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Votre avis sur Casino Royale ?
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Bonne surprise ce James Bond. Plus dark, moins gadget, plus brutal. Le choix de l'acteur Daniel Graig y est pour beaucoup. Quelques pertes de rythme parfois et des dialogues qui prêtent parfois à sourire mais de l'action bien comme on aime voir dans ce genre de film et une James bond girl qui a du chien ! Très agréable moment de cinéma !
de loin le meilleur volet de la saga , surtout après l époque Pierre brosnan et son déluge d effets spéciaux ... ici on repart sur un nouveau genre un nouveau James et quel tres bon choix ! déjà on repart au début James vient juste de devenir un agent spécial et on découvre un personnage plus entier plus violent avec des émotions palpables... un homme qui aime réellement une femme....Daniel Craig est irrésistible dans ce rôle , il réinvente même le personnage par ce côté glacial , body builder , sombre mais en même temps classe , qui impose le respect , combattant , intrépide comme jamais... une vrai tête brûlée. sa relation avec Eva Green est super et voilà la seule vrai histoire de James Bond a mille a l heure pret à tout plaquer pour elle... et qui le changera a jamais qui créeront sont détachement par rapport à la gente féminine , une leçon qu il retiendra. l' histoire est plutôt simple mais terriblement interessante notamment la partie de casino est remarquable , on est capté par l enjeu face a un méchant " le chiffre" remarquablement interprété et mystérieux comme on les aime. plein de rebondissements et de personnages annexes , une belle musique , de beaux décors , costumes , bagnoles....un vrai James plein d action plus crédibles plus humaines , on voit un James qui souffre qui saigne , mortelle en fin de compte..... un excellent opus qui nous apprend beaucoup et remarquablement mis en en scéne.
Julien D
Onze ans après avoir signé le premier (et meilleur) épisode de James de l’époque Pierce Brosnan, le réalisateur Martin Campbell, réalisateur à la filmographie globalement très décevante pourtant, réitère l’exercice avec un nouvel interprète, Daniel Craig, dans le rôle de l’agent 007. La grande originalité de cette 21ème aventure est que, dès son excellent pré-génique, elle s’annonce comme un prequel aux vingt précédentes et ouvre ainsi un nouveau cycle donnant une place plus importante au réalisme de ses scénarios. Les codes de la saga, tels que l’utilisation des gadgets insensés, les méchants surréalistes et les filles qui tombent comme des mouches, sont donc mis de côté au profit d’une histoire bien plus crédible et ancré dans son temps sur fond de détournements financiers au profit du terrorisme international. Si l’action n’est cette fois pas au centre de l’intrigue, les quelques cascades sont impressionnantes, le face-à-face avec Mads Mickelsen (dont le faciès semblait prédestiné à le faire jouer le méchant james-bondien) autour de la table de poker réussit à créer une intensité et un suspense inattendus. Après ça, le scénario traine un peu en longueur dans une dernière demi-heure dont on aurait pu se passer mais l’ensemble reste globalement un coup d’essai royalement réussi pour Daniel Craig qui, comme chaque nouvel acteur de James Bond, a divisé le public.
De l’action de qualité, voire de haut vol, mais pour la vraisemblance, on repassera. Pour l’espionnage aussi, d’ailleurs, parce que le scénario est tellement décousu qu’on a l’impression d’une suite d’épisodes disjoints, qui manquent cruellement d’une colonne vertébrale et d’un vrai enjeu. Sinon, le casting est bon et la longue séquence centrale au casino assez plaisante. Le reste est bien rythmé, mais pas passionnant.
Après Pierce Brosnan, Daniel Craig. Nouvel acteur pour interpréter le célèbre agent 007 dans cette 21e aventure, celui qui joua dans Les Sentiers de la Perdition marque la cassure et sert un personnage froid, implacable et brutal. Face à lui, Mads Mikkelsen rivalise d'ingéniosité et peint un bad guy redoutable. A travers une première mission relativement complexe pour l'agent du MI6, placée sous le signe du poker, les disparités sont nombreuses : retour aux sources pour l'espion, scénarisation différente, contexte novateur, traitement des personnages différent. D'excellentes idées mais également de mauvais points, notamment dans sa durée et sa scène de fin.
Un premier essai transformé pour le nouvel acteur Craig, donnant un coté assez animal au personnage, mais moins raffiné et moins drôle. Casino royale manque un peu d'action, car il est assez fidèle au livre pour la partie casino et la fin (scène du supplice). L'acteur incarnant le chiffre est excellent (c'est le même qui tient le rôle principal dans vahala rising).
