,en raccord avec l'ambiance générale,confirmant la renaissance de Voldemort et le vent de révolte soufflant sur Poudlard.Qualitativement,cet épisode est un peu chiche en scènes conséquentes,et les chapitres choisis ne sont pas toujours les plus intéressants.Pour un néophyte du roman,ça semble incompréhensible par manque d'explications.Il y aura donc inévitablement une rupture entre les adeptes et ceux qui n'ont vu que le film.Mais on ne peut que savourer les FX travaillés,et la minutie toujours plus grande de l'univers retranscrit de J.K Rowling.Daniel Radcliffle aka Harry Potter prend un plaisir désormais évident à grandir avec ce personnage,alors même que celui-ci révèle enfin ses talents de meneur.Pas l'épisode le plus singulier,mais charnière donc passionnant.
5ème film de la saga, L'ordre du Phénix baisse à mon sens en intensité pour laisser le temps aux héros de grandir encore car à cet âge, un affrontement direct avec le maléfique Voldemort ne donnerait pas grand chose. Donc ce film tourne autour de la mise en place d'une "armée", celle de Dumbledore... mais bon le film est loin du précédent. Bref : un film d'attente.
Un cinquième Harry Potter pas aussi prenant que le précédent mais qu'il garde une bonne satisfaction de plaisir. Le retour de Voldemort et de l’inquisitrice sont deux éléments qui rends un scénario d'une efficacité à ne pas s'ennuyer. Les acteurs sont toujours à la hauteur de nos attendes et particulièrement celle qui interprète Dolores Ombrages. Cependant, je trouve que le film est un peu du genre vite fait et mal fait si on compare par rapport au quatrième. Des bon scènes d'actions dont les effets spéciaux sont un bon accompagnement particulièrement ceux du combat entre Dumbledore et Voldemort. La musique qu'on entends à certains moments met une ambiance non négligeable pour le plaisir de nos oreilles. Des décors et des costumes qui vont toujours aussi bien. La tristesse et le courage sont des éléments bien mis en valeur pour rendre le film palpitant comme au moment ou le parrain d'Harry meurt. Un film de sorciers à regarder avec plaisir en famille.
« Quelque chose pour lequel il vaut la peine de se battre »
Dès la séquence d'ouverture, "L'Ordre du Phénix" est l'épisode le plus sombre et le plus profond de la pentalogie.
Voldemort n'a pas besoin de spoiler: déployer beaucoup d'efforts pour convaincre les membres fanatiques du Ministère de la Magie de prendre le relais et de se débarrasser de Dumbledore et de ses professeurs à l'Ecole de Sorcellerie et de Magie de Poudlard .
Dolores Umbridge – spoiler: la nouvelle enseignante du ministère qui finit par s’autoproclamer directrice – établit progressivement un régime fasciste afin de détruire le cœur et l'âme de l'école .
Ron et Hermione convainquent Harry spoiler: qu'il n'est pas désespérément seul dans sa lutte et sa souffrance. Et, ensemble, le "Golden Trio" fonde "l'Armée de Dumbledore", un groupe secret d'étudiants à qui Harry enseigne des sorts défensifs .
Cette puissante parabole, sur ce qui se passe lorsqu'un régime dictatorial élimine les compétences de pensée critique du programme académique, se termine par spoiler: une confrontation entre les armées naissantes de Voldemort et Dumbledore, et la révélation de la Prophétie à Harry .
David Yates a réalisé avec inspiration et Nicholas Hooper a composé une belle bande originale, qui illustre parfaitement les sentiments qui animent les protagonistes.
Pour l'instant, "Harry Potter et l'Ordre du Phénix (2007)" est mon épisode préféré de la pentalogie (je n'ai pas encore passé en revue les trois épisodes restants qui complètent l'octalogie).
Evidemment, on est toujours un peu déçu de voir le film amputé de certains passages du livre, et avec un bouquin de près d'un millier de pages et un film de 2h15, les amputations ont été nombreuses. Le film est tout de même une belle réussite. Comme les livres, ils deviennent de plus en plus sombres. Celui-ci est plus intimiste et centré sur les états d'âme du héros, mais laisse aussi une belle place à des personnages secondaires plutôt réussis. Bien que sombre, ce volet n'en demeure pas moins drôle et magique.
