Mon compte
    Bad Times
    Note moyenne
    3,0
    2815 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Bad Times ?

    418 critiques spectateurs

    5
    80 critiques
    4
    127 critiques
    3
    59 critiques
    2
    81 critiques
    1
    38 critiques
    0
    33 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Sebi Spilbeurg
    Sebi Spilbeurg

    82 abonnés 1 005 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 mai 2014
    Depuis quelques années, David Ayer s’est prêté au jeu de réalisateur (le dernier en date de cette critique étant Sabotage, avec Arnold Schwarzenegger). Et si vous lisez bien cette phrase, vous comprendrez que cinéaste n’est pas la vocation première du bonhomme, plutôt scénariste à ses heures. C’est d’ailleurs de sa main que nous devons les scripts d’U-571, de Fast & Furious (seulement le premier opus), de S.W.A.T. – Unité d’élite et de Dark Blue. En aurais-je oublié un ? Oh que oui ! Celui du brillantissime Training Day, d’Antoine Fuqua, avec Denzel Washington (d’ailleurs oscarisé pour ce film) et Ethan Hawke. Alors oui, il est curieux de voir ce que peut donner un tel scénariste quand il s’essaye à la réalisation. Et comme toute profession, tout commence quelque part ! Pour David Ayer, c’est un film, intitulé Bad Times, et avec en tête d’affiche Christian Bale.

    Bad Times suit le parcours de Jim Davis (Christian Bale), un ancien militaire, qui se doit d’avoir un travail afin de faire venir sa fiancée mexicaine de l’autre côté de la frontière. Et pour cela, il attend sa mutation dans les services de police de Los Angeles. Une attente qui se fait longue. Donc, pour tuer le temps, il fait les quatre cents coups avec son ami Mike (Freddy Rodríguez), également au chômage. Des virées en voiture, avec drogue, femmes et armes à feu sur leur chemin. Qui se répètent et se répètent… Cela ne vous rappelle rien ? Training Day, bien entendu ! Et quand l’on sait que David Ayer en est le scénariste, la comparaison avec le film d’Antoine Fuqua ne va plus vous quitter d’une semelle une fois Bad Times commencé !

    Une comparaison qui parait évidente, tant Bad Times ressemble à Training Day. Rappelez-vous, ce dernier suivait le parcours de deux flics des STUPS qui, en journée, rendaient visite à un dealer, s’arrêtaient boire un coup chez un pote, pouvaient magouiller avec des gangs. Sans compter que l’un des personnages principaux pouvait se montrer véritablement dérangé, prêt à menacer n’importe qui avec son arme, même pour plaisanter. Et tout cela pour dénoncer la corruption chez les policiers, qui s’avéraient bien plus impitoyables que les criminels eux-mêmes. Avec Bad Times, c’est exactement le même schéma, allant jusqu’à nous offrir des scènes équivalentes (boire un coup chez un pote, trafiquer avec un dealer…). Du coup, en refaisant le même film, on a bien du mal à voir où David Ayer veut nous dire ou nous emmener.

    D’autant plus que le film, à la différence de Training Day, ne se déroule non pas sur une mais plusieurs journées. Alors, imaginez un peu le schéma narratif de Training Day qui se répète dans un long-métrage. Cela donne une histoire qui semble ne jamais vouloir se terminer. Et qui fait l’impasse sur les différentes pistes que proposait le scénario de base. Notamment en ce qui concerne le personnage de Jim Davis, un ancien militaire ayant des séquelles de ce qu’il a vécu et qui devait se voir dans ses faits et gestes. Surtout que les autres protagonistes le soulignent souvent, qu’il n’est plus le même qu’avant. Seulement, sa folie, son manque d’être sur un champ de bataille, nous ne le remarquons quasiment jamais. Juste sur la fin, avec sa fiancée et lors d’un échange qui tourne mal. En somme, le passé sanglant du personnage n’occupe que 10 minutes sur un film qui en fait 1h55, passant littéralement à la trappe. Alors que c’est pourtant ce détail scénaristique qui aurait pu faire de Bad Times un sérieux rival à Training Day, en surfant sur l’actualité (les soldats américains en Irak).

