Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Il ne fait aucun doute que le cinéma chinois tient en Wang Chao un auteur majeur. (...) Si ces personnages à la fois singuliers et familiers, ces intérieurs noyés dans la fumée et le froid, ces situations à la fois si lointaines et si proches touchent autant, c'est bien qu'ils sont travaillés par un seul et même désir, celui d'approcher au plus près de l'humain.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Libération
par Gérard Lefort
Le réalisme frontal de Jour et nuit est d'autant plus saisissant qu'il étend son empire jusqu'au surnaturel (...).
Télérama
par Jacques Morice
Tableaux soignés, les scènes exposent des épreuves et des rites de passage sur un rythme envoûtant. Il y a quelque chose de l'ordre du sortilège dans ce film de Wang Chao, auteur remarqué de L'Orphelin d'Anyang.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
par Vincent Ostria
Si Jour et nuit ne renouvelle pas le cinéma chinois, c'est indéniablement une oeuvre d'une exigence et d'une élégance sans faille.
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
L'histoire de cet apprenti est comme une vieille fable philosophique que l'auteur Wang Chao raconte, dans un paysage hivernal et rugueux, avec une certaine lenteur et ce qu'il faut d'habileté technique, cadrages très précis, plans séquences. Et c'est beau.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Moins percutant, plus appliqué que le film qui avait révélé le très grand talent de son auteur, Jour et nuit n'en possède pas moins de réelles qualités, ne serait-ce que dans sa manière de suggérer la terrible solitude de la condition moderne.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
Un beau film fragile sur des personnages dépossédés de tout, y compris du désir d'avoir prise sur leur vie. Si l'on garde en mémoire la force aride du premier film de Wang Chao, (...) on peine à retrouver dans Jour et Nuit cette rigueur des partis pris de mise en scène qui nous avait tant séduits. Néanmoins, il serait dommage de s'arrêter à cette déception première (...).
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Rémy Batteault
Si l'aspect surnaturel (...) fonctionne sans problème, ce n'est pas toujours le cas avec des scènes réalistes aux dialogues prononcés la plupart du temps de manière atone. Mais c'est un parti pris fort que le cinéaste maintient de bout en bout. Si l'aventure vous tente, n'hésitez pas !
Paris Match
par Christine Haas
Wang Chao dépasse le réalisme de cet éclairage social par un récit très poétique, dont le style parabolique s'appuie sur le "Livre des rites".
Studio Magazine
par Sophie Benamon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Bijan Anquetil
Grande rigueur esthétique, dépouillement de la mise en scène et jeu hiératique des comédiens reflètent l'âpreté des conditions de vie du pays ainsi que de l'univers mental de Guangsheng.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
par Elisabeth Lequeret
En rabattant le couvercle de la fable chamanique sur la marmite de l'histoire de moeurs, Wang Chao perd en partie la cruauté qui faisait le prix de L'Orphelin d'Anyang. Trop ou pas assez, il reste dans un entre-deux théorique, même si fécond de promesses.
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
Un tour de force aussi sûrement maîtrisé qu'absolument non rock'n roll. (...) Plans glacés, construction au carré, épure fine et sentie, pas de doute, il assure Wang Chao, comme un vieux maître, mais sans la rage ni la soif d'expérimentation d'un jeune outsider. (...) Le film se trouve trop souvent coincé par l'effet pervers du classicisme. La faute à un manque de souplesse du scénario qui amollit indéniablement le film, ramené à son côté cyclique le plus planplan (...).
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Express
par Laurence Liban
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Première
par Olivier De Bruyn
Le scénario souffre parfois d'un certain didactisme, mais le portrait incisif de la réalité chinoise et la maîtrise de la mise en scène intéressent et séduisent.
La critique complète est disponible sur le site Première
Zurban
par Olivier Pélisson
Mêlant réalisme populaire, poésie sensuelle, avec une pointe d'humour, peu de dialogues et beaucoup de sobriété, cette chronique venue d'ailleurs séduit avec discrétion.
