Avis : Casino Royale - Page 6

Le film est bien je le conseille a tous a voir !!!

En 2002 la saga James Bond était en piteux état, la faute à des opus de plus en plus mauvais. Ils ont touché le fond avec Meurs un autre jour qui était un échec monumental à tous les niveaux. La décision de faire un reboot pour le suivant a été prise, Brosnan a été remercié et Craig engagé. Nous voici donc en 2006 avec Casino Royale, qui compte bien apporter du changement dans tout ce bazar. Cet épisode dévoile le début du mythe James Bond : l'agent britannique vient d'obtenir son matricule 00 mais une de ses mission tourne mal. Le MI6 décide de l'envoyer en vacances, mais ses responsabilités vont vite le rattraper. Craig montre une nouvelle facette du personnage, celle de son non-professionnalisme. Cela se traduit par de petites entorses aux traditions (l'espion se moque de savoir si son vodka martini est au shaker ou à la cuillère, par exemple) et surtout un mépris absolu de l'autorité de M, ce qui rend Bond parfois un peu tête à claques. L'humour quant à lui est vraiment très discret, une place plus importante aurait pu lui être accordée. Concernant le déroulement global de la mission c'est plutôt correct. Cet épisode met beaucoup plus l'accent sur les course-poursuites à pied et le combat à mains nues. Ces scènes d'action ne perdent pourtant rien de leur dynamisme et sont bien mises en scène. En revanche la fameuse partie de poker du film est assez longue et pour peu que l'on ne connaisse pas les règles le suspense ne fonctionne pas du tout. En résulte une scène qui casse un peu le rythme, tout comme un moment dans la dernière partie du film, qui lui aussi s'étire plus que nécessaire. Pour finir on va revenir sur les deux éléments traditionnels de cette saga : le générique et la James Bond Girl. Le premier se place parmi les meilleurs de la série, avec un design basé sur les cartes inventif et une voix masculine (chose rare) vraiment délicieuse. La Bond Girl, Vesper Lynd, est intéressante et différente de ses prédécesseurs (psychologiquement parlant). S'étendre sur le sujet serait spoiler le film, je me contenterai de dire qu'elle ancre la saga dans quelque chose de plus sombre et torturé, ce qui était l'objectif initial de ce reboot. Dans l'ensemble ce Casino Royale n'est pas le chef d’œuvre dont j'ai entendu parlé mais reste bien, sans plus (heureusement d'ailleurs, parce que c'est quand même le mec qui a fait GoldenEye derrière la caméra).

Un toilettage rafraîchissant d'une franchise poussiéreuse. L'humanisation de Bond fonctionne, le récit est nerveux et les scènes d'action réussies (la première avec le terroriste bondissant du chantier est un must). Avec en bonus un Daniel Graig sec et tranchant et une James Bond Girl qui a enfin queque chose à défendre. Agréable divertissement.

Nouveau James Bond, nouveau visage porté par un élégant et charismatique Daniel Craig qui crève l'écran lors de scènes d'actions intenses et spectaculaires. Un film efficace et plein de tensions qui nous dévoile une intrigue tout simplement captivante et de haute volée, bien que parfois peu claire. Des scènes tendues et remarquables porté par un suspens et une ambiance à couper le souffle. Les musiques cultes, et le générique absolument génial, toujours très plaisant à voir montrant que ce classique n'est pas là pour rigoler et place la barre plutôt haute. Avançant à un rythme virevoltant, ce film riche en cascades explosives, laisse place tout de même à de très légers temps mort, conduisant à une présence d'un léger ennui. Un jeu d'acteurs séduisant et irrésistible. Toutefois, les rebondissement manquent d'approche et de punch malgré l'imprévisibilité de ces derniers. Un cocktail efficace.

Épisode de la série des James Bond qui a évidemment fait polémique en raison du nouvel acteur choisi pour incarner le plus célèbre des agents secrets : Daniel Craig, excellent au demeurant, est blond, ce qui n'était jamais arrivé auparavant dans la saga et qui selon les puristes pourrait nuire à la bonne qualité du film.
Il n'en est évidemment rien et "Casino Royale" est un James Bond comme on l'aime, en certes assez moderne, mais à la recette qui fonctionne toujours, à savoir des intrigues savamment nouées, une "James Bond Girl" sublime, des scènes de cascade réussies, etc. On appréciera également qu'il constitue la genèse de la série avec les grands débuts de l'agent 007 dans ses activités de brute épaisse aux phéromones masculines sur-développées.
La seule chose véritablement à regretter est l'absence de méchant vraiment charismatique, Le Chiffre ne faisant qu'aller et venir sans vraiment apparaitre comme une référence (hormis dans la scène de torture, assez hard d'ailleurs pour la série).
Un bon divertissement et un film grand spectacle efficace.