Après avoir longtemps porté ce cinquième opus, réalisé cette fois par David Yates et sorti en 2007, dans mon cœur, force est de constater que ce n'est pas le meilleur de la saga ! Enfin, il est tout de même important de préciser de la saga cinématographique uniquement car "l'Ordre du Phénix" reste en revanche un de mes tomes préférés, sinon le préféré, de la saga littéraire de J. K. Rowling. Avec le roman le plus long de la saga littéraire, il est en effet plutôt douloureux de découvrir cette adaptation qui ne reprend que les principales intrigues du roman. En même temps, ce dernier étant un pavé de plus de mille pages, tout ne pouvait pas non plus être retranscrit à l'écran. Mais tout de même, d'une durée d'à peu plus de deux heures, il aurait pu facilement être rallonger d'un bon quart d'heure, afin, par exemple, d'y développer le personnage de Dolores Ombrage (à travers laquelle on peut par ailleurs y voir une représentation du conservatisme de Margaret Thatcher), les relations qu'entretient Harry avec ses potes ou certains profs ou encore la bataille finale dans le ministère qui a été très fortement raccourcie. On y suit ici Harry Potter devant faire face aux moqueries et aux suspicions de ses camarades concernant ses révélations pour le moins inquiétantes à la fin du quatrième opus. Ce cinquième opus est très important car il est constitue la pierre angulaire du nouveau virage que prend la saga, virage déjà entamé avec le troisième opus qui adoptait une ambiance beaucoup plus sombre, sérieuse et dramatique que les deux premiers. Et il est vrai que c'est très dommage de voir cette histoire passionnante à l'écran, amputée de nombreux éléments et sous-intrigues ; Ombrage étant par exemple beaucoup plus détestable dans le livre ! Après, le film reste tout de même très agréable à regarder, notamment visuellement car la mise en scène est très bonne ! Concernant le casting, nous retrouvons notre lot d'acteurs qui jouent tous très bien, même Daniel Radcliffe dont je n'étais pas forcément fan du jeu, travaille ici son personnage plus en composition et nous retiendrons également, bien-sûr, Evanna Lynch, Helena Bonham Carter et Imelda Staunton qui jouent également très bien. "Harry Potter et l'Ordre du Phénix" est donc un bon film, même s'il reste anecdotique face au roman du même nom.
David Yates, quatrième et dernier réalisateur de la franchise "Harry Potter", livre pour sa première réalisation dans la célèbre saga un cinquième film plus sombre, plus complexe et surtout encore plus mature, de ce qu'on a vu dans les précédents films. Alors, certes, ce nouvel opus est beaucoup plus sombre, peut-être trop justement, car on en vient même à haïr Daniel Radcliffe durant les trente dernières minutes.De plus, ce film souffre de pas mal de longueurs, et laissent finalement place à de longs dialogues. "L'ordre du Phénix" reste selon moi l'un des opus les plus décevants de la saga avec le sixième. Sans remettre en cause les excellents jeux d'acteurs et les magnifiques effets spéciaux, accompagnés d'une bande-originale sublime.
Pour ce nouvel opus de Harry Potter au cinéma, la Warner est allé débaucher David Yates. Inconnu du grand public mais pas en Angleterre où c'est un réalisateur ayant obtenu pluie de récompenses pour plusieurs téléfilms. Malgré son inexpérience, il arrive à prendre le train pour Poudlard en route et le mène à bon port. Sauf qu'on peut lui faire les mêmes reproches qu'à Colombus, Cuaron ou Newell, ses prédecesseurs, à savoir la frustration de voir grand nombre d'éléments du livre passer à la trappe tout ça pour que le film tienne en 2h. Fort dommage quand on connaît la complexité du roman, ses nombreux rebondissements, surtout quand on voit qu'il s'agit du plus dense de la saga puisque, de mémoire, il avoisine les mille pages. Ces raccourcis, un peu obligatoire il faut le reconnaître, entraînent des problèmes de liaisons entre les scènes assez bizarres. La noirceur est encore de mise et la différence avec les deux premiers épisodes arrive à être assez flagrante. Il est tout de même bon finalement de voir en image ce que l'on vient de lire, surtout quand c'est bien fait. Au passage, Yates nous glisse une critique sur le pouvoir omni-présent, ce qui nous fait penser à certaines dictatures actuelles ou nations comme la Russie. De même que les châtiments imposés par la grande inquisitrice Dolorès Ombrage rappellent les agissements des nazis. Yates s'en sort donc bien, continue à faire avancer Harry Potter avec un épilogue qui se rapproche de plus en plus. A lui de faire fructifier tout ça puisqu'il remettra une nouvelle fois le couvert avec la mise en scène du prochain Harry Potter, Le prince de sang-mêlé.