On regrette quand même une chose importante par rapport au roman : dans le roman, flemming utilise 3 pages pour décrire les règles du Baccara, alors que le film utilise le poker sans explication. Le résultat, c'est qu'on ne comprend pas vraiment les rebondissements et les subtilités au cours des parties. Dans le roman, les "exploits" ou "déroutes" de jeu sont valorisées et compréhensibles en profondeur. Ce qui permet de garantir tout le suspens de ces scènes, la part du hasard et de maitrise, chose qui n'a pas été retranscrite dans le film, cantonnant le spectateur à un rôle passif et non informé.
Casino royale fut le tout premier James Bond écrit par Flemming, qui inventait là un nouveau style du récit d'espionnage : espion séducteur, haut standing, scène de casino dans une histoire d'espion, grand méchant hyper charismatique et quasi déifié, cocktail, jolie poupée à sauver.
On regrette quand même une chose importante par rapport au roman : dans le roman, flemming utilise 3 pages pour décrire les règles du Baccara, alors que le film utilise le poker sans explication. Le résultat, c'est qu'on ne comprend pas vraiment les rebondissements et les subtilités au cours des parties. Dans le roman, les "exploits" ou "déroutes" de jeu sont valorisées et compréhensibles en profondeur. Ce qui permet de garantir tout le suspens de ces scènes, la part du hasard et de maitrise, chose qui n'a pas été retranscrite dans le film, cantonnant le spectateur à un rôle passif et non informé.
Casino royale fut le tout premier James Bond écrit par Flemming, qui inventait là un nouveau style du récit d'espionnage : espion séducteur, haut standing, scène de casino dans une histoire d'espion, grand méchant hyper charismatique et quasi déifié, cocktail, jolie poupée à sauver.
Vingt et unième opus de la saga, Casino Royale est sans doute le film bondien le plus abouti. Daniel Craig interprête magistralement l'espion britannique grâce à son humour décapant, son regard bleu d'acier et ses faiblesses qui le rendent humain. Pour toutes ces raisons, Craig est sans doute le meilleur acteur ayant incarné ce personnage depuis Sean Connery. Les personnages sont beaucoup plus fouillés tout comme le scénario qui prend le dessus sur les scènes d'actions peu nombreuses mais disséminées au bon moment ce qui donne au film un rythme quasi parfait. Casino Royale redonne de l'envergure à ce personnage et le film se base beaucoup plus sur la psychologie de 007 que sa mission proprement dite. Ce film est donc une sorte de préquel à toute la saga et on attend impatiemment la suite...
Incontestablement un bon cru. Le personnage de James Bond est renouvelé, moins charmeur, plus brut (brute ?). Son affrontement avec le Chiffre se passe de tous les gadgets. Le mythe est modernisé.
Les producteurs ont fait un sacré pari : tout reprendre à zéro ! En refaisant quelque chose de plus contemporain. Bien sûr il y aura ceux qui reprocheront l'abandon l'ancienne "formule", encore qu'elle ait pu changer parfois, surtout avec Roger Moore. Personnellement j'ai apprecié cette nouvelle réalisation, énergique et froide. On perd le second degré qui faisait des James Bond leur incomparable charme. Et c'est je crois ce qui peut vraiment ne pas faire adhérer à la nouvelle série. On perd également les gadgets (de toute façon depuis que Q a disparu, c'était moins savoureux ..), les bases secrètes mégalomanes (y en a avait un peu marre de toute façon), et les Bond girls potiches (là encore les derniers épisodes commencaient à pecher sur ce point). Mais en échange on gagne un vrai scenario et de l'action "crédible" qui tranchent avec les invraisemblances lourdingues des derniers épisodes de l'ancienne série. La réalisation a su conserver , avec plaisir, la beauté des décors, l'ambiance cosy et un pointe (petite) de "so british" qui nous font aimer les James Bond. A l'heure du bilan, il ne faut pas chercher à se raccrocher aux anciens James Bond, qui de toute façon finissaient par se parodier eux-mêmes. Il faut prendre cette nouvelle formule tel que. Personnellement j'adhère mais il manque malgré tout une forme de "charme" que j'aurais aimé retrouver.
Un nouveau 007 bien troussé dans l'ensemble. Un "blockbuster glamour" qui assume sa place. Daniel Craig est parfait pour jouer un James Bond renouvelé dans son caractère plus violent. Voilà un bon film-produit qui offre du divertissement sans prendre le spectateur pour un gros débile.
