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🎬 RENGER 📼
7 201 abonnés
7 512 critiques
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2,5
Publiée le 29 septembre 2006
Il était une fois dans lOued est à coup sur, lun des meilleurs films de Djamel Bensalah (Le Ciel, les oiseaux et ... ta mère ! - 1998 & Le Raid - 2001). Johnny Leclerc, alias Abdel-Bachir, un jeune banlieusard, dune mère Normande et dun père Alsacien, simagine quil est un Algérien pur souche et décide donc de retourner dans son pays natal. Entre des parents catholiques et méchamment beauf, et un ami qui ne le croit pas du tout, Abdel-Bachir va devoir compter que sur lui même pour prouver quil est bien, ce quil est. On retrouve un Julien Courbey méconnaissable et vraiment formidable, dans une comédie où lon prend plaisir à rire des nombreux clichés que nous offre Djamel Bensalah, sur la famille Algérienne. Des répliques Franco/Arabe excellentes et une B.O du groupe 113 tout à fait remarquable.
On veut essayer de faire un "vérité si je mens" en sens inverse, et c'est la catastrophe. Trop bavard, on essaye par tous les moyens de faire rire, mais ça ne marche pas. L'acteur principal a une tête à claque tellement il veut être pitre... Aucune subtilité dans ce film, et ce n'est pas en faisant trop qu'on arrive à sa fin. Cette caméra qui ne se pose pas une minute finit par éclater les yeux du spectateur, déjà que les oreilles elles sont foutues. Bref... un vrai massacre du genre, mais pourtant cette seule étoile est dédiée à la réussite de pouvoir tourner avec pleins de figurants anarchistes.qui réussissent après tout à situer l'ambiance...
Quatre étoiles, peut entre généreuse car tout n'est pas parfait dans ce film, mais il contient une telle fraicheur et une telle subtilité qu'il mérite d'être récompensé. Julien Courbey est excellent dans son rôle d'Abdel Bachir. Un thème original, entre des immigrés fiers de leurs origines mais qui préfèrent ne pas retourner aux sources alors que d'autres ne rêvent que d'exotisme.
Ça m’a bien fait marrer ce film, une histoire qui peut nous rappeler les comédies cultes sur le multiculturalisme, tels que Qu’est ce qu’on a fait..., Le père noël est une ordure ou encore Tellement proches. Un bon casting et de beaux lieux de tournage en Algérie, un film culte délirant. Je le déconseille aux moins de 10 ans. 3/5
Film plutôt moyen avec une histoire vraiment trop légère, une réalisation à peine passable et des acteurs moyens hormis Julien Courbey qui est souvent drôle. La seule chose réussie est la mise en scène du bled très proche de la réalité et qui en fera sourire plus d'un quand à ses caricatures même si tout cela reste du vu et revu. Un divertissement donc moyen qui ne restera pas inoubliable.
A la lecture du synopsis, on se dit "why not ?". Quand on regarde le film, il y a un côté sympa à découvrir les us et coutumes des Algériens, la confrontation des cultures. Mais alors, qu'est-ce qu'on a honte pour Julien Courbey. Une vraie tête à claques. Le côté grand-guignolesque est vite soûlant. Et les clichés que l'on réactive allègrement. Pour finir, le côté gnan-gnan, tout le monde il est beau. Il faut pouvoir supporter.
bonne comédie bien sympathique, avec julien courbey toujours aussi drole. Nombreux ont du se reconnaître pas dans son personnage, mais dans l'environnement autour. Pas mal de clin d'oeil à la culture algérienne, ce qui est un dans ce film très plaisant.
Les premières images, détournant les logos THX et Gaumont, laissent craindre le pire : un bon gros nawak genre Le raid. Heureusement, Bensalah semble avoir médité sur la claque qu'il s'est prise et, passées ces quelques secondes mégalo-pouët-pouët, rectifie le tir. Finis, les délires scato-aventureux, place à la gentille comédie éthnique. Mythomane notoire, notre héros incarné par Julien Courbey (qui en fait des tonnes, mais avec une conviction touchante) se tape l'incruste dans une famille d'origine algérienne rentrant au pays pour les vacances. En jouant sur les oppositions (Courbey qui ne jure que par le mode de vie algérien, son pote qui fait tout pour y échapper), Bensalah porte des messages assez attendus, à savoir qu'on peut être moderne tout en acceptant la tradition (grâce à une conclusion heureuse qui doit tout au hasard, ce qui est assez douteux comme démonstration), qu'on est du pays dans lequel on se sent chez soi, que le bonheur ne se trouve pas dans le pognon. Cette déclaration d'amour à l'Algérie souffre d'une vision carrément manichéenne (c'est bien simple, tout le monde est super sympa, là-bas) qui, dans sa volonté de ménager tout le monde, pêche par excès de zèle (le passage sur les juifs part certes d'un bon sentiment mais est vraiment lourdingue).