Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Chronic'art.com
par Jean-Sébastien Chauvin
Cette histoire où un fils homosexuel à l'orée de la trentaine (l'étonnant Yvan Fahl) se détache peu à peu de sa mère envahissante, jouit d'un art renversant du dialogue et d'une galerie de personnages tous plus ou moins à l'ouest, contribuant à cette tenace impression de rêverie volubile qui après un début incertain donne au film son rythme mélodieux.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Libération
par Gérard Lefort
C'est un film complètement libre. De droit, sur parole, mais surtout libre comme l'air qui y circule (...) Ce nomadisme n'empêche pas, au contraire, le film de se creuser de pensées profondes sur la sagesse tempétueuse d'un certain âge mûr ou sur l'immortalité d'une certaine impertinence.
Télérama
par Louis Guichard
Arielle Dombasle donne un vrai festival. (...) On peut regarder Quand je serai star comme une manière de Rohmer queer. Mais aussi comme un jeu suave autour de l'image publique de l'actrice (...). Le film, un peu long, ne se réduit pas à Dombasle, mais il lui arrive de plonger sans elle - plusieurs scènes poussives au Maroc.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Claire Vassé
Quand je serai star agacera ceux qui sont réfractaires à la légèreté desespérée d'un Demy mais enchantera les autres jusqu'aux larmes.
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Finalement, on découvre que Patrick Mimouni fait un film d'auteur à prétention " pathétique et métaphysique ". On n'est pas plus amphigourique et plus artificiel. Dommage pour Arielle Dombasle, qui parvient à rendre attachant et profond son personnage de mère-poupée, avec une superbe bravoure d'actrice.
Les Inrockuptibles
par Olivier Nicklaus
(...) sans doute faute de moyens, le film peine à dépasser le statut de maquette du film qu'il rêve d'être (...) En dépit de cette faiblesse, on se laisse griser par Quand je serai star pour sa croyance absolue qu'il faut devenir souverain de sa propre vie (...) L'autre grand bonheur du cinéma de Patrick Mimouni, c'est son sens de la troupe, de la communauté.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Anthony Clément
La succession de personnages caricaturaux, la lancinante chanson générique insupportent alors que l'effet de décalage provoque l'exaspération. Mais tel Bruce Willis au secours d'une tour, Arielle Dombasle sauve le film. Madame BHL sort un grand numéro d'autodérision en campant une actrice d'une préciosité rare, sur le déclin. Son maniérisme inné se moule merveilleusement dans un univers mondain taillé à sa démesure.
Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Derrière cette étude chichiteuse des rapports mère-fils et cette chronique exaltée, mi-complice mi-satirique, d'un petit cercle mondain, Patrick Mimouni veut faire l'éloge des adeptes du contre-nature et imprimer en filigrane l'initiation d'un jeune homme au métier d'acteur. Voir Arielle Dombasle bâfrer de chocolats de chez Dalloyau amuse un brin, avant que ces saynètes snobs et queer ne lassent par excès de caricature et de maladresse.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ouest France
par La Rédaction
Un insupportable numéro d'Arielle Dombasle dans un scénario vain et prétentieux. Ça pourrait être amusant d'ironie décalée, mais la mise en scène endormie en est incapable.
Première
par Gaël Golhen
Un improbable mélo gay, où les dialogues ineptes sur la vie, les personnages caricaturaux (...) et la réalisation d'amateur donnent envie de fuir.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
Quand je serai star raconte sans conviction cette relation mère-fils aux rôles inversés et dépeint sans plus d'originalité le mal-être censé ronger les artistes.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Chronic'art.com
Cette histoire où un fils homosexuel à l'orée de la trentaine (l'étonnant Yvan Fahl) se détache peu à peu de sa mère envahissante, jouit d'un art renversant du dialogue et d'une galerie de personnages tous plus ou moins à l'ouest, contribuant à cette tenace impression de rêverie volubile qui après un début incertain donne au film son rythme mélodieux.
Libération
C'est un film complètement libre. De droit, sur parole, mais surtout libre comme l'air qui y circule (...) Ce nomadisme n'empêche pas, au contraire, le film de se creuser de pensées profondes sur la sagesse tempétueuse d'un certain âge mûr ou sur l'immortalité d'une certaine impertinence.
Télérama
Arielle Dombasle donne un vrai festival. (...) On peut regarder Quand je serai star comme une manière de Rohmer queer. Mais aussi comme un jeu suave autour de l'image publique de l'actrice (...). Le film, un peu long, ne se réduit pas à Dombasle, mais il lui arrive de plonger sans elle - plusieurs scènes poussives au Maroc.
Zurban
Quand je serai star agacera ceux qui sont réfractaires à la légèreté desespérée d'un Demy mais enchantera les autres jusqu'aux larmes.
Le Figaroscope
Finalement, on découvre que Patrick Mimouni fait un film d'auteur à prétention " pathétique et métaphysique ". On n'est pas plus amphigourique et plus artificiel. Dommage pour Arielle Dombasle, qui parvient à rendre attachant et profond son personnage de mère-poupée, avec une superbe bravoure d'actrice.
Les Inrockuptibles
(...) sans doute faute de moyens, le film peine à dépasser le statut de maquette du film qu'il rêve d'être (...) En dépit de cette faiblesse, on se laisse griser par Quand je serai star pour sa croyance absolue qu'il faut devenir souverain de sa propre vie (...) L'autre grand bonheur du cinéma de Patrick Mimouni, c'est son sens de la troupe, de la communauté.
MCinéma.com
La succession de personnages caricaturaux, la lancinante chanson générique insupportent alors que l'effet de décalage provoque l'exaspération. Mais tel Bruce Willis au secours d'une tour, Arielle Dombasle sauve le film. Madame BHL sort un grand numéro d'autodérision en campant une actrice d'une préciosité rare, sur le déclin. Son maniérisme inné se moule merveilleusement dans un univers mondain taillé à sa démesure.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
Derrière cette étude chichiteuse des rapports mère-fils et cette chronique exaltée, mi-complice mi-satirique, d'un petit cercle mondain, Patrick Mimouni veut faire l'éloge des adeptes du contre-nature et imprimer en filigrane l'initiation d'un jeune homme au métier d'acteur. Voir Arielle Dombasle bâfrer de chocolats de chez Dalloyau amuse un brin, avant que ces saynètes snobs et queer ne lassent par excès de caricature et de maladresse.
Ouest France
Un insupportable numéro d'Arielle Dombasle dans un scénario vain et prétentieux. Ça pourrait être amusant d'ironie décalée, mais la mise en scène endormie en est incapable.
Première
Un improbable mélo gay, où les dialogues ineptes sur la vie, les personnages caricaturaux (...) et la réalisation d'amateur donnent envie de fuir.
TéléCinéObs
Quand je serai star raconte sans conviction cette relation mère-fils aux rôles inversés et dépeint sans plus d'originalité le mal-être censé ronger les artistes.