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T-Tiff
100 abonnés
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4,0
Publiée le 10 février 2014
"Casino Royale" signe un renouveau dans la saga "James Bond". En effet, on est loin des précédents opus avec Pierce Brosnan. Celui-ci est d'ailleurs remplacé par un Daniel Craig tout en muscle, qui finit par nous convaincre. De plus, le scénario prend tout de même une place importante dans le film, avec une intrigue complexe mais particulièrement passionnante. La mise en scène est aussi très réussit avec beaucoup de suspense, surtout dans la célèbre partie de poker qui restera longtemps comme une scène culte de ce vingt-et-unième épisode de la franchise. Eva Green et Mads Mikkelsen sont deux excellents acteurs qui rendent le film encore plus intéressant. Comme il l'avait fait pour "GoldenEye", Martin Campbell relance avec brio la franchise et lui donne un nouveau souffle.
Je pense avoir été comme beaucoup supris par le choix de Daniel Craig dans le costume de 007, et puis dur d'oublier le charismatique Pierce Brosnan, la tâche ne s'annonçai pas des plus facile et au final on est pas déçu loin de la! Comme ont pu le constater beaucoup de fans, le film est plus noir et on retrouve un Bond à ses bases, loin des gadgets, loin de la James bond girl naise et quasi sans intérêt. La réalisation est magnifique, on n'a pas le temps de s'ennuyer et c'est bien tout ce que l'on demande apres tout! Certains dialogues sont d'une finesse et sont particulierement plaisant, et la touche d'humour made in 007, inimitable! Bref un bon James Bond dans les règles du genre, les gadgets en moins et un brin plus violent.
Changement de ton brutal et retour aux sources pour ce Bond nouveau cru. Quoi de plus casse-gueule qu'un virage à 180 degrés, si ce n'est un virage à 180 degrés sur la chaussée détrempée et chaotique d'une série culte et qui suscite toujours une attente phénoménale ? Et alors, quel moyen pour éviter le tête-à-queue ? La réponse est simple : un excellent pilote, j'ai nommé Martin Campbell - qui nous enchantait déja 11 ans plus tôt avec l'excellent Goldeneye - au volant d'un bolide surpuissant en la personne de Daniel Craig, suffisent. Si le second ne suffit en effet pas à nous faire oublier Brosnan, son jeu parfaitement adapté à la réorientation scénaristique du premier font mouche. Fini le Bond correct, poli, sympa ; place à un double zéro qui porte fièrement son matricule et oublie (enfin) de prendre des pincettes. Si ce nouvel angle ferme quelque peu la porte à l'habituelle dose d'humour que distillait Pierce Brosnan, le ton plus mature de Casino Royale m'a totalement accroché, bien aidé, je le répète, par une intrigue qui nous apprend énormément sur l'émergence du jeune Bond, qui vient alors de recevoir sa fameuse "License to kill", et donc sur le personnage dans la globalité des films. Le côté gadget qui fait le charme si particulier de la saga n'a malheureusement rien à faire dans ce Bond nouvelle version, et on déplore sa disparition autant que celle de l'habituel thème qui nous réjouissait d'ordinaire dès lors que l'action s'accélerait ; le réalisme plus soigné du film ne laissant plus la place au premier et un drôle de choix de David Arnold ayant banni le second des écrans radars. En fait, bien que l'on puisse se demander au jour de ces décevantes modifications si Casino Royale possède bel et bien toutes les conditions requises à un Bond de qualité, la profondeur gagnée par la saga l'élève au rang de réussite incontestable. Et ce thème disparu puis retrouvé au moment opportun du générique final est là pour nous le rappeller ; l'agent secret que l'on connait n'est pas mort. Il a certes laissé tomber deux ou trois habitudes superflues, mais il a toujours la classe, et un goût prononcé pour les belles carrosseries. Bref, il s'appelle Bond. James Bond.
La naissance du nouveau James Bond campé par Daniel Craig, est le deuxième meilleur voir équivalent avec Sean Connery. un jeu d'acteur sobre, tourmenté mais sans réel émotion non plus, quelque un peu froid, arrogant et son ego est bien visible. Un jeu d'acteur, qui donne donc à James Bond sa dimension et son histoire, pourquoi devient il 007? Si la mort de sa futur femme, lui donne raison on lui doit aussi de respecter M. Des scènes d'action tonitruantes, bien réfléchit et spectaculaire notamment dans l'immeuble en construction avec ses deux grues, impressionnant! La james bond Girl française, Eva Green, est une beauté que les ancienne n'avaient pas, une brune comme ça, c'est magnifique .... Pardon, c'est les émotions. Judi Dench est étonnante également, un côté mère poule lui est assigné sur son héros.
