Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Elle
par La rédaction
Bien sûr, Josiane Balasko est au top! Mais aussi pour le numéro stupéfiant de Sylvie Testud en cafetière hurlante.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Libération
par Ayon
La vie est à nous, après cela, mélange doux-amer (Picon) de vaudeville et road movie, de Pagnol, Simenon et Goodis, sourire et mélo, flottement et tenue, est une bizarrerie attachante.
aVoir-aLire.com
par Catherine Le Ferrand
Le duo fonctionne merveilleusement et laisse échapper de vrais moments d'émotion qui font oublier les faiblesses d'une histoire un peu trop belle.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par François Bégaudeau
Où il se confirme que la comédie populaire française a toujours la réconciliation pour horizon, fabriquant dans la fiction un microcosme du spectatorat massif et consensuel (...) Mais c'est surtout l'adaptabilité de Sylvie Testud qui force l'admiration.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Brazil
par Eric Coubard
Les traits sont lourds, les cafés mornes et la dérision plate. Cette histoire d'amour de camionneur et de rivalités de bistrots campagnards est une grosse déception.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
Beauf de toutes régions, si possible analphabète, campagnard et tétant ta bibine avachi sur un comptoir PMU, La Vie est à nous est pour toi.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Express
par Laurence Liban
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
par La rédaction
Ennuyeux et peu convaincant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Comme tous les tableaux revisitant une France éternelle qui n'aura finalement existé que dans le cinéma d'avant-guerre, ce film coupé de tout confine au surréalisme.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
(...) ce long-métrage file droit dans le mur comme un quinze tonnes sans chauffeur.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Olivier de Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Ouest France
par La rédaction
Un ratage total que ce mélange des genres sans queue ni tête, qui ne tient pas debout.
Première
par Olivier De Bryun
Franchement désolant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Score
par Julien Welter
Elle est presque haïssable cette façon de ne proposer, à des maux intemporels (...) qu'une fantaisie falote clamant : "C'était mieux avant !"
La critique complète est disponible sur le site Score
Studio Magazine
par Jean-Pierre Lavoignat
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Guerand
(...) une piteuse adaptation que les comédiens, condamnés à surjouer en permanence, n'arrivent pas à sauver.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Martine Laval
De brèves de comptoir d'une beaufitude atterrante en pensées dégoulinantes de bons sentiments, les deux loufiates mère et fille (Josiane Balasko et Sylvie Testud) n'ont pas d'autre distraction que de fantasmer sur un camionneur en grève.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Olivier Pélisson
Les acteurs n'y peuvent rien, la lourdeur l'emporte dès la première scène (...)
Elle
Bien sûr, Josiane Balasko est au top! Mais aussi pour le numéro stupéfiant de Sylvie Testud en cafetière hurlante.
Libération
La vie est à nous, après cela, mélange doux-amer (Picon) de vaudeville et road movie, de Pagnol, Simenon et Goodis, sourire et mélo, flottement et tenue, est une bizarrerie attachante.
aVoir-aLire.com
Le duo fonctionne merveilleusement et laisse échapper de vrais moments d'émotion qui font oublier les faiblesses d'une histoire un peu trop belle.
Cahiers du Cinéma
Où il se confirme que la comédie populaire française a toujours la réconciliation pour horizon, fabriquant dans la fiction un microcosme du spectatorat massif et consensuel (...) Mais c'est surtout l'adaptabilité de Sylvie Testud qui force l'admiration.
Brazil
Les traits sont lourds, les cafés mornes et la dérision plate. Cette histoire d'amour de camionneur et de rivalités de bistrots campagnards est une grosse déception.
Chronic'art.com
Beauf de toutes régions, si possible analphabète, campagnard et tétant ta bibine avachi sur un comptoir PMU, La Vie est à nous est pour toi.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
Ennuyeux et peu convaincant.
Le Monde
Comme tous les tableaux revisitant une France éternelle qui n'aura finalement existé que dans le cinéma d'avant-guerre, ce film coupé de tout confine au surréalisme.
Le Parisien
(...) ce long-métrage file droit dans le mur comme un quinze tonnes sans chauffeur.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Ouest France
Un ratage total que ce mélange des genres sans queue ni tête, qui ne tient pas debout.
Première
Franchement désolant.
Score
Elle est presque haïssable cette façon de ne proposer, à des maux intemporels (...) qu'une fantaisie falote clamant : "C'était mieux avant !"
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
(...) une piteuse adaptation que les comédiens, condamnés à surjouer en permanence, n'arrivent pas à sauver.
Télérama
De brèves de comptoir d'une beaufitude atterrante en pensées dégoulinantes de bons sentiments, les deux loufiates mère et fille (Josiane Balasko et Sylvie Testud) n'ont pas d'autre distraction que de fantasmer sur un camionneur en grève.
Zurban
Les acteurs n'y peuvent rien, la lourdeur l'emporte dès la première scène (...)