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Un visiteur
4,5
Publiée le 19 mai 2015
Un film qui me fais rappelez beaucoup de souvenir le réalisateur ah mélanger l'humour et cest proche de la réalité . Se qui prennent la route pour aller en Turquie Ou au Maghreb comprendrons :D
C'est une excellente comédie , il y a peut-être beaucoup de clichés mais tout au long du film on est captivé et on suit les aventures de Johnny .Julien Courbey est excellent dans son rôle , ainsi que tous les autres acteurs. Cette comédie plaira particulièrement au français d'origine algérienne mais elle peut aussi plaire à plusieurs personne car elle est dynamique tout au long du film.
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2,5
Publiée le 11 août 2013
Le paradoxe des cultures selon Djamel Bensalah! Johnny est montrè comme un jeune français de banlieue qui vit avec des beurs mais aussi comme un garçon sympathique et attachant partagè entre deux pays même s'il se dit algèrien à part entière! Comèdie haute en couleur, "il ètait une fois dans l'Oued" èvoque sur un ton plaisant l'histoire de sa rèussite, celle de devenir un èpicier en Algèrie! Dommage que la rèalisation ne soit pas vraiment maîtrisèe et que le scènario se laisse aller à des facilitès (le mariage arrangè) car Julien Courbey est constamment habitè par son personnage! La partie de foot prend même des allures de tragèdie. « Un vieil homme assis vaut mieux qu’un jeune homme debout »...une perle de sagesse qui portera ses fruits pour ce petit blanc beau parleur! Avec la participation amicale de Atmen Kelif, Eric et Ramzy et Elie Semoun qui ne font que passer dans le film! Musicalement, Hoba Hoba Spirit nous revisite le mythique « Reality » de Richard Sanderson entre fusion rock et reggae...
Le postulat de départ est simple et malin,portant sur l'inversion des valeurs. Ici,c'est un titi parisien qui veut aller ouvrir son épicerie en Algérie,en se croyant Beur depuis des générations. Par moments,l'abattage de Julien Courbey fait mouche,l'acteur étant enfantin et bondissant. Mais Djamel Bensalah lisse toutes les situations en présentant une Algérie de carte postale et des personnages gentils tout pleins. Je sais qu'on est dans une comédie française,mais tout de même...
Malgré quelques longueurs et une intrigue abracadabrante, Il était une fois dans l'Oued ne manquera pas de réjouir les dépités du Raid, alors que Djamel Bensalah retrouve l'humour désinvolte du Ciel, les oiseaux et... ta mère. Djamel Bensallah (Le Ciel, les oiseaux et ta mère, Le Raid) enchaîne les séquences sans souci de cohérence ni de mise en scène. L'idée d'une fantaisie sur un processus d'intégration à l'envers était pourtant sympathique. Mais c'est quand même une comédie dont je ne me lasse ps et c'est rare que je met 5 étoiles mais là pour moi ce film est culte. Ce film est quand même réaliste et j'ai rit out le long du film (quoi que je l'ai vu une vingtaine de fois). Derrière bien des aspects rebutants, se cache un film témoignant d’un amour sincère pour son pays de la part d’un jeune metteur en scène qui revient ici à l’esprit de son premier long métrage. Avec "Il était une fois dans l’Oued", Bensalah confirme qu’il est plus à l’aise dans le registre de la comédie ancrée dans la réalité.