    Quant au casting, en tout cas pour les seconds rôles, nous avons l’impression de retrouver les mêmes personnages que dans Training Day (les bandits sont principalement des Noirs ou des Latinos). Petit problème : Antoine Fuqua avait pris des têtes connus pour ces rôles-là, allant de Snoop Dog à Cliff Curtis (ce dernier ayant été vu dans des films tels que Sunshine, Die Hard 4, 10 000, La Faille ou encore Colombiana). Ici, bah… on cherche encore !! Il y a juste Terry Crews, déjà présent dans Training Day. Quant à Christian Bale, il est toujours aussi bon acteur. Mais ayant un rôle équivalent à celui de Denzel Washington (niveau mentalité, imprévisibilité et danger qu’il représente), nous nous retrouvons lassés par le mauvais reflet de miroir qu’il représente (Washington ayant bien plus de charisme et de prestance que Bale sur ce coup). Même constat pour J.K. Simmons, qui ne fait nullement le poids face à Tom Berenger (Platoon, Sniper, Inception). Du féminisme dans ce monde de brute ? Oui, ce qui fait d’ailleurs toute la différence avec Training Day, une actrice ayant bien plus de place au scénario. Seulement, mettre en avant des personnages féminins n’est pas le fort de David Ayer, qui avait su les éviter dans le film d’Antoine Fuqua (Eva Mendes ne servait que de godiche avec qui coucher). Ici, la pauvre Eva Longoria se retrouve avec un rôle vraiment dispensable, voire même énervant.

    Et que vaut David Ayer en tant que réalisateur ? Bah, écoutez… pas trop mal ! Le bonhomme nous ressert un film à la Training Day, avec le même genre de plans, de séquences (basées sur des discussions entre les personnages plutôt que sur l’action, peu présente), d’ambiance (souvent agrémentée de musiques hip-hop), et d’effets de mise en scène intéressants (ralentis lors de la fusillade finale, délires clipesques quand Jim Davis voit son envie d’être en guerre refaire surface…) malheureusement sous exploités à cause du scénario (encore une fois, le fait que les séquelles post-traumatiques de Jim se remarquent à peine dans le film).

    En clair, et insistons une dernière fois, Bad Times est en réalité une nouvelle version de Training Day. Mais qui n’a pas la classe de son modèle, car se montrant répétitif (une grosse impression de déjà-vu), voire tout simplement inférieur (notamment en ce qui concerne le scénario et les acteurs). Lui faisant perdre son intérêt, et instaurant par moment un sentiment d’ennui (1h55, c’est un peu long pour un tel long-métrage). Pas mauvais en soit, le film se regarde et se suit sans déplaisir. Il possède même certaines qualités qui font que David Ayer mérite le titre de réalisateur. Mais, encore une fois, Training Day est passé avant, c’est tout !
    Julien D
    Julien D

