Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Africultures.com
par Anne Crémieux
Malgré quelques longueurs et une intrigue abracadabrante, Il était une fois dans l'Oued ne manquera pas de réjouir les dépités du Raid, alors que Djamel Bensalah retrouve l'humour désinvolte du Ciel, les oiseaux et... ta mère.
La critique complète est disponible sur le site Africultures.com
Ciné Live
par Emmanuel Cirrode
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Elle
par Patrick Williams
Une comédie hilarante, où Julien Courbey renouvelle le rôle de l'emmerdeur, façon Michel Blanc.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Le Parisien
par Hubert Lizé
(...) comédie bien ficelée qui dynamite avec humour les clichés sur l'intégration. Avec un Julien Courbey irrésistible en titi banlieusard.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Score
par Romain Cole
Djamel Bensalah (...) devient brillant quand il rit des différences culturelles. Il greffe le meilleur humour algérien sur le canevas de la comédie française (...)
La critique complète est disponible sur le site Score
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Brazil
par Alex Masson
Bensalah y affirme enfin un vrai propos. Dommagequ'il soit noyé dans une réalisation ramenant la comédie française des années quatre-vingt: molassonne.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Cahiers du Cinéma
par Cyril Neyrat
Refusant d'être une "simple comédie", le film se veut aussi fable sur la tolérance et la difficulté à accepter ses racines. (...) Belle idée entravée par le souci de Bensalah de jouer sur plusieurs tableaux.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
(...) fable colorée et humaniste, parfois maladroite, mais qui a au moins le mérite de réconcilier les communautés.
Le Monde
par Isabelle Regnier
Djamel Bensallah (Le Ciel, les oiseaux et ta mère, Le Raid) enchaîne les séquences sans souci de cohérence ni de mise en scène. L'idée d'une fantaisie sur un processus d'intégration à l'envers était pourtant sympathique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
(...) Concept poussif vu dans Le Raid du même Bensalah et dans Camping à la ferme de Sinapi, constitue l'unique argument de cette farce capillo-tractée.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Stéphanie Binet
Tout le film repose sur les épaules du kakou Julien Courbey et sa capacité à transmettre la tendresse mimétique du personnage pour l'Algérie.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La rédaction
(...) scénario distendu (...) Julien Courbey donne tout son abattage pour tenir le fil léger d'un divertissement aux bonnes intentions chaleureuses. Sa fantaisie est contagieuse, Atmen Kelif, Elie Semoun, Eric et Ramzy viennent fugacement y participer.
Première
par Mathieu Carratier
(...) Un demi-bon film, au capital sympathie presque intact.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Guerand
(...) Djamel Bensalah confondant vitesse et précipitation en croyant qu'il suffit de montrer les gens en train de courir pour donner du rythme à son film.
Télérama
par Frédéric Strauss
Cela résonne peu dans cette Algérie de carte postale. Heureusement, les acteurs invitent dans tout cela la légèreté plaisante des farceurs.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Véronique Le Bris
Djamel Bensalah signe une comédie trop légère sur un sujet de poids, dans laquelle Julien Courbey s'en tire bien. Mais l'essentiel est ailleurs : le film (...) rompt avec les clichés les plus communs.
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
(...) la mécanique Bensalah s'apparente davantage au bulldozer qu'au scooter (...) l'émotion comme le comique s'y distille à la truelle, à coups d'Adidas Stan Smith ou de travelling épais sur le cul d'une Renault 11.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
(...) une pochade simplette, une farce répétitive, dont toute la charge humoristique repose sur une inversion convenue.
MCinéma.com
par Aurélien Allin
Avec son titre parodiant Sergio Leone, et son script inspiré d'une chanson du groupe 113 (...) "Il était une fois dans l'Oued" part très mal. Le pire étant qu'il continue encore plus mal. (...) les blagues, écrites à la va-vite, n'ont rien de drôle.
Africultures.com
Malgré quelques longueurs et une intrigue abracadabrante, Il était une fois dans l'Oued ne manquera pas de réjouir les dépités du Raid, alors que Djamel Bensalah retrouve l'humour désinvolte du Ciel, les oiseaux et... ta mère.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Elle
Une comédie hilarante, où Julien Courbey renouvelle le rôle de l'emmerdeur, façon Michel Blanc.
Le Parisien
(...) comédie bien ficelée qui dynamite avec humour les clichés sur l'intégration. Avec un Julien Courbey irrésistible en titi banlieusard.
Score
Djamel Bensalah (...) devient brillant quand il rit des différences culturelles. Il greffe le meilleur humour algérien sur le canevas de la comédie française (...)
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Brazil
Bensalah y affirme enfin un vrai propos. Dommagequ'il soit noyé dans une réalisation ramenant la comédie française des années quatre-vingt: molassonne.
Cahiers du Cinéma
Refusant d'être une "simple comédie", le film se veut aussi fable sur la tolérance et la difficulté à accepter ses racines. (...) Belle idée entravée par le souci de Bensalah de jouer sur plusieurs tableaux.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
(...) fable colorée et humaniste, parfois maladroite, mais qui a au moins le mérite de réconcilier les communautés.
Le Monde
Djamel Bensallah (Le Ciel, les oiseaux et ta mère, Le Raid) enchaîne les séquences sans souci de cohérence ni de mise en scène. L'idée d'une fantaisie sur un processus d'intégration à l'envers était pourtant sympathique.
Les Inrockuptibles
(...) Concept poussif vu dans Le Raid du même Bensalah et dans Camping à la ferme de Sinapi, constitue l'unique argument de cette farce capillo-tractée.
Libération
Tout le film repose sur les épaules du kakou Julien Courbey et sa capacité à transmettre la tendresse mimétique du personnage pour l'Algérie.
Ouest France
(...) scénario distendu (...) Julien Courbey donne tout son abattage pour tenir le fil léger d'un divertissement aux bonnes intentions chaleureuses. Sa fantaisie est contagieuse, Atmen Kelif, Elie Semoun, Eric et Ramzy viennent fugacement y participer.
Première
(...) Un demi-bon film, au capital sympathie presque intact.
TéléCinéObs
(...) Djamel Bensalah confondant vitesse et précipitation en croyant qu'il suffit de montrer les gens en train de courir pour donner du rythme à son film.
Télérama
Cela résonne peu dans cette Algérie de carte postale. Heureusement, les acteurs invitent dans tout cela la légèreté plaisante des farceurs.
Zurban
Djamel Bensalah signe une comédie trop légère sur un sujet de poids, dans laquelle Julien Courbey s'en tire bien. Mais l'essentiel est ailleurs : le film (...) rompt avec les clichés les plus communs.
Chronic'art.com
(...) la mécanique Bensalah s'apparente davantage au bulldozer qu'au scooter (...) l'émotion comme le comique s'y distille à la truelle, à coups d'Adidas Stan Smith ou de travelling épais sur le cul d'une Renault 11.
L'Humanité
(...) une pochade simplette, une farce répétitive, dont toute la charge humoristique repose sur une inversion convenue.
MCinéma.com
Avec son titre parodiant Sergio Leone, et son script inspiré d'une chanson du groupe 113 (...) "Il était une fois dans l'Oued" part très mal. Le pire étant qu'il continue encore plus mal. (...) les blagues, écrites à la va-vite, n'ont rien de drôle.