N'étant pas un fan de la franchise, j'ai mis du temps à visionner Casino Royale. C'est un bon divertissement. Daniel Craig endosse le costume sans problème. Il est dans la lignée des précédents acteurs ayant incarné James Bond. Film d'action se permettant quelques longueurs sans jamais ennuyer le spectateurs. Pour ce qui est du côté espionnage, c'est assez maigre et les rebondissements n'étonnent qu'à moitié, mais est-ce le but ?

ce film rempli parfaitement le cahier des charges d un james bond, action humour suspens chanson original du générique et james bond girl avec quelque chose de plus.
dans cet episode james est tres diferent, beaucoup plus faillible, beaucoup plu humain et beaucoup plus balaise beaucoup plus blond..
je sais que les puristes de l'agent 007 sont divisés sur ce film : certain cri a la trahison et vociferent qu un clone de vladimir poutine n' a rien a faire dans un bond, d'autre clament que casino royal a depousiere le genre et que c'est un prekel magnifique ( adapté du premier roman)a une serie de film aujourd'hui culte.

Comme il a déjà été dit dans la critique de Skyfall, je n’ai jamais été fan de James Bond et pour sûr, ceux que j’ai vus se comptent sur les doigts de la main. Ne pas avoir vu Casino Royale avant d’entendre parler du fiasco Green Lantern – aussi réalisé par Martin Campbell – n’aura pas contribué à me procurer l’envie ni le besoin d’assister à ce que l’on appelle « le renouveau de la saga ». Toutefois, une mise à jour sur le James Bond de l’ère Craig se sera finalement imposée à moi au nombre d’un seul et unique film (Quantum of Solace, découvert à sa sortie, était le parfait exemple du blockbuster inutile). À aucun moment, dans la première partie du film – précédant l’arrivée de notre Eva Green nationale –, il nous est clair que Martin Campbell joue littéralement carte sur table avec ce Casino Royale à priori on ne peut plus banal. Une demi-heure durant, si ce n’est trois quarts d’heure, nous assistons à des cascades à haut risque qui ont plus ou moins d’effet. Hélas rien de bien transcendant à dire vrai. Du James Bond de base qui n’a pas réellement d’intérêt pour les cinéphiles que nous sommes. Cependant, Casino Royale n’est pas film de la semaine pour rien et, comme il est dit précédemment, Eva Green débarque et, en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, nous embarque avec elle. Il ne s’agit pas (uniquement) du charmant sourire de notre James Bond girl française mais davantage du changement que cette dernière apporte à la totalité du film. Les scènes d’action rocambolesques laissent place à une narration inédite où s’associent une légère touche d’humour tout en finesse ainsi qu’une facette bien plus « intelligente ». Ce n’est que lorsque nous pénétrons enfin dans le Casino Royale tant attendu (nous sommes tout de même à la moitié du film) que l’intrigue décolle pour de bon et nous laisse finalement pantois quant au changement radical d’atmosphère entre ces deux parties distinctes. Chaque instant passé autour de la table de poker est une véritable bouffée de chaleur parfaitement dosée qui ne peut nous faire qu’appréhender les évènements à suivre… Toutefois, Casino Royale laisse entrevoir une galerie de personnages légèrement trop conforme pour que l’on y voie que du feu. Pour commencer, il y a cette volonté d’ambivalence. Ce désir d’inventer tel ou tel personnage « parce que ce serait ridicule sans ». Il n’est pas fréquent de voir le grand Mads Mikkelsen en dehors de ses terres natales et, malheureusement, ce dernier se trouve méchamment stéréotypé en figure « intouchable » du méchant pas beau à la cicatrice bien voyante. Sous-exploitation du talent de l’acteur danois, donc. À l’inverse, force est de constater que le personnage d’Eva Green se distingue particulièrement des autres James Bond girls de par l’importance que lui a attribué Campbell au cœur de son histoire. Enfin, je ne me répèterai pas et maintiens que Daniel Craig est probablement le plus brillant de tous les 007. En conclusion, Casino Royale est en effet le renouveau d’une saga endolorie par la catastrophe Brosnan. Brillant d’une lueur purement moderne, la saga aura vite fait de tourner à l’explosion la plus surprenante en matière de ce qui a déjà été réalisé sur l’agent du MI6.

Un bon film d'action, qui gagne en réalisme par rapport aux plus anciens James Bond.
Daniel Craig apporte de la fraîcheur au rôle, sans chercher à imiter ses prédécesseurs.
Le scénario est agréable et le film entraînant.