    1 199 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 mars 2014
    Connu pour avoir écrit les scénarios de quelques-uns des polars les plus désenchantés et des films d’action les plus acérés que nous nous offert Hollywood en ce début de 21ème siècle, David Ayer a pris la décision de mettre en scène lui-même les pérégrinations de ses deux nouveaux anti-héros que sont Jim David, un ancien militaire déjanté incarné par un Christian Bale en pleine forme, et Mike Alvarez, un repris de justice, sans doute le meilleur rôle de Freddy Rodriguez. Le récit se scinde en deux parties, l’une ayant lieu dans un Los Angeles ténébreux et la seconde au Mexique, où les images sont bien plus lumineuses. Si la moitié urbaine de l’intrigue accentue, à travers la violence dont font preuve les personnages, le regard cruel que le réalisateur avait déjà donné de la capitale californienne et en particulier de ses forces de l’ordre, toute la partie mexicaine fait terriblement retomber le rythme. Grâce à la prestation viscérale des deux acteurs mêlée à une mise en scène survoltée, ce thriller crépusculaire dépasse les limites du banal petit film de gangsters pour accéder à une dimension de drame psychologique intense et de chronique sociale subversive.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 26 février 2014
    Attention ! Contrairement à ce que laissent suggérer l'affiche et le synopsis, Bad Times est loin, mais alors très loin d'être un clone de Training Day. D'ailleurs, ce n'est même pas un polar ! On parlera plutôt de drame. Un drame dont sont victimes Christian Bale qui a été ravagé par la guerre ainsi que Freddy Rodriguez qui est sous l'emprise de son meilleur ami. Et la descente aux enfers dépeinte par David Ayer sera l'une des plus malsaines jamais filmées aux Etats-Unis. C'est bien simple, une bonne moitié de film est consacrée à des séquences en voitures où le duo est soit défoncé, soit ivre mort, au choix. Et cette redondance finira par donner un sacré coup au film dont le rythme pâtira. Parce que quarante minutes de mecs agressifs drogués jusqu'à l'os, ça finit forcément par agacer. Alors certes il y aura bien plusieurs séquences chocs pour relancer la machin et qui sont dans le fond réussies (la visite chez Terry Crews, les scènes avec Eva Longoria ou encore la visite de Jim chez son ex petite amie) mais qui ne nous aideront pas non plus à nous passionner pour cette histoire cruellement vide d'enjeux. Car au fond les personnages errent en attendant d'être appelés pour du travail... Franchement comme histoire on a déjà vu plus palpitant.
    Les choses sont d'autant plus regrettables que malgré cette absence quasi-totale de scénario, le suspense est parfois à son comble, le personnage de Christian Bale étant totalement imprévisible et capable du pire.
    Car c'est bien là ce qui permet au film d'atteindre la moyenne : son personnage principal est un vrai pourri (il me fait un peu penser à Nicolas Cage dans Escale à la Nouvelle-Orléans) ! La première scène, montrant ses exploits guerriers plante le décor : il n'hésite pas à tuer un ennemi qui s'est rendu, et il semble prendre un plaisir absolu. Impossible de nier l'excellence du jeu de Bale qui à nouveau démontre qu'il peut passer d'une peau à l'autre sans problème (il jouait pour la première fois Batman un an plus tôt).
    Enfin pour se rattraper le film est tout de même très bien réalisé, avec à la fin un excellent ralenti et une image parfois volontairement sale de manière à accentuer le malaise ressenti par les personnages.
    Pour son premier film David Ayer plante le décor : sa filmographie sera sans concession et anti-hollywoodienne au possible. Dommage que le scénario soit aussi insipide et que l'ensemble soit si mou.
    MaCultureGeek
    MaCultureGeek

    1 081 abonnés 1 224 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 janvier 2016
    Bon, là je vais pas me faire trop d'amis. Allant à l'encontre de la pensée générale, je considère désormais que "Bad Times" est un grand film. Oui, je le clame avec fierté, et même si c'est pûrement personnel, si ce n'est que subjectif, je vous invite à lire ma critique, histoire de comprendre, un tant soit peu, mon point de vue. Cet article ne sera pas aisé à rédiger. Il me faut, encore plus que d'habitude, bien structurer ce que j'écris, et ne pas me tromper dans mes propos. Pour cela, je vous promets une certaine qualité. Commençons. Avant hier, je n'avais pas encore vécu un coup de coeur venant d'une oeuvre de David Ayer. Vous devez vous en douter, aujourd'hui, c'est chose faîte. Mais comment puis-je tant aimer ce film, alors que sa note globale ( tant sur Allociné que Sens Critique ) est à ce point différente de la mienne? Pour le coup, j'aime à penser n'être pas le seul à l'apprécier; c'est même fort probable, mais en lisant les articles, j'ai soudainement eu l'impression d'être seul face à une marée d'avis mitigés. Seulement, je ne les comprends pas. A mon stade, je pense que c'est plus du ressenti personnel que de la vérité pure et dure; disons juste que je ne pourrai vous donner que mon avis sur le film en question, un avis subjectif et loin de la vérité. Oui, cela ne change pas de l'accoutumée. Mais il est temps de parler de l'oeuvre, et de vous faire comprendre pourquoi je l'apprécie tant. Pour commencer, j'ai trouvé la mise en scène particulièrement plaisante : originale, efficace et inventive, elle fait part d'un bon rythme, et sait comment montrer les scènes d'action. Y'a pas à dire, David Ayer a vraiment du talent. Cependant, on pourra tout de même lui reprocher certains effets un poil clipesques, mais l'idée rentre bien dans l'aspect malade de la personnalité de Bale, alors bon ... L'autre gros point positif du film s'avère, à mon sens, être l'écriture de l'oeuvre. C'est fort, intelligent, et même si l'idée de base n'a rien de novatrice, j'aime à penser que sa manière de traiter l'intrigue même du film est assez fouillée et particulière pour permettre à "Bad Times" de se démarquer des autres films du genre. Lorgnant, quelques fois, sur la tension propre de l'excellent "Voyage vers l'enfer", le film trouve son originalité dans sa propre modernité, alliant au mythe ancien du guerrier traumatisé la nouveauté des drogues, et tous les thèmes qu'elles entraînent. En ressortent donc de nouvelles thématiques, accompagnées d'un réalisme saisissant, lui même favorisant par l'aspect très réaliste ( oui, répétition, je sais ), immersif, de la mise en scène d'Ayer ( rappelant "Sabotage", sorti quelques années plus tard ). Vous l'aurez compris, niveau impact sur le spectateur ( cela aussi est subjectif ), c'est vraiment puissant. D'autant plus que la personnalité du héros, vétéran de la Guerre du Golfe ( la deuxième, si je ne m'abuse ), est étrangement bien écrite, et terriblement fouillée. Le film n'étant jamais manichéen, son personnage principal ne l'est lui même jamais : oscillant constamment entre le calme et la tempête, entre le radical et le modéré ( des termes volontairement choisis, histoire de vous donner une image qui colle un minimum avec l'actualité ), trouvant toujours ce déséquilibre parfait propre à la schyzophrénie. Et justement, ce personnage, Christian Bale l'incarne à la perfection : méconnaissable dans son personnage, imprévisible même dans son regard, l'acteur change complètement de manière de jouer ( j'emmerde tous ceux qui diront qu'il est un mauvais acteur ), jusqu'à finalement s'effacer complètement derrière son rôle. Le résultat est saisissant. Rodriguez fait tout de même pale mesure à ses côtés, et même s'il joue bien, il n'atteindra pas toute la puissance émotionnelle que Bale nous offre. Une puissance qui atteindra son paroxysme à la fin de l'oeuvre, déchirement de tristesse. Une conclusion terriblement efficace, quoi qu'un poil trop rapide à mon goût. Néanmoins, il ne pouvait se terminer autrement. Alors je le dis : aussi subjectif que cela puisse vous paraître, "Bad Times" est à mon sens un grand film. Preuve à l'appui, j'ai cédé à sa magie.
    CeeSnipes
    CeeSnipes