TRES bon film très bien fait les jeunes de cites vont aimer et s'identifie au personnages ya que "les beur" qui peuvent vraiment comprendre et apprécier ce film a sa juste valeur et julien courbey est au top
On ne peut que reconnaitre la volonté de Djamel Bensalah de vouloir relancer un genre qui connait depuis quelques années un essoufflement particulier, il tente donc de relancer un genre qui reste difficile à maitriser et bien que le film est loin d’être une comédie atteignant des sommets, il faut reconnaitre que Il était une fois dans l’oued possède des ingrédients intéressants qui mérite d’être soulignés. On retrouve donc une approche volontairement kitch que ce soit par les affiches mais aussi par le titre du film référence au film de Sergio Leone qui montre bien que l’on est dans la parodie qui ne se prend pas du tout au sérieux. Le réalisateur surfe donc sur une mode qu’il a lui-même initié par le Ciel les oiseaux et ta mère et dont d’autres y ont apportés leurs touches, notamment avec l’intéressant Camping à la ferme. Ainsi les comédies traitant des jeunes de cités deviennent un terrain d’exploitation de plus en plus connus, en reprenant aussi au passage tous les clichés et le réalisateur s’attèlera quelques secondes sur des problèmes sérieux, dommage qu’il ne rentre pas plus dans le sujet : problème d’identité de l’immigré et conflit israélo-arabe. Ainsi le film qui aurait pu aller beaucoup plus loin, reste qu’un film sympathique sans plus, avec un scénario et des dialogues sans grand malignité transcendante. Le réalisateur se contente de filmer pendant plus d’une heure qu’une bande de potes aidés pas des ghests-stars comme Eric et Ramzy et Olivier de Kad et Olivier. On est surtout frappé par le décalage vis-à-vis du français errant en Algérie, qui se fait refouler aux entrées de boite de nuit du Maghreb ou encore aux maladies venus de France. Rappelons que le film est inspiré d’une chanson du 113 : Tonton du Bled, tentative ainsi de rendre accessible l’Algérie aux français, les scénaristes ont voulu transposer l’histoire en 1988 afin de ne pas laisser apparaitre les massacres, la pauvreté et les intégristes dans le scénario, ainsi l’histoire est placée avant la guerre civile, le réalisateur souhaitant ainsi rendre le pays comme une carte postale, sorte de paradis sur terre. Il y a ici une idée un peu niaise selon laquelle beaucoup de problèmes seraient résolus si les français acceptaient leur part algérienne et inversement. Il s’agit certes d’un sujet délicat mais on est ici face à une initiative louable qui mérite tous nos honneurs. Certes le réalisateur se contente d’un film politiquement correct, ne choquant au passage personnes, au risque de pousser son film vers l’oubli dont peu de monde se souviendront plus tard.
Dans le petit monde du cinéma français, il y a Djamel Bensalah, réalisateur plutôt habile de films grand public, toujours drôles mais avec une petite dimension dramatique et intelligente sous-jacente à un propos potache.
Son troisième film, pitché par les énergumènes du 113 (pas les rappeurs français les plus intelligents, mais assurément les plus drôles, ou presque), est une chronique sur les étés au bled des jeunes de banlieue à la fin des années 80. Une comédie évidemment, comme d’habitude chez Bensalah, mais aussi un film un peu amer, très nostalgique de cette époque qui paraît révolue, à la réalisation plutôt efficace (même si Bensalah ne peut s’empêcher de mettre des scènes potaches hors de propos), au scénario plutôt étonnant et aux interprétations vraiment bonnes. Julien Courbey sait être un emmerdeur sans être hystérique, il arrive à insuffler une sympathie bienvenue à un personnage plutôt bien écrit, mais l’acteur qui tire vraiment le meilleur de son personnage, c’est l’excellent Sid Ahmed Agoumi, dans le rôle du patriarche, convainquant, drôle et émouvant.
Il était une fois dans l’Oued est donc un film étonnant, convainquant, amusant et surtout passionnant, une vraie chronique réussie comme on en voit trop peu aujourd’hui.
Pas un film très captivant, ni très drôle, ni très orginal, avec beaucoup de clichés (j'adore les clichés mais là le second degré n'est selon moi pas assez frappant pour que ce soit drôle). Et le personnage principal, Johnny dit Abdel Bachir est insupportable et difficile à cerner. Néamoins, le film de Bensalah reste plutôt agréable à regarder, avec de belles images de l'Algérie et une bande originale plutôt réussie. Les apparitions d'Eric & Ramzy et Elie Semoun sont très comiques. 'Il était une fois dans l'Oued', sitôt vu, sitôt oublié.
Un film sans grand intérêt, les gags sont dépassé, de plus le scenario bardé de clichés n'arrange pas les choses. Et cerise sur le gâteau, le jeu des acteurs est lamentable!
Le postulat de départ était intéressant quoique étrange, mais après ça s'enlise carrément, et on a même du mal à finir ce mauvais film, qui n'a rien d'une comédie, puis que c'est pas drôle, il faudrait d'ailleurs créer un nouveau jour pour toutes ces comédies pas drôles, au moins on le saurait à l'avance...
l idee de depart etait interessante mais le realisateur tombe dans le film commercial en incorporant des apparition d humouriste inutile. le comble c est que l acteur principal qui doit se marier n est meme pas algerien ainsi que elie seimoun et eric judor heu c est quoi le projet serieux ...