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Simon1310
150 abonnés
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2,0
Publiée le 23 octobre 2012
Je m'attendais à un film d'horreur avec un beau père cherchant la famille parfaite, et j'ai eu droit à un téléfilm de M6, plus digne d'un thriller qu'autre chose. Le film est beaucoup trop sage en terme de violence et de morts, malgré que l'on a faire à un psychopathe de première, on le voit rarement faire preuve de mauvaise actions se cachant toujours derrière une apparence bienveillante, il faudra attendre la fin pour voir son vrai visage, et voir les morts qui se comptent sur les doigts d'une main pleuvoir. Toutefois un scène qui m'a marqué, celle du début où se préparant à partir de la maison où il vivait avec son ancienne famille, on voit le carnage qu'il a fait; cela promettait quelque chose qui malheureusement ne s'est pas concrétisait, le film retombant par la suite dans la lenteur d'un thriller du vendredi soir. Le film n'est pas mauvais, mais aurait du offrir des scènes de tensions et de suspenses qui ne sont jamais arrivés, c'est dommage.
Je rejoins un peu certaines critiques sur Le Beau-père, premier du nom. C’est un film qui affiche de belles intentions, un solide début, qui par certains aspects pourra faire penser au Dentiste, mais qui n’offre pas un résultat aussi pertinent. C’est un peu trop fade. En effet, malgré les efforts des acteurs, globalement de qualité même si certains personnages, notamment celui de la mère restent un peu convenus, il faut bien le dire, le tueur incarné par Terry O’Quinn de belle façon n’est pas assez dégrossi. Pourquoi tue-t-il ? Quelle est sa pathologie ? Quelles sont ses contradictions ? Ce qui m’avait séduit sur des films comme Terreur sur la ligne version 1978 c’était justement cette capacité à créer des tueurs en série crédibles, a priori bien « normaux » mais dont on voyait les troubles par derrière, et là c’est trop simpliste comme traitement. Et puis il y a quelques personnages secondaires mal exploités à la présence peu utile. Le scénario est lui aussi un peu trop tiède. Très bon point de départ, le film reste émaillé de quelques belles séquences, mais globalement il y a peu de meurtres, pas vraiment d’enquête, et ça patine un peu dans la semoule. Bon on ne s’ennuie pas et le film n’est pas désagréable à suivre, mais ça manque d’enjeu, de gros rebondissements, et au final le film donne l’impression qu’il manque quelques pièces pour franchement entrainer les choses. Sur le plan de la forme ça reste un film sans grande surprise. Un peu déçu par l’ambiance, à mon sens trop neutre, mais l’ensemble est propre malgré tout, bénéficiant d’une mise en scène solide qui permet précisément de rattraper quelques scènes d’atmosphère, ainsi que la bande son, bien utilisée. C’est en fait plus la photographie qui manque d’ambition ici. Franchement Le Beau-père est un petit film de série B pas déplaisant, qui vaut le coup d’œil comme ça pour l’amateur du genre principalement, car on ne peut pas dire que ce soit un incontournable. Divertissant, mais il y a des défauts. 3.
Jerry Blake et sa famille semblent incarner la famille recomposée idéale, du moins c'est peut-être ce qu'espère le beau-père, Jerry Blake... The Stepfather est un honnête petit thriller des années 80, qui vaut surtout pour la prestation de Terry O'Quinn, qui se distinguera plus tard dans Lost.
J'ai été séduit par ce petit thriller bien maîtrisé venu de Grande-Bretagne. Il y a la dose de suspens qu'il faut, une histoire sur un concept original (encore aujourd'hui) et crédible, avec des acteurs convaincants. Mille fois mieux que son remake.
Serial killer classique mais malgré tout très plaisant à voir. Ici la sacro sainte famille américaine est tout à la fois magnifiée par son héros et mise à mal par la réaction de la fille de sa future victime. L’acteur principal, Terry O'quinn qui s'est fait une réputation depuis avec la série "Lost" donne une vision très crédible de ce personnage psycho rigide à l’extrême qui court après le rêve de la famille parfaite chère à l'oncle Sam et qui ne supporte pas le moindre accro dans le tableau idyllique qu’il s’efforce de construire, préférant tuer tout le monde avant d’aller reconstruire ailleurs une autre famille. Ne s’agirait-il pas plus prosaïquement d’un sentiment de culpabilité dû à une difficulté à assumer une frivolité qui l’amène à se lasser rapidement de ses partenaires ?