    284 abonnés 1 708 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 janvier 2014
    David Ayer est un scénariste de talent. Après avoir fait ses classes sur les excellents U.571, The Fast and the Furious et le moins bon S.W.A.T., il a connu la reconnaissance avec Training Day ou encore Dark Blue.

    En 2005, il passe derrière la caméra avec Harsh Times, le retour au pays d’un vétéran de la Guerre en Irak devenu complètement fou et violent. A la recherche d’un boulot (et surtout d’une échappatoire à leur malheur), l’immense Christian Bale et le compétent Freddy Rodriguez passent des journées entières dans South Central, un lieu hostile, même pour ses habitants où même les passages dans des épiceries sont des endroits propices à la violence verbale et physique. D’une violence contenue particulièrement éprouvante (surtout quand elle explose, comme cette scène où un homme se fait trancher la gorge dans un restaurant, devant les yeux de Jim & Mike), Harsh Times piège son spectateur avec énormément d’humour noir (les scènes avec Kenneth Choi) et des dialogues criants de réalisme (la scène avec Terry Crews) avant de le rappeler à la réalité. Ceci est exacerbé dans la deuxième partie du film, qui déplace notre duo, accompagné de l’excellent Chaka Forman derrière la frontière, dans un road trip qui tourne très mal. Le tout est remarquablement bien mis en musique par Graeme Revell, avec des morceaux exceptionnels de DJ Muggs.

    Avec son premier film, David Ayer s’installe encore une fois à Los Angeles et crache toute sa colère d’un système qui semble délaisser les vétérans avec cet excellent Harsh Times, un coup de maître pour un coup d’essai.
    Enarpilod
    Enarpilod

    32 abonnés 483 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 décembre 2013
    Dans le même genre que Training Day, la recette est classique et révèle une histoire sans surprise avec une fin complètement prévisible. Christian Bale prouve encore une fois qu'il est capable de se fondre dans son personnage pour lui donner un maximum de crédibilité. Freddy Rodriguez est pas mal non plus dans le rôle du meilleur pote. On peut dire que le duo fonctionne bien et c'est le principal à retenir. Bon film dans l'ensemble avec des scènes drôles et tordues mais rien de mémorable.
    Candice L
    Candice L