"Harry Potter et l'Ordre du Phénix" a peut-être toutes les qualités mais aussi tous les défauts que son prédécesseur n'avait pas ! Tout d'abord, il convient de noter la qualité de la mise en scène : David Yates est un réalisateur plus exigeant que Mike Newell et comme Cuarón, il a une réelle approche artistique qui fait de cette œuvre un film personnel qui regorge de bonnes idées. Le problème est que Yates est aussi un débutant dans les blockbusters et qu'il commet ainsi quelques maladresses. Le rythme est souvent très dynamique, notamment à travers les rêves et visions épileptiques de Harry, les zooms sur les articles de journaux animés et la succession de saynètes représentant la progression de l'Armée de Dumbledore et les tentatives de Rusard de la prendre au piège ; si les deux premiers points sont très réussis et donnent au film son ambiance particulière, cette guéguerre entre les partisans d'Ombrage et ceux de Dumbledore est plutôt embarrassante et dotée d'un humour assez peu adapté. À cause de ça, le développement de l'intrigue semble trop expéditif et ne reflète pas la complexité du roman qui est après tout le plus long de la saga. Le film est donc bien trop court et la profondeur des personnages n'a visiblement pas été privilégiée, tellement les membres de l'Ordre apparaissent comme des faire-valoir. De plus, les explications sur l'intrigue générale et les dialogues introspectifs sont rares et largement insuffisants, comme si le scénariste était conscient du décalage entre le quatrième volet rempli d'action et celui-ci plus posé et avait décidé de limiter les échanges entre les personnages pour que le spectateur ne s’ennuie pas, ce qui se révèle bien stupide car, une fois la projection terminée, on se rend compte que les projets de Voldemort au Département des mystères restent flous et que l'importance de la prophétie a à peine été esquissée. C'est assez dommage et le film semble ainsi trop précipité pour laisser sa marque. Heureusement, la beauté des décors et de la mise en scène sauve le reste, et à ce titre, la maison des Black, le Ministère de la Magie et l'impressionnante prison d'Azkaban sont particulièrement réussis. Un autre aspect très positif découle des flash-back de Harry, qui font ainsi intervenir des images des quatre volets précédents, ce qui permet d'unifier une saga qui manquait parfois de cohérence dans ses changements de styles. Ce seul point rend peut-être la présence de Yates à la réalisation indispensable, ou rend en tout cas l'épisode véritablement central. En revanche, la fin du film est peut-être une des plus décevantes des différentes adaptations. En effet, si ce qu'on voit du Département des mystères est incontestablement très beau, on n'en voit hélas pas assez ! Les événement s'y déroulant constituent un des meilleurs passages de la saga à l'écrit : de par son étrangeté et sa richesse en détails (la salle du Temps, celle des cerveaux, l'arcade...), elle recelait une infinité de possibilités de mise en scène, et n'importe quel réalisateur aurait pris son pied en les filmant. Bien sûr, c'est sans doute aussi une question de budget, mais cela amène un grand vide qui aurait pu constituer une séquence incroyablement marquante. En plus de ça, il faut bien avouer que spoiler: la mort de Sirius est vraiment ridicule et le combat entre l'Ordre et les Mangemorts sacrément caricatural (les noirs contre les blancs, on aurait quand même pu faire plus subtil...). La tristesse de Harry passe visiblement très vite, mais heureusement, la scène qui suit est une des meilleures du film : ce combat entre Dumbledore et Voldemort est non seulement spectaculaire mais permet aussi un aboutissement marquant, via la possession de Harry par le Seigneur des Ténèbres.
Autre problème majeur (peut-être même le plus grand), l'interprétation de Daniel Radcliffe, qui s'était déjà dégradée précédemment atteint ici son point le plus élevé de nullité ! Incapable de jouer une émotion convenablement, il promène son visage inexpressif de manière consternante dans toutes les scènes, les plus tristes comme les plus enragées, mais cabotine exagérément quand il fait des cauchemars. Heureusement que son niveau ne descendra pas plus profondément par la suite et que ses camarades sont là pour le rattraper. À ce propos, Imelda Staunton et Evanna Lynch sont particulièrement bien choisies dans leurs rôles respectifs de l'odieuse Dolores Ombrage et de l'excentrique Luna Lovegood. En revanche, Helena Bonham Carter est peut-être un peu trop énervante avec ses rires insupportables.
Très subjectif, c'est selon moi le meilleur film de la saga Harry-Potter, les relations entre les personnages sont excellentes, très biens travaillées. Les combats à la fin sont parfaits, ce sont les meilleures scènes de toute la saga. L'histoire est trop bien, bref j'ai pris un pieds monstrueux et c'est devenu mon préféré.