L'Obs
Il ne fait aucun doute que le cinéma chinois tient en Wang Chao un auteur majeur. (...) Si ces personnages à la fois singuliers et familiers, ces intérieurs noyés dans la fumée et le froid, ces situations à la fois si lointaines et si proches touchent autant, c'est bien qu'ils sont travaillés par un seul et même désir, celui d'approcher au plus près de l'humain.
Libération
Le réalisme frontal de Jour et nuit est d'autant plus saisissant qu'il étend son empire jusqu'au surnaturel (...).
Télérama
Tableaux soignés, les scènes exposent des épreuves et des rites de passage sur un rythme envoûtant. Il y a quelque chose de l'ordre du sortilège dans ce film de Wang Chao, auteur remarqué de L'Orphelin d'Anyang.
L'Humanité
Si Jour et nuit ne renouvelle pas le cinéma chinois, c'est indéniablement une oeuvre d'une exigence et d'une élégance sans faille.
Le Figaroscope
L'histoire de cet apprenti est comme une vieille fable philosophique que l'auteur Wang Chao raconte, dans un paysage hivernal et rugueux, avec une certaine lenteur et ce qu'il faut d'habileté technique, cadrages très précis, plans séquences. Et c'est beau.
Le Monde
Moins percutant, plus appliqué que le film qui avait révélé le très grand talent de son auteur, Jour et nuit n'en possède pas moins de réelles qualités, ne serait-ce que dans sa manière de suggérer la terrible solitude de la condition moderne.
Les Inrockuptibles
Un beau film fragile sur des personnages dépossédés de tout, y compris du désir d'avoir prise sur leur vie. Si l'on garde en mémoire la force aride du premier film de Wang Chao, (...) on peine à retrouver dans Jour et Nuit cette rigueur des partis pris de mise en scène qui nous avait tant séduits. Néanmoins, il serait dommage de s'arrêter à cette déception première (...).
MCinéma.com
Si l'aspect surnaturel (...) fonctionne sans problème, ce n'est pas toujours le cas avec des scènes réalistes aux dialogues prononcés la plupart du temps de manière atone. Mais c'est un parti pris fort que le cinéaste maintient de bout en bout. Si l'aventure vous tente, n'hésitez pas !
Paris Match
Wang Chao dépasse le réalisme de cet éclairage social par un récit très poétique, dont le style parabolique s'appuie sur le "Livre des rites".
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Grande rigueur esthétique, dépouillement de la mise en scène et jeu hiératique des comédiens reflètent l'âpreté des conditions de vie du pays ainsi que de l'univers mental de Guangsheng.
Cahiers du Cinéma
En rabattant le couvercle de la fable chamanique sur la marmite de l'histoire de moeurs, Wang Chao perd en partie la cruauté qui faisait le prix de L'Orphelin d'Anyang. Trop ou pas assez, il reste dans un entre-deux théorique, même si fécond de promesses.
Chronic'art.com
Un tour de force aussi sûrement maîtrisé qu'absolument non rock'n roll. (...) Plans glacés, construction au carré, épure fine et sentie, pas de doute, il assure Wang Chao, comme un vieux maître, mais sans la rage ni la soif d'expérimentation d'un jeune outsider. (...) Le film se trouve trop souvent coincé par l'effet pervers du classicisme. La faute à un manque de souplesse du scénario qui amollit indéniablement le film, ramené à son côté cyclique le plus planplan (...).
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Première
Le scénario souffre parfois d'un certain didactisme, mais le portrait incisif de la réalité chinoise et la maîtrise de la mise en scène intéressent et séduisent.
Zurban
Mêlant réalisme populaire, poésie sensuelle, avec une pointe d'humour, peu de dialogues et beaucoup de sobriété, cette chronique venue d'ailleurs séduit avec discrétion.