J'ai tellement à dire sur ces nouvelles aventures de James Bond. En effet, ce film est à la fois très différent et très semblable aux précédents opus de la série. Très différent par son héros, plus musclé, sportif et froid que ses prédécesseurs et par son contexte : fini l'anticommunisme primaire propre à la guerre froide, place à l'après 11 septembre 2001, d'ailleurs cité dans le film, mêlant terrorisme et transactions financières douteuses. En revanche, la réalisation des scènes d'actions est, elle, toujours aussi impeccable, l'humour si particulier du héros est toujours présent dans de nombreuses situations et les beaux paysages italiens (le lac de Côme, Venise) donnent un charme fou aux aventures de notre espion. On passe donc un bon moment sans que cela soit un grand moment. En effet, le film est trop long. Les baisses de rythme sont nombreuses faisant parfois passer le film pour une retransmission télévisée du championnat du monde de Poker sur Canal
spoiler:
et surtout le film n'en finit pas de finir avec de nombreuses fins potentielles qui semblent avoir été juxtaposées artificiellement
. De plus, certains rebondissements sont très prévisibles et certaines idées astucieuses spoiler: - localiser un inconnu dans la foule via son téléphone portable -
sont réutilisées jusqu'à l'usure. Sans oublier un plan fixe incroyablement long et inutile pour que l'on puisse admirer le logo de l'ordinateur portable du héros. Sony avait rêvé d'un tel placement de produit, James Bond l'a fait. Ajoutées à cela, des courses du héros qui prennent parfois un aspect irréel spoiler: (à Madagascar et sur l'aéroport)
et font davantage penser au T1000 de Terminator 2 ou à un super-héros de Comics qu'à un être humain. La nouvelle James Bond Girl principale a beaucoup de dialogues (c'est une vraie nouveauté) mais a beaucoup moins de charme et de présence qu'Halle Berry dans les dernières aventures de Bond. Quand à l'autre James Bond Girl, Caterina Murino, son utilisation sent le réchauffé spoiler: tant elle a le même rôle et le même destin que Teri Hatcher dans « Demain ne meurt Jamais » (1996)
. En conclusion, depuis peu, avec les aventures d'un autre espion portant les mêmes initiales, Jason Bourne (« La Mort dans la Peau » et « La Mémoire dans la Peau »), on a fait beaucoup mieux que les James Bond dans le même genre. James Bond, malgré cette volonté de métamorphose évidente, ne réussit pas à se renouveler suffisamment et c'est dommage.
. De plus, certains rebondissements sont très prévisibles et certaines idées astucieuses spoiler: - localiser un inconnu dans la foule via son téléphone portable -
sont réutilisées jusqu'à l'usure. Sans oublier un plan fixe incroyablement long et inutile pour que l'on puisse admirer le logo de l'ordinateur portable du héros. Sony avait rêvé d'un tel placement de produit, James Bond l'a fait. Ajoutées à cela, des courses du héros qui prennent parfois un aspect irréel spoiler: (à Madagascar et sur l'aéroport)
et font davantage penser au T1000 de Terminator 2 ou à un super-héros de Comics qu'à un être humain. La nouvelle James Bond Girl principale a beaucoup de dialogues (c'est une vraie nouveauté) mais a beaucoup moins de charme et de présence qu'Halle Berry dans les dernières aventures de Bond. Quand à l'autre James Bond Girl, Caterina Murino, son utilisation sent le réchauffé spoiler: tant elle a le même rôle et le même destin que Teri Hatcher dans « Demain ne meurt Jamais » (1996)
. En conclusion, depuis peu, avec les aventures d'un autre espion portant les mêmes initiales, Jason Bourne (« La Mort dans la Peau » et « La Mémoire dans la Peau »), on a fait beaucoup mieux que les James Bond dans le même genre. James Bond, malgré cette volonté de métamorphose évidente, ne réussit pas à se renouveler suffisamment et c'est dommage.
ce volet de James Bond (le premier avec Daniel Craig) se révèle intéressant dans le sens où il offre un scénario cohérent et raisonnable, des scènes d'actions pas trop poussifs et quelques scènes de tension.