Dans mon esprit, James Bond ne m'est jamais apparu comme un détective anglais habillé en pingouin, ennuyeux et dépassé. Et pour cause, ne connaissant que Casino Royale et Quantum of Solace, il m'est toujours apparu sous les traits de Daniel Craig.

Bond-Craig est un reboot moderne de l'agent 007 traditionnel réalisé en bonne et due forme. Bond-Craig est, dans un premier temps tout au moins, très agressif, Bond-Craig ne connait pas réellement le sens du mot discrétion, Bond-Craig fonce dans le tas, Bond-Craig aime se faire remarquer, Bond-Craig compte avant tout sur sa force, Bond-Craig fait péter des ambassades, Bond-Craig crashe des Aston Martin de collection. En bref, Bond-Craig est un peu un gros bourrin (comme le montre très clairement la première course-poursuite du film.) Mais alors, c'est tout ?

Et bien non, fort heureusement. Tout l'intérêt du film réside justement dans le fait que l'on va confier à cet homme (car il ressemble d'avantage à un homme qu'à un agent secret) violent, arrogant, égocentrique, imbu de lui-même et peu romantique avec les femmes, une mission qui demandera réflexion, patience et stratégie. On va, de plus, le faire tomber amoureux. Comme si la nature de réflexion élémentaire de Bond venait dire "Coucou, après vos explosions, vous n'oublierez pas de me développer quand même." Car ce qui est malicieux dans Casino Royale, c'est que derrière ces piques de provocation faits à la nature vieillotte de Bond (ajouté au fait que Bond-Craig ne sait point s'habiller, dixit Vesper, la scène du shaker et de la cuillère en est une preuve limpide), Campbell n'oublie pas de lui porter hommage.

Bond-Craig a beau être puissant et musculeux, il est loin d'être invincible. Bond-Craig morfle beaucoup dans le film, autant physiquement que sentimentalement. Il est également utile de signaler que les moments d'audace de Casino Royale ne se sont pas uniquement faits à base d'explosions. On appréciera tout autant les scènes de poker vertigineuses ou celles entre Bond et Vesper.

En bref, à l'image de Bond-Craig, Casino Royale est un film d'action fort impressionnant mais doté d'un scénario tenant sensiblement la route, d'idées ingénieuses et d'une mise en scène énergique.

Quand j'ai vu que Pierce Brosnan ne jouerait plus dans la saga des James Bond, j'étais déçu, qui plus est, ils ont choisi un acteur Blond.
Je me suis donc dit ce film va faire un flop!!!!
Mais au final cet opus je l'ai adoré.
Une histoire très bien construite, un Daniel Craig et une Eva Green (française pour ne rien gaché) tous deux excellents dans leur rôle. Et pour la première fois pas un excès de gadgets.
Casino royal a tout d'un très bon James Bond. C'est une bonne cuvée pour notre plus grand plaisir!!!
A voir et même à revoir!!!!

U nouveau James Bond avec un bon scénario (j'adore le poker!!!) mais il y a moins de gadgets et autres babioles et je trouve que l'univers de James Bond est moins marqué, moins bien représenté dans celui la que dans les précédents. Daniel Craig n'est pas génial; en tout cas Pierce Brosman lui est très supérieur dans ce rôle!

Quelle émotion de voir cette série se renouveler pour changer de cap et franchir le pas des effets spéciaux et gadgets en tout genre pour préférer un Bond plus vivant que l'aurez compris, j'ai vraiment accroché au fait de ne plus voir 007 sauver le monde en l'espace d'un film mais en pleine recherche sur lui-même et tous ceux qui l'entourent.

Réinitialiser James Bond a permis de donner un second souffle a cette saga que Pierre Brosnan, malgré toutes ses qualités d'acteurs avait éloigné de ses sources.

Fini l’esbroufe, exit les gadgets improbables, on revient ici à la froide violence du James Bond de Ian Flemming grâce à l’étonnant Daniel Graig.

Bien que son physique surprenne dans le rôle de l'agent de sa majesté, le caractère de James a rarement été aussi fidèle aux romans.

Casino Royale en ressort comme un film d'action nerveux et réaliste (oui je sais cela surprend venant d'un James Bond) mais qui a perdu le coté clinquant des précédents films.

Chacun pourra se forger son opinion sur ce tournant de la saga.

Avant je l'avait adoré mais en regardant les autres film cette opus va dans tous les sens et toutes les bases Que les anciens film on transcrit sont nické dans ce film mais reste un bon divertissement