Personnellement, j'ai été très déçu par cet opus. Je ne suis pourtant pas si dur habituellement avec les adaptations. Mais là, j'ai trouvé le scénario mal construit, déséquilibré, tandis que les scènes s'enchaînent trop vite, certaines scènes tirant en longueur alors que toutes les autres sont survolées: aucune n'est bien traitée. Un parti pris étonnant que celui de faire du livre le plus long, le film le plus court de la saga ! Tout le monde est d'accord pour dire que l'on ne peut pas condenser un livre de 1000 pages en un film de 2h30 (alors d'un film d'1h52! ), mais traiter à l'extrême la rébellion des élèves alors que le contexte politique est à peine effleuré ( l'Ordre du Phénix en est réduite à une peau de chagrin )... Et le plus triste dans tout çà c'est que le réalisateur vous explique avec le plus grand sérieux qu'il s'est attaché à traiter de la montée du totalitarisme et compare les élèves à la résistance française de 1939-1945. Bref, raté!
Bon ne soyons pas si méchant, après tout il s'agit seulement de son 2ème film au cinéma et visiblement, les producteurs ne sont pas si mécontents puisqu'ils lui confient la réalisation du 6ème opus. Tout n'est d'ailleurs pas raté dans ce film, David Yates montre une certaine maîtrise des effets spéciaux ( la bataille située au ministère est remarquable il faut bien le reconnaître ) et la direction des acteurs ( hors dialogue ) est également sans faute. C'est réellement le jeu des acteurs qui donne au film toute sa valeur ( avec mention OPTIMAL pour Gary Oldman et Evanna Lynch ). Il est juste regrettable qu'avec un tel casting tant de personnages face office de figurants !
Il s'en va des fois, des traits de génie qui permet à des réalisateurs de faire des films comme "Harry Potter et la Chambre des Secrets". Ce dernier était d'une rigidité (si on peut dire) hors du commun. Il y'a aussi une chose qui les différencie : l'ennui. Car même si Imelda Stauton est d'une perfection presque impossible à contredire, les autres acteurs (de Radcliffe jusqu'à Gambon) ont l'air d'en avoir un peu marre du tournage et ce long-métrage (qui va peut-être un peu trop vite?).
Et puis en ne parlant pas des interprètes : je voudrais juste signaler que la mise en scène est un peu trop sombre. C'est bien de vouloir comprendre l'environnement (devenu dangereux) de Poudlard, mais il n'est pas non plus obligé de rajouter des teintes de noirceur à chaque scènes!
Dommage, car ça rend le film beaucoup trop déprimant, et donc moins passionnant (surtout pour les ados, envers lesquelles ce film, je le rappelle, était censé être tourné).
super ! le meilleur harry potter selon moi : scénario superbe ,acteurs génniaux , éfets speciaux toujours au top , on inclue une personnage hyper atachante (luna) , et harry qui entraine ses camarades pour combatre les mage noir c st superbe par contre un truc que j aime pas dolores ombrage , elle est tèllement malfaisante , je vais pas être trop violent sinon ma critique risque d être censsurer , je voulais dire un truc mais non car c est du spoil vous savez pour sirius black... ceux qui ont vu le film comprendront , mais sinon le meilleur de la saga j ai vraimment adorrer 4/5
Pour moi, c'est le dernier très bon film Harry Potter parmi les films les plus récents (épisodes 5, 6, 7 1ère partie et 7 2ème partie) de la saga. L'histoire est pas mal du tout (tout le mérite revient à J. K. Rowling), avec un ennemi assez original puisqu'il s'agit du ministère de la magie en la personne de Dolores Ombrage. En plus de l'emprise qu'elle a sur Poudlard, d'autres trames se greffent à l'histoire principale (l'évasion de prisonniers d'Azkaban, les visions d'Harry Potter). Le casting est toujours aussi bons. Les jeunes acteurs (Daniel Radcliffe, Emma Watson, Rupert Grint interprétant respectivement Harry Potter, Hermione et Ron, …) comme les plus âgés (Michael Gambon en Dumbledore, Ralph Fiennes en Voldemort, Gary Oldman en Sirius Black …) incarnent bien leurs personnages. Mais la vraie révélation de ce film est Imelda Staunton (Dolores Ombrage), géniale dans un rôle absolument insupportable (on a vraiment envie de la tuer). Les effets spéciaux sont impeccables, et les scènes d'action sont très bien. La musique de Nicholas Hooper est d'excellente facture, avec beaucoup de morceaux très agréables à écouter (le thème des feux d'artifice, de la Salle sur Demande …). Le final de ce film est très bon. Un des meilleurs Harry Potter.