Après les films avec Pierce Brosnan où l'on avait le droit à des gadgets à gogo, des explosions en tout genre et des méchants mégalos, la franchise James Bond décide de se redonner un coup de jeune en faisant de Daniel Craig (excellent dans le rôle d'ailleurs) un agent secret plus humain avec ses failles et dont les missions sont ancrées dans un contexte plus réaliste. En bref, les producteurs réitèrent ce qu'ils avaient abordé avec Timothy Dalton sauf que cette fois-ci, le succès est au rendez-vous. Si les amateurs de James Bond "à l'ancienne" seront désarçonnés par ce relooking pas toujours cohérent, le fait est que le film se montre diablement efficace. Orchestré par Martin Campbell (déjà réalisateur de "GoldenEye"), "Casino Royale" marque un nouveau départ pour la franchise qui se concentre sur la psychologie de ses personnages plutôt que sur l'action même si celle-ci est tout de même présente dans des scènes impressionnantes de nervosité. Ici, Bond en est à ses débuts et il fait des apprentissages douloureux, notamment en rencontrant Vesper Lynd, sûrement l'une des James Bond Girl les plus intéressantes de la saga incarnée par la sensuelle Eva Green. Comportant un solide casting complété par Judi Dench et Mads Mikkelsen, ce "Casino Royale" est sans conteste une réussite qui annonce de beaux jours pour l'agent 007.
En sortant du cinéma j'étais tellement emballée que j'ai fait des Bonds sur les marches. Evidemment je me suis plantée et j'ai une plaie, mais c'est vrai en plus, j'ai une plaie en dessous du genou. Mais tant pis, c'est pour le nouveau James Bond 00-sexe. Il est génial, Daniel Craig ! Il est sexy, c'est vrai, il est intelligent, il est bandant, il est formidable. J'ai beaucoup envié la jeune Eva Green de se le taper pendant presque tout le film, hein. Ils ont une histoire d'amour magnifique et aussi très dangereuse. Le scénar est extra, les cascades aussi, l'humour... enfin y a tout quoi. Je sais pas ce qui manque à ce film, il faut le voir !
Exit les gadgets explosifs, exit les méchants qui veulent détruire le monde avec le dernier rayon laser à la mode. Martin Campbell lance le nouveau James Bond, plus réaliste, moins fantaisiste, et assez perturbant au premier abord. Le scénario met sur pied une sorte de reboot de l'histoire avec un nouvel agent encore immature, dominé par sa propre violence. Le scénario est alléchant, les scènes d'action sont moins gavantes car moins nombreuses ... mais un brin plus violentes et musclées.Le cocktail rafraichit la franchise et met sur pied un Daniel Craig ultra classe, confronté à une James Bond girl pas comme les autres qui va changer sa vie. Bon bad guy et bon pitch, c'est neuf et c'est très prenant. Je parle pas de l'opening qui nous offre à la fois le meilleur gunbarrel et le meilleur générique de toute la saga. Et enfin un final ouvert sur l'avenir du nouveau 007 et sa métamorphose progressive, et un film qui peut-être n'aurait pas du voir le jour (QoS). Je le redis quand même : C'est du très bon.
James Bond se la joue Jason Bourne. Joué par Daniel Craig, remarquable dans son rôle, nous offrant un Bond comme on en avait plus vu depuis la période Sean Connery, dirigé par Martin Campbell, le revitaliseur de cette saga qui avait déjà redonné un nouveau souffle à cette série avec GoldenEye, et écrit par le revitaliseur d'Hollywood, Paul Haggis, qui venait tout juste de signer Million Dollar Baby, ce Casino Royale redémarre la saga sur de très bonnes bases. "Seulement" 4 étoiles toutefois, car le film souffre tout de même de quelques grosses longueurs au bout d'une heure cinquante (après la mort du Chiffre). Néanmoins, ce James Bond est assurément un sommet de la saga.
Quel film ! Et surtout quelle performance de Daniel Craig ! Prestigieux ! Certains n'étaient pas convaincut qu'il puisse incarner James Bond, mais il nous a montré son épatante préstation, et on ne peut plus se passer de lui. Tandis que le film recèle d'intrigues, de stratégies et de scènes d'action sensationelles (en particulier au début du film) non seulement notre James Bond tombe amoureux mais il sait admirablement tout ce qui se passe autour de lui, resultat : un succès.
Un retour aux sources concluant. Des scènes d'action plus à l'ancienne, (genre une coursuite à pied plutôt qu'en hélico ou en jet pack), un nouvel acteur, plutôt massif, qui fait l'affaire. Un affrontement psychologique assez endiablé lors de la partie de poker, une Eva Green à tomber par terre... tout concorde pour faire de ce Casino Royale le champagne du divertissement. On passera sur la légère baisse scénaristique à la fin et surtout -vrai bémol du film- sur les publicités Nokia et Nissan qui envahissent l'écran... On est déjà continuellement agressé par ce fléau qu'est la pub, qu'on nous laisse tranquille pendant les fims! La scène ou Bond se rend de son hôtel au bureau (intérêt cinématographique d'un tel trajet?) dans sa Nissan, filmé sur toutes ses coutures, est à gerber.