Bon, soyons clairs, je n'aime pas James Bond 007. Le seul que j'ai apprécié est le tout premier "Dr No". Mais ça fait tellement longtemps que je ne me souviens pas de grand choses. D'ailleurs pour moi, Sean Connery est le SEUL vrai James Bond. Et donc, je me fichais pas mal de la trilogie avec Daniel Craig. A vrai dire, Casino Royal ne me tentait pas et je ne l'aurait sûrement pas visionné si on ne m'avais pas offert la trilogie en Blue Ray. Et comme tout film que j'ai dans ma collection et que je n'ai pas vu. Et bien je me réserve une soirée tranquille devant ma télé. Souvent je passe d'excellentes soirées, mais pour ce film, ça n'a pas vraiment été le cas. Bon, à vrai dire, je ne m'attendais pas à ce flot de scènes d'actions totalement exagérés. Je veux dire, les vingt premières minutes c'est que de l'action. Et attention, c'est pas de l'action comme Fight Club, là c'est de l'action à la Jason Statham! Le truc de fou, James Bond poursuit un gars en criant qu'il le veut vivant, il le poursuit sur des grus il fait des cascades de fous, il y a des explosions par tout, c'est le bordel et au final: il tue le gars! Expliquez-moi l'utilité de cette scène! C'est là tout le problème de ce film (tout comme The Avengers) on nous balance des scènes d'actions exagérés sans raisons! En fait, il ne se passe rien durant la première heure à part de l'action (et des femmes). C'est réellement quand James Bond joue au Poker face au méchant que ça devient intéressant. Donc là, je dois admettre que la partie de Poker est assez sympa à regarder. C'est calme et il y a un peu de suspens. Et puis, y a des retournements de situations de fous! Le gars sort deux pairs et BAM, James sort un quinte fluch (c'est extrêmement rare). Et donc après, on pourrait croire qu'il y a un affrontement final mais en fin de compte, il n'y pas de combat. On ne fait que voir James se faire torturer nu avec une corde. Pour qu'au final, le méchant perde stupidement. Et en fait, on voit qu'il reste encore trente minutes, donc je me dis, ils vont sûrement nous servir une fin complète. Tu parle! Pour le coup, les quinze dernières minutes sont d'une nullité! C'est quoi cette scène d'action?! C'est pire que le scène des grus. Pour qu'au final, James se retrouve au point de départ. Et on veut nous faire croire que le réalisateur donne une profondeur au personnage?
spoiler:
Bouh c'est trop triste, sa copine l'a trahi et elle est morte!
. Nan franchement, y a des moments où je me suis demandé si les scénaristes allaient bien parce qu'il y a plein de passage WTF dans le film. Au final, j'ai pas vraiment passé une bonne soirée, je me suis trop demandé "pourqoi tout ça?". 3/5 Voilà qui est dit!
. Nan franchement, y a des moments où je me suis demandé si les scénaristes allaient bien parce qu'il y a plein de passage WTF dans le film. Au final, j'ai pas vraiment passé une bonne soirée, je me suis trop demandé "pourqoi tout ça?". 3/5 Voilà qui est dit!
Un James Bond nettement au-dessus de la moyenne, même s'il reste un James Bond. On ne nous impose que le minimum syndical des poncifs du genre: les gadgets, les filles faciles sur la plage, etc. Il y a bien encore quelques traces de psychologie à deux balles ("Oh James, pourquoi vous obstinez-vous dans le nihilisme existentiel de votre métier? Pourquoi cette solitude à laquelle vous vous condamnez? Laissez parler le coeur de petit oiseau qui sommeille en vous! Etc."), mais on se recentre bien vite sur l'essentiel: la lutte contre les méchants très méchants, le poker les yeux dans les yeux, les agents doubles, etc. Pas trop de séquences choc délirantes: on n'est pas dans "Mission impossible 25", et c'est plutôt une bonne nouvelle. Un Daniel Craig dur comme du béton mais qui porte aussi pas mal le smoking, même si ses compétences de secouriste laissent à désirer. Ca change agréablement de Pierce Brosnan et de sa tronche à "Feux de l'amour". Un méchant réussi (bonne promotion pour le fils des gangsters de "Pusher"!) Une James Bond girl avec beaucoup de charme et de mystère. Même la fin est plutôt inattendue. On va pas jusqu'à dire que c'est là un nouvel aboutissement du septième art, mais ça se regarde avec plaisir et ça promet de chouettes retrouvailles un de ces jours avec the new 007.
Un bon James Bond, avec un très bon rythme, de bonnes cascades et un scénario qui tient la route.
On découvre ici un Craig fidèle à lui-même (monsieur qui ne sourit jamais) et donc, annonce la couleurs des prochains films.
Le meilleur JB de Craig.
On découvre ici un Craig fidèle à lui-même (monsieur qui ne sourit jamais) et donc, annonce la couleurs des prochains films.
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