    36 abonnés 830 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 décembre 2013
    Un bon film sur les frasques de deux hommes a Los Angeles. Bon casting, bon scenario, rien de bien transcendant mais l'ensemble est bien ficele.
    gregbutton
    gregbutton

    27 abonnés 694 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 décembre 2013
    Un film plutot moyen mais absolument éblouit par C. Bale, qui sort son meilleur rôle pour moi et démontre parfaitement les conséquences du retour de guerre à la vie "normale" pour un homme. Dans un cadre pas normal certes mais ceux qui ont vu comprendront. Un personnage marquant.
    NeoLain
    NeoLain

    4 971 abonnés 4 741 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 novembre 2013
    Premier long métrage pour David Ayer. Il n'est pas né de la dernière pluie. En effet, il connait très bien Los Angeles, mais dans ses recoins profonds. Loin du mythe L.A, plutôt une immersion en apnée dans le quartier se nommant South central. Bad Times est viscéral, les prestations sont toutes fortes, surtout celle de Christian Bale en soldat de retour. Complètement pris par les conséquences de la guerre, son esprit et comportement ne s'arrange pas en bien. Il traine avec son meilleur pote, ils font le tour des quartiers jours et nuits dans une caisse. Boivent et fument. Des grands gamins marginaux qui se perdent. Suivre ce mind war est impératif.
    Jesuisla Aussi
    Jesuisla Aussi

    2 abonnés 44 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 octobre 2013
    Intense, bouleversant et borderline, "Bad times" bouscule, ne laisse pas indemne. Une critique cinglante des Marines laissés pour compte, dans laquelle Christian Bale incarne magistralement la peau d'un anti-héros de l'après guerre. Exceptionnel.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 3 octobre 2013
    Je ne sais pas quoi dire d'autre sur ce film si ce n'est qu'il m'a tout simplement retournée, l'ambiance haletante et électrique m'a scotchée à mon fauteuil!
    L'histoire est prenante par moments dérangeante mais franchement on ne s'ennuie pas une seconde, c'est criant de réalisme et puis quelle interprétation! Christian Bale m'a encore une fois de plus complètement bluffée et malgré son personnage antipathique au possible j'ai pas pu m'empêcher de le trouver attachant (je dois vraiment avoir un problème!^^) peut-être parce pour ma part il est tout simplement victime de la vie (traumatisé de guerre) spoiler: ça m'a tellement fait mal au coeur quand il est mort, mais c'est à la hauteur du reste, grandiose! Et d'une certaine manière c'est ce qu'il méritait...

    Enfin bref, j'ai adoré ce film, à voir absolument! :)
    gnomos
    gnomos

    53 abonnés 660 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 septembre 2013
    Filmé sous forme de road-movie intra-Los Angeles, avec quelques rares virées au Mexique, ce film sombre repose entièrement sur les épaules de Christian Bale, dans le rôle difficile d'un ancien militaire atteint de SPT . Chômeur, il espère un avenir dans des forces de police qui semblent aussi pourries que les voyous, accompagné de son meilleur ami, lui aussi demandeur d'emploi. Mais bien sûr, ses démons ne le lâcheront pas, et il vivra une descente aux enfers sans espoir de retour. C'est aussi une belle histoire d'amitié. Prenant.
    VeganForAnimalRights
    VeganForAnimalRights

    133 abonnés 216 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 24 juin 2013
    Un tel machisme devrait être interdit, tout comme les navets de cette dimension. La vision de tant de bêtise crasse est si pénible qu'on a la nausée du début à la fin.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 17 juin 2013
    Film intéressant, mais scénario trop basique, on suit la vie de deux copains dont l'un cherche un travail et l'autre qui se déchire avec mais pas vraiment de rebondissements, disons que c'est du déjà vu, mais bravo tout de même à Christian Bale qui prend son rôle au sérieux ( comme d'habitude ) !
    3/5.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 30 avril 2013
    Niveau réalisation ou jeu des acteurs rien à redire mais j'ai pas du tout aimé le scénario, le duo principal n'inspire aucune sympathie, font plus pitié qu'autre chose. On dirait des ados qui font les 400 coups mais là pour des adultes ça passe moins bien. On attend tout le film qu'ils se fassent flinguer ou coffrer pour qu'ils arrêtent leur vie de branleur... Pas terrible.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top