Alors j'annonce la couleur tout de suite, pour une fois, je préfère le remake ! J'ai découvert le remake de 2009 en premier, ce que je ne fais habituellement jamais, et j'avoue en avoir été très agréablement surpris. Ce n'est donc que tardivement que je me lance dans le visionnage de l'original, sorti en 1987 et réalisé par Joseph Ruben, et que je trouve moins bon, tout simplement. Le film s'inspire de la vraie histoire de John List, un tueur qui a tué toute sa famille avant de passer à une autre. Bon et bien, le scénario de ce film est donc basé sur ce fait-là, c'est-à-dire que nous suivons un homme qui se fait passer pour un excellent père de famille et réussi à s'infiltrer de cette façon avant de vouloir tuer tout le monde. Je ne connais pas l'histoire vraie derrière tout cela mais le scénario me plait en tout cas beaucoup ! Simplement, par rapport au remake, je trouve ici que le scénario est peu plus "mou". Nous avions dans le film de 2009 beaucoup plus de suspense, même si le tout était certes prévisible, et le personnage du beau-père laissait de temps en temps apparaître ses faiblesses, notamment au travers de crises de colère qu'il ne maitrisait pas. Ici, le fait qu'il arrive à se maitriser rend le film un peu plus lisse, d'ailleurs, j'ai trouvé la dernière demie-heure assez longue. Malgré tout, je trouve tout de même le film assez prenant et j'aime beaucoup spoiler: le revirement de situation, notamment lorsqu'il dit vers la fin "Wait a minute... who am I here ?" qui fait totalement plongé le film dans l'horreur. Nous pouvons également y voir une certaine critique de l'image de la famille nucléaire américaine parfaite, vivant en banlieue proprette. En ce qui concerne les acteurs, nous y retrouvons Terry O'Quinn, surtout connu pour son personnage dans "Lost", Jill Schoelen et Shelley Hack qui jouent dans l'ensemble très bien. "The Stepfather" n'est donc pas extraordinaire mais se laisse malgré tout regarder assez facilement.
Pas très novateur mais on passe un bon petit moment devant ce thriller, j'avais bien aimé le remake (mais très vite fait) alors j'ai décidé de visionner l'original. Malgré des longueurs et le manque d'action, le film passe plutôt vite et offre une fin convenable... Je le conseillerais pas forcément, mais c'est à voir si on aime ce genre !
On savait déjà que les belles mères étaient difficiles. Certain beau pères comme celui ci n'ont rien à leur envier. Terry O Quin compose un beau portrait de sociopathe.Belle mécanique. Belle progression dramatique dans cet angoissant thriller.
C'est rien de dire que la 1ere scène nous met tout de suite dans le bain...un bain de sang. Ecrit Par rien moins que Donald E Westlake qui est juste un des meilleurs auteurs de la série noire made in USA (ha la série des "Parker") et a aussi travaillé sur cette adaptation "le beau pére" (et ses 2 suites) est pour moi une trilogie culte que j'ai vu une demi douzaine de fois. Pas sur que la qualité cinématographique soit tout à fait à la hauteur de mon engouement mais je ne sais pas pourquoi j'adore ce film. Terry O'Quinn, qui sera plus tard l'une des figures marquantes de la série "lost" y campe un psychopathe plus vrai que nature. Ferez vous partie du fan club ?....4 / 5.
Un film d'épouvante horreur plus proche de la série "fais moi peur" que "texas chainsaw massacre", on n'est pas loin de créer le genre film d'horreur familial. Mais bon c'est toujours rigolo de tomber sur des acteurs révélés plus tard comme John Locke ici de Lost avec encore des cheveux. Je ne sais pas s'il est vraiment nécessaire que je me tape son remake mais bon, les nanards sont parfois source de perles.
Un thriller facile à suivre mais qui reste pas dans les mémoires. On apprécie le côté inquiétant du beau-père ( que personne ne reconnait alors que ce dernier est responsable d'une tuerie un an auparavant ) mais le manque d'action est flagrant.