Un très bon film d'espionnage. Daniel Craig joue à merveille James Bond. Casino Royale est la première aventure de James Bond en roman. Eva Green incarne une femme fatale.
Le meilleur James Bond. Le personnage a été retravaillé et Daniel Craig apparait en un James Bond beaucoup plus crédible et intéréssant que le précédent. La franchise s'offre une nouvelle jeunesse (grâce à l'ère Jason Bourne selon les experts) dont elle avait bien besoin.
"Casino Royale" marque enfin le renouveau de la saga James Bond avec à sa tête un nouveau visage, celui de Daniel Craig, gueule cassée, regard d'acier et physique bodybuildé à l'appui. A lui seul il me fait enfin apprécier à sa juste valeur une saga à laquelle je n'accrochais pas particulièrement, mis à part la période Timothy Dalton, il incarne un Bond plus humain aux prémices de sa carrière de double 0, sensible, vulnérable et parfois malmené malgré sa puissance et son intelligence. On trouve donc notre premier agent 007 blond dans une scène de pré-générique superbe en noir et blanc qui annonce justement ce générique, très travaillé et tout à fait bondien avant d'entrer dans le vif du sujet et une scène d'intro décapante ! Une scène d'action incroyable et parfaitement réalisée comme elles seront toutes par ailleurs, l'ère Craig marque aussi un tournant dans la psychologie du personnage, plus sombre et plus torturé comme on le verra encore mieux dans "Skyfall" et c'est sous forme de ce débutant, maladroit mais malin qu'il va se retrouver aux prises avec un vrai "méchant" comme on les aime, cynique, froid, machiavélique et au physique étonnant sous les traits de l'excellent Mads Mikkelsen. Il sera accompagné de JB girls intéressantes et notamment la petite française Eva Green qui détonne et marquera surtout le personnage de Craig sur la durée. Les scènes d'action quant à elles ne sont pas légion mais d'une qualité irréprochable, une autre facette de l'ère Craig qui privilégie bien souvent la tension aux scènes extravagantes, un passage dans un monde plus réaliste qui le fera également mettre de côté la multitude de gadgets superficiels qui a certes fait le charme du mythe mais qui rendait également le personnage improbable. Pour ce renouveau de la saga, c'est Martin Campbell qui prend les commandes, déjà responsable de "GoldenEye", et qui élève son second JB comme certainement le meilleur de la série, avant la sortie de "Skyfall" bien entendu. Le scénario est très travaillé et réserve son lot de rebondissements et la réalisation est au diapason, les scènes d'action, offertes avec parcimonie, sont époustouflantes et l'ensemble, très cohérent permet à Daniel Craig de s'imposer comme le tout meilleur JB de la saga, rien que ça ! Une belle réussite, un virage réussi et un régal pour le spectateur.
Son nom est Craig, Daniel Craig…Alors c’est sans doute un peu cruel de dire ça, mais Casino Royale parvient sans grande difficulté à faire oublier au bas mot 90% des films de la saga. Par quelle magie ? Probablement parce qu’on est enfin en présence d’un James Bond digne de ce nom, qui en a une paire dans le pantalon et n’est pas obnubilé par l’idée de s’en servir sur tout ce qui bouge. Daniel Craig, de par sa carrure, son regard glacial et son côté animal, s’avère la machine à tuer que l’agent 007 se devait d’incarner pour espérer être crédible, et ce dès le premier opus. Les Sean Connery et Roger Moore semblent bien loin avec leur nonchalance exagérée et leur sourire émail diamant. Le nouveau James Bond, c’est du brutal.En ce qui concerne le film, beaucoup de modifications ont également été apportées. Comme il l’avait déjà fait auparavant avec GoldenEye, Martin Campbell souhaitait être au goût du jour. Et ce qui fonctionne aujourd’hui, c’est Jason Bourne, alors va pour Jason Bourne. Finis les gadgets, les roucoulements et les cocktails à n’en plus finir (hormis un clin d’œil d’autodérision très réussi au fameux cocktail préféré de Bond), Casino Royale, même s’il s’appuie sur un scénario archi classique, opte pour un ton beaucoup plus noir faisant la part belle aux affrontements à mains nues particulièrement intenses. Daniel Craig y laissera d’ailleurs deux dents le premier jour de tournage. Résultat, un film d’action vraiment efficace qui donne franchement envie de retrouver l’acteur dans le costume de 007. Il était plus que temps de bousculer un peu le flegme britannique.